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Examens médicaux
Examens médicaux•Exclusif•La prévention•Santé générale

La sécurité des patients

Plusieurs aspects de la sécurité des patients ont été mis de l’avant au cours de la semaine de sensibilisation qui se tenait du 24 au 28 octobre. Ce qui en ressort le plus, toutefois, c’est la responsabilité qu’ont les individus de prendre leur santé en main.

Si la responsabilité des individus, en santé, débute par la prévention et l’acquisition de connaissances qui permettent de faire de meilleurs choix afin d’éviter la maladie, elle se prolonge dans le cabinet du médecin.

Il faut y poser des questions, engager la conversation, puis poursuivre ses recherches à la maison et revenir vers les professionnels de la santé afin d’interagir avec eux et de prendre des décisions qui conviennent à nos valeurs et à notre tolérance au risque.

Voici quelques règles de base pour devenir un patient mieux engagé à préserver sa propre sécurité.

S’informer

Internet est une source intarissable de connaissances en santé. S’il s’agit aussi d’une cause d’inquiétude quand on n’a pas l’expertise nécessaire pour trier l’information, les sites fiables permettent de mieux comprendre sa situation, chez soi, à tête reposée, et d’avoir ensuite des conversations éclairées avec les médecins à propos de sa condition.

Arriver préparé

Il est vraiment utile de préparer une série de questions ou de points de discussion avant d’arriver à la clinique. Trop souvent, on se sentira intimidé par les lieux, stressé par l’examen, si bien qu’on partira sans avoir posé les questions qui nous taraudaient. Avoir une liste sous la main permet d’y répondre et de ressortir du bureau du médecin mieux équipé pour prendre des décisions.

Engager la conversation

La position d’autorité du médecin en intimide plusieurs. Ils oublieront qu’ils ont leur rôle à jouer dans le traitement d’une maladie ou son dépistage, puisque certaines décisions reviennent au patient. Par exemple, le dépistage du cancer de la prostate n’est pas nécessairement recommandé, pour plusieurs raisons évoquées dans notre blogue précédemment. C’est pourquoi il est primordial de demander à son médecin si un traitement ou un test est nécessaire avant de sortir de son bureau. Quelles en sont les conséquences? Et qu’arrivera-t-il si on le refuse? Voilà de bonnes questions.

Mieux connaître ses médicaments

Avant que ne soit prescrit un médicament, il importe de s’assurer que ses bénéfices supplantent ses désavantages. Si ce n’est pas le cas, on peut discuter de solutions de rechange avec le médecin en pesant les avantages et les inconvénients du traitement. Il faudra ensuite s’entretenir avec le pharmacien à propos des effets croisés de ce médicament avec ceux qui font déjà partie de notre quotidien et faire le suivi avec ce professionnel de la santé si des effets indésirables se manifestent. Il se peut qu’un médicament ne convienne pas à certaines personnes : tous ne réagissent pas de la même manière à une molécule. Il est de la responsabilité du patient d’en aviser son pharmacien afin que celui-ci contacte le médecin, qui pourra modifier l’ordonnance en conséquence.

Réclamer d’autres options

Si on n’aime pas le traitement que propose le médecin, on doit lui demander s’il en existe d’autres, plus simples ou plus naturels, par exemple. De la même manière, si on choisit de refuser le traitement, il faut s’assurer de bien en comprendre les conséquences. Le médecin est au service du patient, il doit répondre en toute impartialité à ses questions. Mais c’est le patient qui doit s’assurer de les poser, pour sa propre sécurité.New Arrivals

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Examens médicaux•Exclusif•Santé générale•Techno

Imagerie médicale et réalité virtuelle

La réalité virtuelle s’en vient chez votre médecin. Grâce à différents produits en développement, le praticien pourra bientôt explorer votre corps sous tous les angles, simplement en penchant la tête pour voir sur le côté, ou en dessous d’un organe. Fini les secrets.

Des compagnies américaines comme Surgical Theater, Realview et Echopixel travaillent à révolutionner la manière de faire et de consulter de l’imagerie du corps humain.

Cette dernière a récemment reçu l’approbation de la FDA afin de commercialiser sa technologie au sud de notre frontière. Selon les études cliniques menées par l’entreprise, son invention améliorerait considérablement la capacité de nombreux médecins à repérer des problèmes de santé.

Hybride 3D et RV

Il ne s’agit pas d’une technologie «disruptive» (qui finirait par remplacer complètement le modèle actuel), mais bien d’un nouvel outil pour mettre en valeur les connaissances des médecins et améliorer leur efficacité.

Quelque part entre la 3D et la réalité virtuelle, le produit permet de capter des images du corps, puis d’en faire une image en trois dimensions que l’on peut manipuler. Donc la faire pivoter, l’agrandir, et même en isoler des parties afin de mieux les analyser.

Le médecin n’a pas à enfiler un casque de type Oculus. Des lunettes 3D du genre de celles qu’on vous distribue au cinéma suffisent à scruter un organe jusque dans ses plus discrets replis.

Efficacité augmentée

En troquant les scans traditionnels pour ceux-ci, les médecins pourront désormais accéder plus facilement à des organes minuscules, particulièrement chez les nouveau-nés.

C’est un outil qu’affectionneront les chirurgiens, puisqu’ils pourront en tirer des images à emporter en salle d’opération pour faciliter leur procédure.

La compagnie, qui vise désormais les marchés européen et asiatique, a récemment levé plus de 5 millions de dollars en financement. Elle offre aux hôpitaux des abonnements à son service pour 25 000 $ par an.

Echopixel argue que son produit démultiplie la productivité des médecins en leur permettant de faire des analyses complexes en quelques minutes plutôt qu’en une heure.

Si c’est bien le cas, son produit risque de trouver facilement preneur, et de s’avérer rapidement rentable pour les établissements de santé.Originals Prophere

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Examens médicaux•Exclusif

Sauver SABSA 

La clinique sans médecin SABSA de la basse-ville de Québec est menacée de fermeture, faute de financement. La mobilisation de nombreux acteurs du milieu de la santé, de la politique et du privé pourra-t-elle la sauver?

Acronyme de «services à bas seuil d’accessibilité», SABSA propose aux citoyens des quartiers Saint-Roch et Saint-Sauveur un accueil incomparable dans le milieu de la santé. Cette clinique sans médecin, menée par des bénévoles et une infirmière praticienne, vient en aide aux malades de milieux défavorisés qui peuvent même s’y présenter sans carte d’assurance maladie.

«Le projet de coopérative a commencé lorsque les membres fondateurs se sont réunis, à la fin de 2011, parce qu’ils voulaient proposer des services aux personnes atteintes d’hépatite C dans le secteur; ils souhaitaient leur donner accès au traitement, car c’est une infection qui touche particulièrement les personnes plus vulnérables. Ils avaient été témoins des lacunes dans les milieux institutionnels et voulaient mettre quelque chose en place rapidement», nous expliquait la coordonnatrice de SABSA, Emmanuelle Lapointe, dans un article publié ici en octobre 2015.

Financé par la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), le projet est cependant menacé de fermeture. Le modèle, qui sort du cadre des groupes de médecine familiale (GMF) et des CLSC, ne plaît pas au ministre de la Santé, qui ne souhaite donc pas encourager l’anticonformisme de la coopérative.

La FIQ n’étant pas en mesure de renouveler son financement, SABSA devra fermer ses portes le 1er mai si rien n’est fait.

L’appui des médecins

Bien qu’elle se soit publiquement opposée à la création de cliniques sans médecin, la Fédération des médecins omnipraticiens (FMOQ) s’est portée à la défense de SABSA après avoir pris connaissance des soins qui y sont prodigués, mais surtout de la clientèle qui y est desservie, et qui demande une attention particulière qu’un médecin de famille ne peut offrir.

Les patients qui se présentent à la clinique de SABSA sont en marge. Ils ne fréquentent ni les CLSC ni les GMF. Ils sont 1500 qui se retrouveront orphelins en cas de fermeture. Des gens parmi les plus vulnérables, mais aussi des patients éventuellement très coûteux pour le système de santé s’ils ne sont pas pris en charge plus tôt. C’est là l’un des principaux bénéfices d’une telle clinique, qui répond à des besoins criants dans un secteur grandement défavorisé.

Cris du cœur et campagne de financement

Avec les interventions de Louis Godin, président de la FMOQ, et maintenant de la présidente de la FIQ, Régine Laurent, SABSA bénéficie d’appuis de taille. Mais il faudra plus, puisque le ministre de la Santé persiste et signe : il ne créera pas de réseau parallèle en finançant la clinique dont la FIQ ne peut plus assurer la survie après trois ans de soutien.

Une collecte de fonds privés s’organise pour sauver cet ovni du monde de la santé. Une campagne de sociofinancement devrait être lancée sous peu, mettant à profit La Ruche, afin d’amasser 250 000 $.

Comme nous l’écrivions ici il y a quelques mois, la clinique SABSA parvient à soigner 95 % de ses patients sans l’intervention d’un médecin.jackets

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Actualité•Cancer•Examens médicaux•Tabagisme

Dépistage du cancer du poumon : les rayons X remis en question

Par Radio-Canada – Les adultes âgés de 55 à 74 ans qui présentent des risques élevés de cancer du poumon à cause de leurs « antécédents tabagiques » devraient passer des tests de tomodensitométrie à faibles doses pendant un maximum de trois années consécutives, recommande un comité d’experts fédéral. Ils recommandent par ailleurs d’abandonner les rayons X pour le dépistage du cancer du poumon.Puma

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Examens médicaux•Santé générale

Adieu listes d’attente, des cliniques médicales à l’avant-garde

Par Radio-Canada – Certaines cliniques médicales au Québec ont implanté un nouveau modèle de gestion qui permet aux patients d’obtenir un rendez-vous avec leur médecin de famille en moins de deux semaines. À Sherbrooke, la Clinique du Plateau Marquette a adopté cette approche appelée  » Accès adapté « . Les résultats sont probants.

Jordan

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Actualité•Examens médicaux•Techno

Tinder vous aide à trouver la clinique de dépistage la plus près

Par Le Journal de Québec – Une nouvelle option sur Tinder permet de trouver une clinique de dépistage du VIH ou des autres maladies sexuellement transmissibles(MST) dans votre voisinage.

Le New York Daily News rapporte que l’application mobile a ajouté une nouvelle section sur son site pour repérer les cliniques de dépistage pour le VIH et les MST les plus près de votre domicile.Air Jordans

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Examens médicaux•Exclusif•Techno

Le numérique pour mieux collaborer

Motivé par l’idée d’améliorer l’accès aux soins de santé, Xavier Boilard, PDG d’Omnimed, cherche à inspirer les médecins et les autres praticiens du milieu à mieux collaborer. À travers la plateforme de dossiers médicaux que propose son entreprise, mais aussi, plus largement, en rompant avec le confort des habitudes.

«On a toutes les ressources qu’il nous faut dans le réseau de la santé. Ce qui manque, c’est la capacité à mieux collaborer», croit Xavier Boilard.

Le PDG d’Omnimed, une compagnie fondée en 1984 par son père, qui était médecin de famille, tient les rênes d’une entreprise qui recèle le potentiel de mettre en contact les professionnels de la santé.

Et en réalité, elle le fait déjà.

Très présent dans le monde de la santé, le système de dossiers informatisés d’Omnimed est implanté dans 250 cliniques au Québec. Il permet le partage et la consultation de milliers de dossiers de patients chaque jour, selon les chiffres de l’entreprise.

«Mon père disait que lorsqu’il avait commencé à pratiquer, la médecine était une science, et que c’était devenu un art. Celui de deviner ce que tu ne sais pas, parce que le patient ne te donne pas toute l’information ou que tu n’as pas accès à toutes ses consultations précédentes.» L’art en question relevait donc de la déduction. Une ordonnance pour tel médicament pouvait signifier que tel ou tel acte médical avait été exécuté. «Et à la fin de la journée, il était hanté par le doute, l’idée qu’il avait pu se tromper et faire la mauvaise déduction», raconte Xavier Boilard.

Volonté de changement

Mais cette information qu’il devait deviner, le Dr Boilard savait parfaitement qu’elle existait quelque part. Sans doute dans un autre dossier, au bureau d’un confrère. Peut-être même dans celui, volumineux et composé d’une montagne de papiers, qu’il tenait dans ses mains mais n’avait pas le temps de lire en entier.

«Il croyait que l’informatique était la solution pour mieux partager ces données et s’assurer de prendre la bonne décision en détenant la bonne information», explique son fils.

Le principe de base que développe alors le médecin est assez simple : avoir un seul dossier par patient, partageable en ligne, et accessible à un réseau de cliniciens. Le marché de base est celui des médecins de famille. «On a plus de 4,5 millions de patients qui ont une fiche dans notre système, et 1,9 million qui ont été vus au cours de la dernière année», détaille l’actuel PDG.

Le système fonctionne par abonnement mensuel pour les cliniques qui l’utilisent.

«On n’essaie pas de prétendre que notre système est parfait. On veut que les médecins soient nos partenaires, et on souhaite continuer d’améliorer notre produit en lançant de nouvelles versions dès que le besoin se fait sentir.»

Un Facebook médical

«Les médecins de famille sont les pivots des soins, mais sont les plus isolés dans le réseau», se désole Xavier Boilard.

Motivé par l’idée d’améliorer l’accès aux soins de santé, il voit son produit comme une solution pour réseauter les professionnels de la santé, qu’ils soient médecins ou autres. «Comme une sorte de Facebook médical, mais évidemment avec tous les aspects sécuritaires et la nécessaire confidentialité.»

Le principal enjeu, selon le jeune PDG, est d’inciter les professionnels de la santé à changer leurs habitudes et à s’extraire du confort de ce qu’ils connaissent déjà.

Et pas uniquement en optant pour des solutions numériques plutôt que pour le bon vieux papier (ce qui, déjà, épargnerait selon lui de longues heures aux médecins), mais aussi en cherchant des solutions structurelles.

Il donne à titre d’exemple un projet auquel sa sœur, médecin de famille et aussi à la tête d’Omnimed avec lui, s’est appliquée à donner naissance, en mettant en contact des infirmières chargées du suivi de vaccination d’enfants et des médecins, afin de réduire le nombre d’interventions et de se concerter pour s’assurer de donner la bonne information aux parents.

Car oui, bien sûr, Omnimed a un produit à vendre. «Mais ce qui m’anime, ce qui me donne envie de continuer dans cette voie-là, assure Xavier Boilard, c’est l’amélioration de l’accès aux soins de santé.» Une affaire de famille, il faut croire.Air Jordan IV 4 Retro 4 IV 308497

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Examens médicaux•Les médicaments

Les infirmières pourront prescrire certains tests et médicaments

Par Radio-Canada – C’est lundi qu’est entré en vigueur un règlement qui permet aux infirmières de prescrire certaines analyses de laboratoire et certains médicaments dans certaines situations cliniques, principalement en santé publique et pour le soin des plaies.

« C’est un moment mémorable », s’est exclamée au cours d’une entrevue la présidente de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, Lucie Tremblay.

Cela a pris trois ans de travail et de discussions. « Il y a un exploit ici », a-t-elle ajouté.Air Jordan

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Actualité•Examens médicaux•Les enfants

Devrait-on analyser l’ADN du foetus?

Par La Presse – Depuis près de trois ans, de plus en plus de femmes enceintes font des prises de sang pour analyser l’ADN de leur bébé et dépister les risques de trisomie. Ces tests sont uniquement offerts en cliniques privées. Mais le gouvernement du Québec examine la possibilité de les offrir dans les hôpitaux, a appris La Presse. Or, les médecins ne sont pas toujours bien informés sur cette nouvelle technologie pour guider leurs patientes.Adidas

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Cancer•Examens médicaux•Exclusif•La prévention

Cancer de la prostate : faire parler les hommes

Devenu le mois de la santé des hommes, novembre est le théâtre de vastes campagnes de sensibilisation au cancer de la prostate. Une maladie qui s’accompagne de nombreux stigmates auxquels s’attaque Procure, un organisme qui donne autant dans l’éducation que dans le soutien aux malades.

Directeur général de Procure depuis 2013, Laurent Proulx n’est ni médecin ni chercheur. «Je suis un patient», dit-il. L’organisme qu’il dirige agit comme vecteur d’information et de soutien pour venir en aide aux hommes touchés par la maladie. Sa principale mission : mettre en garde les hommes les plus susceptibles d’être atteints.

«Je ne suis pas médecin, reprend-il, mais ce que je vous livre comme information vient des urologues avec lesquels nous travaillons, et auxquels nous faisons confiance», poursuit ce survivant du cancer, bien conscient que la détection de la maladie n’est pas exempte des controverses qui entourent plusieurs idées reçues en matière de campagnes de dépistage.

Qui devrait se sentir concerné?

  • «Le risque est plus grand chez les hommes de 55 ans et plus, expose Laurent Proulx. Moi, je l’ai eu à 48 ans, mais seulement 2% des hommes en souffrent avant 50 ans. On recommande donc le dépistage à partir de 50 ans.»
  • «Si un de vos parents proches (père, oncle, grand-père) a été diagnostiqué d’un cancer de la prostate, votre dépistage devrait débuter 10 ans plus tôt que l’âge auquel le cancer a été détecté chez celui-ci. Par exemple, mes fils devraient être surveillés à partir de 38 ans.»
  • «Si vous êtes en surpoids, sédentaire et que vous négligez votre hygiène de vie, vous êtes plus à risque de développer n’importe quelle forme de cancer.»
  • «La génétique a une incidence importante. Si un parent a été touché, vous avez deux fois plus de risques de l’être. Si deux ou trois parents sont atteints, votre risque d’avoir ce cancer se multiplie alors de 5 à 11 fois.»

Les séquelles

Chez les hommes qui doivent être opérés pour le cancer de la prostate, ce sont surtout les séquelles qui sont inquiétantes. Chez Procure, on donne l’heure juste à ce sujet tout en offrant une oreille attentive (grâce à une adresse courriel et une ligne sans frais).

Parmi ces répercussions, on compte l’incontinence urinaire et les problèmes d’érection. Des ennuis qui provoquent la gêne, certes, mais qui ne sont pas irréversibles. «L’incontinence se règle la plupart du temps à l’intérieur d’un an. Et les difficultés d’érection ne touchent que 20% des hommes», rassure-t-il.

«Mais il ne faut pas oublier la dimension psychologique, ajoute le porte-parole. Certains ne veulent pas parler, la maladie affecte leur masculinité. Il faut aussi être conscient de ça.»

Faire parler les hommes

Un des rôles de Procure est de briser le silence autour d’une maladie qui est souvent une source de malaise, voire de honte chez les hommes. «Nous allons dans les salons, en entreprise, nous essayons de transmettre l’information en utilisant des canaux variés. Nous diffusons aussi nos conférences en ligne», explique M. Proulx.

Une manière de faire qui commence à porter ses fruits. «Avant, au Salon de la FADOQ, les hommes qui se présentaient à notre kiosque venaient s’informer pour des amis. Ou alors, c’étaient les femmes des malades. Aujourd’hui, de plus en plus d’hommes directement touchés viennent nous parler. Ce n’est pas encore parfait, mais le contact s’améliore…»

Pour aider, vous pouvez contribuer à la campagne de financement Noeudvembre de Procure.Adidas Yeezy

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