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Les actualités en santé – 5 juillet

Des réseaux sociaux qui partent à la chasse aux charlatans, des pompes à insuline piratées et un bilan de santé pas très reluisant pour les travailleurs québécois : voici vos actualités en santé.

 

Des pompes à insuline piratées

Il n’y a pas que les banques, les entreprises ou vos ordinateurs personnels qui peuvent être la cible de pirates informatiques. Certains modèles de pompes à insuline connectées peuvent aussi être «hackés».

Voyez lesquels sont vulnérables dans Radio-Canada

 

Les Québécois mangent-ils bien?

Parmi les conditions essentielles à la santé cardiaque, on compte l’activité physique, la nécessité de ne pas fumer et l’absence d’obésité abdominale. Et enfin, une bonne alimentation. Or, une récente recherche effectuée auprès de travailleurs québécois montre que seulement 1 % d’entre eux répondent aux conditions. Et que la vaste majorité mange très mal.

Voyez les détails de ce troublant résultat dans Le Journal de Montréal

 

Ces «amis» qui vous veulent du «bien»

Les réseaux sociaux entrent en guerre contre les charlatans de la santé. Facebook et YouTube prennent acte des conséquences néfastes de la propagande anti-vaccination ou de la propagation de mensonges graves sur des solutions de rechange à la médecine traditionnelle et promettent de lutter contre ce problème qui en est devenu un de santé publique.

Les détails de leur déclaration dans Le DevoirSeasonal Footwear

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Pourquoi les risques d’hyperthermie augmentent-ils avec l’âge?

L’hyperthermie, aussi appelée coup de chaleur, ou épuisement par la chaleur, est plus fréquente chez les personnes âgées. Mais avant d’expliquer pourquoi, voyons comment se produit ce phénomène.

La «climatisation» par la sueur

Pour bien fonctionner, le corps doit maintenir une température interne d’environ 37 degrés. Lors de fortes chaleurs, d’efforts intenses ou si on est confiné dans une pièce qui manque d’aération, le corps va réagir en produisant de la sueur afin de conserver sa température fonctionnelle.

C’est cette sudation qui permet au corps d’évacuer la chaleur au lieu de l’accumuler. Elle nécessite qu’il soit bien hydraté afin de disposer de suffisamment de liquide pour faire son travail de «climatisation».

Sans cela, c’est la surchauffe qui menace. Avec, possiblement, de graves conséquences sur la santé.

Les facteurs de risque des personnes âgées

En vieillissant, toutefois, les adultes ont tendance à produire moins de sueur. Ce qui les expose plus naturellement à l’hyperthermie.

D’autres facteurs peuvent aussi contribuer à l’hyperthermie chez les personnes âgées :

  • le surpoids, ou à l’inverse, un trop faible taux de gras
  • la prise d’alcool ou de médicaments
  • les maladies chroniques
  • une mauvaise circulation sanguine

Aussi, les maladies qui nécessitent une faible consommation de sel, comme l’hypertension, provoquent un manque d’électrolytes dans le système. Cela entraîne une perte d’eau plus rapide et un déséquilibre organique, puisque les électrolytes sont nécessaires pour nourrir les cellules du corps et les maintenir en bon état.

Même si leur sudation est moins efficace, les personnes âgées ont également tendance à se déshydrater plus facilement. Soit en raison d’ennuis de santé (pertes urinaires, diarrhée, vomissements), soit parce qu’elles boivent moins, parfois en raison de problèmes de déglutition ou parce qu’elles ressentent moins la soif.

Symptômes et traitement

La confusion, les étourdissements, l’impression de faiblesse, la chair de poule, la baisse de la pression, un pouls rapide et de la fièvre sont les signes les plus fréquents d’hyperthermie.

Ils doivent être considérés avec la plus grande prudence et faire l’objet d’une consultation médicale si la personne se sent défaillir ou si elle ne parvient pas à retrouver une température corporelle normale très rapidement.

En fait, en cas d’hyperthermie, on devrait appeler Info-Santé en même temps qu’on applique les méthodes de refroidissement du corps comme :

  • boire des liquides, surtout de l’eau, ou des boissons contenant des électrolytes
  • vaporiser de l’eau sur le corps afin de favoriser la sudation
  • trouver un lieu climatisé, prendre un bain d’eau fraîche ou une douche fraîche

Précautions

Pour éviter de se mettre inutilement en danger, les personnes susceptibles de souffrir d’hyperthermie devraient porter des vêtements amples, clairs, dont le tissu favorise la circulation de l’air (comme le coton).

Elles devraient, autant que possible, fuir les pièces trop chaudes et mal aérées. Attention aux ventilateurs : ils sont pratiques, surtout la nuit, pour faire entrer l’air frais de l’extérieur et faire circuler celui à l’intérieur d’une pièce, mais ils peuvent aussi accélérer la déshydratation.

Dehors, on évite les activités intenses, on porte un chapeau et on n’oublie pas de boire régulièrement, peu importe si on ressent la soif. Ce sens est parfois émoussé par la prise de médicaments, donc n’attendez pas et buvez.Nike Hyperdunk 2018

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Les Actualités en santé : 23 juin

La perte de confiance dans l’efficacité de la vaccination fait des ravages, le cœur des femmes enfin sondé et le poids santé comme concept révolu : voici vos actualités en santé.

 

Le cœur des femmes

 

La santé cardiaque des femmes âgées est-elle influencée par le fait qu’elles aient allaité leurs enfants ou non? C’est une des pistes qu’explore la toute nouvelle chaire sur la santé cardiaque des femmes, inaugurée cette semaine au Centre universitaire de santé McGill.

Entrevue avec la directrice du programme dans La Presse

 

Le poids santé : un concept erroné?

Est-ce que le concept de poids santé est trompeur? C’est ce que croit Jo-Anne Gilbert, chargée de cours au Département de kinésiologie de l’Université de Montréal. Selon elle, la santé relève de bien d’autres aspects de la vie, dont le poids n’est pas un indicateur précis. Au contraire.

Écoutez son entrevue dans ICI Radio-Canada

 

Faire confiance à la vaccination

La perte de confiance dans l’efficacité de la vaccination est bien réelle, et entraîne de graves problèmes de santé publique. En témoigne le retour en force de la rougeole et d’autres maladies que l’on pensait éradiquées. Un sondage montre l’ampleur du phénomène et laisse croire que le pire est à venir.

Consultez les résultats et les réactions sur BBC AfriqueNew Balance

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La dépression chez les aînés

La santé mentale des personnes âgées est souvent négligée, ou alors simplement éclipsée par les problèmes physiques. Pourtant, les aînés vivent une période où ils risquent de souffrir de nombreux maux psychologiques. Voici comment les détecter et comment aider celles et ceux qui en sont touchés.

On estime qu’environ 7 % des personnes âgées souffrent de dépression. Cependant, les problèmes de santé mentale de cette tranche de la population sont rarement évoqués dans les médias, pas plus qu’ils ne semblent faire partie des préoccupations des responsables de santé publique.

Peut-être, en partie, parce que la dépression des personnes âgées passe souvent sous le radar. « Même pour un médecin, c’est parfois difficile d’en détecter les signes, constate la psychologue Jeanne Elise Gagnon. Les patients ont plus tendance à se confier sur leurs problèmes physiques, et on peut confondre certains symptômes liés à l’âge ou à d’autres maladies avec ceux de la dépression. »

De nombreux facteurs de risque

On oublie que plusieurs situations sont propices à causer de la détresse psychologique chez les personnes âgées. « La santé mentale est une question d’équilibre, illustre la psychologue. Mais quand on demande à quelqu’un de s’adapter constamment et de composer sans cesse avec un sentiment de perte, ça devient très éprouvant. On est donc plus susceptible d’être déprimé à 80 ans qu’à 30 ans. »

Les deuils se multiplient en effet avec le temps. Décès d’être chers, perte d’autonomie, isolement social… Puis il y a aussi, parfois, les maladies chroniques, qui sont toujours difficiles à vivre.

Comment aider

Que faire si l’état mental d’un parent âgé suscite des craintes? « D’abord, il faut aller le voir et lui parler, insiste la psychologue. Si on constate que la personne a perdu de l’intérêt pour une activité qu’elle aimait, qu’elle tient des propos pessimistes concernant son avenir, qu’elle s’isole ou qu’elle a des troubles du sommeil, il y a lieu de s’inquiéter. »

Puis on engage le dialogue, en précisant à la personne que l’on a observé qu’elle n’allait pas bien et en lui proposant d’aller en parler à un médecin. « Les personnes dépressives ont parfois un plan de suicide très élaboré. Elles ne vont pas le divulguer à leurs proches, évidemment, pour ne pas les inquiéter, alors qu’elles risquent d’aborder la question avec leur médecin. »

Et comment faire pour que le médecin sache ce qui nous préoccupe? « Idéalement, il ne faut pas infantiliser un proche, peu importe son âge, mais on peut lui proposer d’aller exposer nos inquiétudes au médecin en sa présence, puis de se retirer. À moins que le proche souhaite qu’on reste. »

Bref, on ne prend pas ces questions à la légère. La vie, c’est précieux. À tout âge.Kobe AD EP Shoes

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Les actualités en santé – 9 juin

Des projets pilotes en gériatrie sociale, une vidéo virale sur l’alimentation qui contient un important lot de faussetés et une usine de suppléments alimentaires québécoise fermée pour insalubrité : voici vos actualités en santé.

 

La qualité de vie des aînés

Au cours des 20 prochaines années, le nombre de personnes de 75 ans et plus va doubler. D’où l’importance des projets pilotes en gériatrie sociale annoncés par le gouvernement du Québec. À Saint-Hubert comme dans plusieurs municipalités du Québec qui se partageront les 1 375 000 $ alloués, on espère pouvoir changer le quotidien des aînés et leur procurer une meilleure qualité de vie.

Lisez les détails dans Infodimanche

 

Faussetés virales

Le riz contient-il des particules de plastique? Le fromage qui brûle est-il artificiel? Y a-t-il des cailloux dans la purée pour bébés? De la colle dans la viande? Une vidéo virale répond à toutes ces questions par la positive, sauf que… tout cela est faux.

Autopsie d’une vidéo virale mensongère sur Radio-Canada

 

Insalubres suppléments

Santé Canada met fin à la production de suppléments alimentaires par la compagnie québécoise Konsar Future Nutrition en raison de conditions insalubres des installations. Après inspection, les autorités ont non seulement mis fin aux activités de l’entreprise, mais ont aussi enjoint aux consommateurs de cesser d’utiliser les produits qu’ils s’étaient déjà procurés.

La liste des produits visés est sur TVA NouvellesNike

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L’hygiène buccale : l’angle mort de la santé des aînés

L’état de la bouche et des dents est-il en lien direct avec celui du cœur? C’est ce que certaines études prétendent. Mais au-delà de certains constats plus alarmistes, ou de rapprochements parfois circonstanciels, reste que l’hygiène buccale est primordiale pour vieillir en santé. Et heureux. Voici pourquoi.

Pour une myriade de raisons, la santé de la bouche est souvent laissée pour compte. Et c’est plus vrai encore pour les personnes qui atteignent l’âge de la retraite. Très souvent parce qu’elles ne bénéficient plus, alors, d’assurances leur permettant de rendre visite à leur dentiste à faible coût.

Pourtant, négliger sa santé dentaire pourrait porter atteinte à son état de santé général. Voici comment.

La malnutrition

Une prothèse mal ajustée qui blesse la bouche. Des dents et des gencives douloureuses. Un manque de salive. Tous ces ennuis peuvent mener à l’adoption d’une alimentation carencée. Par crainte d’avoir mal, on se contentera, par exemple, de nourriture plus friable, risquant ainsi, en ne variant pas son alimentation, de manquer de nombreux nutriments nécessaires à la santé.

Les petits problèmes qui s’aggravent

Une dent qui change de couleur, une irritation des gencives, la bouche sèche et la mauvaise haleine sont des problèmes de santé buccale communs chez les personnes âgées. Ils ne sont pas pour autant bénins, puisqu’ils ont une influence sur la qualité de vie, et peuvent parfois dégénérer.

Ainsi, une dent qui noircit peut le faire en raison de la réduction naturelle de l’émail au fil des ans. Mais elle peut aussi être annonciatrice de problèmes qui pourraient dégénérer et provoquer une infection, et la perte de la dent.

Des liens avec la santé cardiaque

Bien qu’il s’agisse de liens qui ne sont peut-être que circonstanciels, et donc qu’il ne s’agisse pas nécessairement de liens de cause à effet, on associe de plus en plus souvent la santé de la bouche à celle du cœur.

C’est-à-dire que les personnes ayant une bonne hygiène buccale risquent moins de souffrir de maladies cardiaques.

Selon certains chercheurs et médecins, toutefois, l’inflammation des gencives pourrait avoir un lien direct avec les accidents cardiovasculaires, en raison du dommage que ce type de problème de santé provoque sur les vaisseaux sanguins, incluant ceux du cœur. Certains craignent aussi que les bactéries qui se développent dans une bouche en mauvaise santé se propagent dans tout l’organisme. Ici encore, on fait des liens avec la santé cardiaque, évoquant les effets nocifs du streptocoque sanguin, qu’on l’on associe à un risque accru d’arrêt cardiaque.

Des soins gratuits pour les moins nantis

Pour toutes ces raisons et bien d’autres, mieux vaut voir son dentiste deux fois par année. Et aussi adopter une alimentation plus favorable à la santé dentaire.

Et si vous connaissez des gens qui n’ont pas les moyens de se payer une visite chez le dentiste, consultez la page du Projet Bouche B : un projet de la Fondation de l’Ordre des dentistes du Québec, actif dans toutes les régions, qui permet d’avoir accès à des soins gratuits.Nike

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Les actualités en santé – 26 mai

Le tour de taille responsable de la mauvaise santé du cerveau, les craintes des personnes âgées de devoir payer pour leurs soins de santé et les allergies saisonnières : voici vos actualités en santé.

 

Vieillir et s’appauvrir pour être en santé

Sept Canadiens sur 10 croient qu’à moins de changements importants, ils devront mettre la main dans leurs économies pour être convenablement soignés. C’est ce que révèle un sondage mené pour le compte de l’Association médicale canadienne.

Les résultats détaillés dans Le Journal de Montréal

 

Atchoum, c’est le printemps

Personne ne se plaindra de l’arrivée du beau temps… sauf peut-être celles et ceux qui souffrent d’allergies saisonnières. Chaque année, ces gens doivent composer avec l’abondance de particules en suspension dans l’air qui rendent leur vie parfois misérable. Mais quelles en sont les causes exactes, et quels risques encourt-on si on est atteint de ce problème de santé?

Entrevue avec un médecin d’urgence sur la question dans ICI Radio-Canada

 

Gros ventre, petit cerveau?

Une nouvelle étude fait des liens entre l’obésité et la santé du cerveau. Mais cette fois, elle se concentre sur le surpoids abdominal. Les résultats ne sont pas tendres pour les personnes qui font de l’embonpoint du bedon : plus le tour de taille est élevé, moins le cerveau renferme de matière grise. Ce serait, semble-t-il, l’affaire d’un cocktail de facteurs de risque qui exposent le cerveau à une dommageable inflammation.

Explications dans Le Journal de Québec

 

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Un nouveau modèle de clinique pour aînés

Le vieillissement rapide de la population oblige le système de santé à imaginer de nouvelles solutions pour désengorger les urgences et prévenir les hospitalisations. Parmi elles, un nouveau projet pilote né dans la capitale : la Clinique des aînés.

Les besoins en santé des aînés ne sont pas les mêmes que ceux des autres adultes. Formant une clientèle plus vulnérable, souvent victime de son isolement, cette tranche de la population est visée par une toute nouvelle initiative qui vise à réduire les visites à l’urgence de même que les hospitalisations.

La toute première Clinique des aînés (CDA) est une initiative du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de la Capitale-Nationale et d’une équipe médicale, sous l’égide du Dr Luc Tailleur.

Ce service de médecine gériatrique est notamment doté d’une équipe mobile qui pourra prendre en charge les personnes qui évoluent en marge du système… jusqu’au jour où elles doivent y être admises dans des conditions extrêmes. «Il y a un nombre important de personnes qui arrivent à l’urgence en ambulance et qu’on aurait pu traiter autrement si elles avaient eu accès à des soins de première ligne, expose le Dr Tailleur. Souvent, ce sont des gens qui n’ont pas de médecin de famille et qui, dans certains cas, souffrent de troubles cognitifs, ce qui fait qu’ils ne se rendent pas à leurs rendez-vous médicaux s’ils en obtiennent. Ce qu’on veut faire, c’est trouver les patients qui nécessitent un suivi, leur rendre visite, mettre à jour leur dossier médical et ainsi éviter leur hospitalisation.»

Le stress de l’hôpital

À cette équipe de suivi formée de médecins, d’infirmières et de professionnels en réadaptation dont les services seront d’abord prodigués dans les arrondissements de La Cité-Limoilou, Beauport, Les Rivières et Charlesbourg, à Québec, s’ajoutera une clinique de suivi en externe, située dans l’hôpital Saint-François-d’Assise. Celle-ci devrait voir le jour en 2020.

Le projet pilote risque de faire mouche et d’inspirer. D’autant que, comme nous l’explique Luc Tailleur, offrir un service qui permet aux gens de demeurer à la maison et de visiter une clinique, si possible, pour les suivis médicaux permet d’éviter des hospitalisations qui sont souvent très néfastes pour la santé générale.

«Les personnes âgées fragiles ou souffrant de troubles cognitifs sont soumises à un stress important sur le plan psychologique lorsqu’on les admet à l’étage [pour une hospitalisation]. Et sur le plan physiologique, elles sont aussi exposées à des maladies nosocomiales.»

Ce qui allonge le processus de guérison plutôt que l’inverse : sédation pour éviter que les personnes confuses, souffrant de delirium à la suite de leur admission, se blessent; infections relativement simples comme une pneumonie qui dégénèrent et nécessitent plusieurs jours de traitement; perte d’autonomie; réadaptation… Ce qui, chez un adulte plus jeune et en bonne santé, nécessiterait quatre ou cinq jours de traitement s’étire ainsi en semaines.

Rester chez soi

Ce service médical, qui agira en complémentarité avec l’aide à domicile qu’offrent les CLSC, permettra donc à cette clientèle plus vulnérable d’éviter les situations qui la placent en état de confusion et de détresse. Car au-delà de la question de l’accessibilité, il y a aussi celle de l’humanisation des soins. Cette dernière n’étant certainement pas étrangère au bien-être et à la santé générale des personnes âgées qui souffrent rapidement de désorientation lorsqu’on les extrait de leur domicile de manière prolongée. «Ces personnes ne veulent pas perdre leurs repères, leur autonomie, explique Nathalie Allaire, coresponsable du projet. Là, elles pourront être suivies, mais en conservant leurs habitudes de vie.»Air Jordan XX9 29 Shoes

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Les actualités en santé – 12 mai

La vie en résidence lorsqu’on est homosexuel, les problèmes de santé qui sont des indicateurs de décès prématuré et le menu pour repousser les troubles oculaires : voici vos actualités en santé.

 

Déceler les risques de décès

Chez les personnes âgées, plusieurs facteurs indiquent un risque accru de décès dans les années à venir. Parmi eux, on compte l’apparition d’une démence, une perte de poids importante, mais aussi la perte des facultés olfactives.

Lisez l’étude dans Radio-Canada

 

Fine bouche, bon œil

Passé 65 ans, le risque de souffrir d’un trouble oculaire comme les cataractes ou la dégénérescence maculaire augmente de manière importante. Toutefois, une saine alimentation et la consommation de certains nutriments pourraient infléchir les statistiques en votre faveur.

Ce qu’il faut manger pour la santé des yeux, dans Le Journal de Montréal

 

Personnes LGBT et vie en résidence

Les hommes et femmes homosexuels représentent environ 10 % de la population. Or, chez les personnes âgées de 65 ans et plus, seulement 1,6 % se déclaraient comme telles lors du dernier recensement. Un phénomène générationnel, qui rend la vie en résidence assez complexe lorsqu’on est ouvertement LGBT.

Écoutez ou lisez le reportage des Éclaireurs sur ICI Premièrenike

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Alcool, drogues et troisième âge

S’il est souvent question des abus de médicaments dans l’actualité, on parle plus rarement des problèmes de consommation de drogues et d’alcool chez les personnes âgées. Et pour cause : selon les chercheurs, le problème, bien réel, est largement ignoré. Mais pourquoi?

Le principal problème avec les effets de la consommation excessive de drogues ou d’alcool, c’est que les symptômes deviennent plus difficiles à détecter avec l’âge.

«Ils imitent parfois les symptômes d’autres maladies et troubles, comme les démences, les troubles anxieux ou la dépression», souligne une étude parue dans la revue scientifique Drogues, santé et société.

Comme proche d’une personne âgée, il est donc souvent difficile, voire impossible de deviner que des ennuis de mémoire, des pertes d’équilibre ou une humeur maussade sont le fruit d’un excès de psychotropes – à moins de la côtoyer de très près.

Les raisons

Ainsi, entre 6 et 10 % des personnes âgées (65 ans et plus) souffriraient de problèmes d’alcool ou de drogues, sans que cela se sache le plus souvent.

À la source de ce problème, on pointe comme responsables la solitude et l’isolement. Les aînés qui se retrouvent dans cette situation chercheront parfois à se divertir ou à s’engourdir à l’aide d’alcool ou de drogues. Ce qui passe souvent inaperçu, comme nous le disions, et explique en partie que les différents groupes de prévention et de traitement des dépendances servent rarement cette clientèle.

Les boomers font le poids

Les choses tendent à changer, toutefois, avec l’arrivée des baby-boomers dans cette tranche d’âge, comme le constatait Denise Dubreuil, intervenante en alcoolisme et toxicomanie, lors du congrès des intervenants en toxicomanie qui se déroulait la semaine dernière à Trois-Rivières. Plus nombreux, éduqués, moins accablés par une culture du silence, ils risquent de peser dans la balance et mettre le sujet à la une.

De même, les études se multiplient et permettent de mieux éclairer les conditions qui mènent aux abus et aux problèmes.

Par exemple, 20 % des personnes âgées souffrent ou ont souffert de troubles anxieux. Parmi les manières de soigner ceux-ci, l’usage des benzodiazépines est largement répandu. Mais si on en abuse, on qu’on les mélange à l’alcool, ils comportent des risques de confusion croissante, de pertes d’équilibre, voire de chutes.

Plusieurs personnes âgées peuvent avoir développé une dépendance aux opiacés. Il s’agit d’un problème qui touche toutes les classes sociales et qui n’est pas négligeable. Les individus passablement astucieux savent comment renouveler des ordonnances pour ces médicaments ou se les procurer sur le marché noir.

On sait aussi qu’une consommation d’alcool autrefois modérée peut devenir plus problématique avec l’âge, parce que le corps métabolise moins bien l’alcool, ce qui peut en augmenter l’effet. De même, si on a déjà certains problèmes cognitifs, la consommation de drogues ou d’alcool peut aggraver la confusion dont on souffre naturellement.

Quant au cannabis, récemment arrivé sur le marché légal au Canada, il peut aussi comporter plusieurs risques de dérapages en raison de mélanges avec des médicaments, de l’alcool, ou parce qu’on en abuse à des fins récréatives ou thérapeutiques.

Reconnaître les signes

Plusieurs indices peuvent porter à croire qu’une personne abuse d’alcool ou de drogues :

  • Irritabilité
  • Pertes d’équilibre, chutes
  • Troubles de la parole
  • Hygiène négligée
  • Perte d’appétit
  • Pertes de mémoire
  • Isolement
  • Présence de bouteilles, d’accessoires liés à la consommation

 

En parler pour commencer

Même en sachant tout cela, à moins d’accompagner au quotidien cette personne, il est difficile de savoir quelle est la raison de son état. Son irritabilité est-elle liée à la démence ou à l’alcool? Un trouble moteur est-il le signe d’un abus d’anxiolytiques, ou d’un mélange avec d’autres drogues et médicaments?

Dans le doute, il faut aborder la question. Mais attention à la manière. Ne parlez pas de problème, mais bien de consommation. Encouragez la personne à simplement discuter avec vous de ses habitudes, sans parler d’alcoolisme ou de dépendance. Invitez-la à vous confier ses problèmes, et tentez de rehausser son estime d’elle-même.

En poursuivant dans cette voie, vous serez plus à même de briser le cycle d’isolement et de silence qui l’a poussée vers la dépendance. Et si cette personne réclame de l’aide, celle-ci existe, et elle est abondante. N’hésitez pas à chercher en ligne pour trouver la ressource appropriée.Air Jordan XI 11 Wool

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