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La prévention
Alimentation/ nutrition•Exclusif•Obésité et surpoids•Recherche

L’obésité et la maladie : de cause à effet

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’obésité a atteint d’effarantes proportions. On parle d’une épidémie mondiale, 2,8 millions de personne décédant chaque année de surpoids. Sans parler du fardeau que cela fait peser sur les systèmes de santé.

Toujours selon l’OMS, le surpoids concerne 1,4 milliards de personnes. Parmi elles, 200 millions d’hommes et 300 millions de femmes sont obèses.

Chirurgien bariatrique à Montréal, le Dr Pierre Garneau connaît bien les nombreux problèmes relatifs au surpoids et à l’obésité. Et afin de faire de la prévention efficace qui ne s’embarrasse pas de la rectitude politique, il réfute d’emblée le concept de gens obèses « bien dans leur peau », et qui n’ont donc pas à changer leurs habitudes.

« On ne peut pas dire ça. Parce que le surpoids ne vient pas seul. Il s’accompagne d’une multitude de problèmes de santé et de maladies en tous genres qui en font un véritable fléau. Il ne faut pas banaliser ça. »

Comment se situer?

Bien que les nutritionnistes tendent à abandonner le concept de poids santé selon l’indice de masse corporelle (IMC), celui-ci demeure toujours la mesure reconnue – même si contestée – afin de classer les individus (elle ne donne cependant pas une mesure précise de l’adiposité chez chacun).

Pour mesurer son IMC, le calcul est relativement simple. En système métrique, on divise son poids par sa grandeur au carré. Par exemple : 75kilos / (1,80×1,80) = 23.

Une personne en surpoids a une IMC égale ou supérieure à 25.

Une personne obèse a une IMC égale ou supérieure à 30.

Les conséquences

Le Dr Garneau insiste : l’obésité tue. « Le diabète est la maladie numéro un au monde, avec le plus gros impact sur la mortalité, et elle est directement associée à l’obésité », détaille-t-il.

Au diabète, il ajoute comme autres afflictions majeures liées au surpoids l’apnée du sommeil et l’hypertension. Mais aussi une myriade de maux qui vont de l’arthrose prématurée (des genoux, par exemple) au cancer. « Il n’y a pas de certitude exacte quant à la cause des cancers (est-ce le tissu adipeux ou l’alimentation?), mais on sait qu’ils sont plus fréquents chez les personnes en surpoids. »

À cela, il ajoute les maladies lipidiques (cholestérol), les thrombophlébites qui risquent de provoquer des embolies pulmonaires, les maladies cardiaques et le reflux gastro-oesophagique.

L’impact du surpoids est à ce point flagrant que le médecin va jusqu’à dire que chaque kilo perdu chez une personne obèse représente un bénéfice important pour sa santé.

En fait, selon les cas, les risques d’être touchés par une des maladies mentionnées plus haut diminuent de 50% à 85% si on retrouve un poids santé.

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Actualité•Exclusif•Les médicaments•Recherche

Le nouvel antibiotique: un miracle?

Les bactéries sont parmi les organismes vivants les plus résilients.

C’est à dire qu’on a beau tout faire pour les éradiquer, elles démontrent une stupéfiante capacité à s’adapter aux conditions hostiles. Par exemple : lorsqu’elles sont soumises des traitements antibiotiques.

Cela explique en partie la résistance croissante à ces mêmes antibiotiques, ce qui représente un défi énorme pour la médecine. Aussi, la découverte du Teixobactin pourrait bien représenter un bond énorme, puisqu’il s’agit de la première découverte d’un nouvel antibiotique depuis les années 1980, époque à laquelle les chercheurs se sont surtout employés à synthétiser des molécules plutôt que d’en chercher de nouvelles dans la nature, sans grand succès.

La pénicilline, premier antibiotique reconnu, a été découverte par Alexander Flemming en 1929. Elle provient d’un champignon, donc d’une moisissure.

Les molécules naturelles, depuis, s’avèrent les plus efficaces. Mais il est extrêmement difficile de reproduire les conditions nécessaires pour en découvrir de nouvelles.

Nouvel antibiotique

Des chercheurs ont donc conçu de minuscules chambres de diffusion, isolant des microorganismes, placées sous terre, afin d’y cultiver les bactéries qui s’y développent. Ce sont là des conditions idéales, comme dans la nature, impossibles à reproduire jusqu’alors.

C’est ainsi qu’on a découvert le Teixobactin qui, apparemment, serait très efficace avec des bactéries qui ont développé une importante résistances au antibiotiques, comme le C Difficile, le staphylocoque doré et la tuberculose.

On ignore encore l’efficacité de l’antibiotique sur les humains. Mais c’est la méthode qui est porteuse d’espoir, puisqu’elle permet d’accélérer considérablement une recherche qui, de l’avis de spécialistes, n’est souvent pas la plus rentable pour les pharmaceutiques.

Comme on prévoit que, d’ici 2050, il pourrait y avoir 10 millions de morts par an en raison de la résistance aux antibiotiques, voilà une excellente nouvelle.

Mais attention, la bataille n’est pas gagnée. Et nous sommes condamnés à « pelleter le problème par avant », parce que les bactéries sont encore les plus efficaces et peuvent toujours muter pour contrer les effets des antibiotiques.

Heureusement, il y a aussi d’autres champs de recherche qui tentent de briser cette supériorité, dont une nouvelle manière d’étudier la paroi des bactéries afin de mieux comprendre comment elles se transforment.

Faire sa part

Reste que nous sommes aussi en partie responsable de cette situation. Parce que le comportement désinvolte face à la prise des antibiotiques contribue à la résistance.

On entend par là un non-respect de la posologie (il faut la compléter, au risque de rendre la bactérie qu’on combat résistante plutôt que de l’éliminer), mais aussi la prise d’antibiotiques pour des maladies virales. Comme des maux d’oreille pour lesquels nous insistons pour recevoir un traitement.

Enfin, on soupçonne de plus en plus les antibiotiques présents dans la nourriture de même que les antibactériens dans les produits ménagers (savons et autres) d’accélérer cette résistance. Faudrait donc, si possible, ne pas les consommer, et ainsi forcer les fabricants à modifier leurs manières de faire.

 

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Actualité•Exclusif•Sport et activité physique

Cinq mythes à propos de l’activité physique

En pleine période de remise en forme d’après les fêtes, on est parfois mis devant des croyances erronées qui peuvent induire de mauvaises pratiques. Et en activité physique, ces croyances sont nombreuses.

Myriam Paquette, kinésiologue et ex-athlète universitaire en ski de fond pour le rouge et Or de l’Université Laval, en a répertorié cinq pour nous.

Il faut s’entraîner beaucoup pour améliorer sa santé

Au contraire ! Même une activité peu importante a une incidence sur des facteurs importants de notre santé générale, améliorant l’espérance de vie, réduisant les chances de maladie cardiaque, d’hypertension et de cancer du colon.

Donc, toute augmentation de dépense énergétique au delà du mode de vie sédentaire est favorable à l’amélioration de la santé. Un peu, c’est déjà bien. Mais évidemment, un peu plus, c’est encore mieux. Commencez donc par stationner votre auto à 15 minutes du travail tous les jours.

Je n’ai pas perdu de poids en m’entraînant, je n’en ai rien retiré de bénéfique

C’est faux. Il se peut que vous ayez compensé votre dépense énergétique en mangeant plus. Vous avez alors annulé les effets de perte de poids. Vous avez peut-être aussi gagné en masse musculaire, plus lourde que le gras.

Mais peu importe, en vous entraînant, vous avez amélioré votre condition physique. Vous vous sentez sans doute mieux, dormez peut-être mieux aussi. Vous avez aussi activé votre métabolisme, réduisant ainsi votre tension artérielle, le risque de maladie cardiaque, en plus d’améliorer votre profil lipidique et d’avoir une meilleure sensibilité à l’insuline.

Ça ne se verra peut-être pas sur la balance. Mais probablement lors de votre prochain bilan de santé, par contre.

Les personnes qui transpirent beaucoup sont en moins bonne forme

Faux. La transpiration permet au corps d’évacuer la chaleur. À l’effort, la chaleur produite augmente énormément, car le corps n’est pas une machine efficace et, de toute l’énergie produite, environ 75% est perdue sous forme de chaleur, alors que seul 25% sert réellement à produire un travail. Il y a donc beaucoup de chaleur à évacuer.

Il faut s’étirer avant et après l’entraînement

Surtout pas avant. On augmente les risques de blessure si l’étirement est trop prononcé. En plus, cela nuit à l’entraînement, parce qu’après un étirement, le muscle perd en puissance, et sera donc moins performant.

Pour l’après, il n’existe aucune preuve que les étirements réduisent les courbatures. Dans certains cas, c’est peut-être même le contraire.

Pour maigrir, il faut faire du sport à faible intensité

Comme un effort à une intensité autour de 50% à 60% de sa capacité maximum utilise les graisses plutôt que les sucres (glucides) comme carburant, on a longtemps fait durer le mythe d’une zone « lipomax », qui ferait maigrir.

Or, on sait qu’au final, ce qui compte pour maigrir, c’est de dépenser plus de calories qu’on en ingère. Peu importe comment on les dépense. Et pour en brûler beaucoup, il faut passer é-nor-mé-ment de temps en zone « lipomax ». Alors à moins de disposer de plus de deux heures par jour, mieux vaut s’entraîner moins longtemps et plus intensément pour dire au revoir au gras.

 

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Actualité•Exclusif•Recherche•Sommeil

Votre sommeil et la pleine lune

Lorsque vous étiez jeune, et que vous dormiez mal, votre mère vous disait que la pleine lune était responsable de votre mauvaise nuit de sommeil ?

Eh bien il se pourrait fort bien que ce que plusieurs ont longtemps considérés comme une fadaise soit désormais vérifiable, et que les cycles du satellite terrien ait une influence sur nos nuits.

Scientifiquement démontré

Une  étude sur le sujet, que reprend Le Point, mais d’abord publiée dans Sleep Medecine, confirme que les sujets connaissent une plus grande quantité de nuits agitées lorsque la Lune est pleine.

En plus de répondre à un questionnaire, les sujets auraient été soumis pendant plusieurs nuits à une analyse électronique pendant leur sommeil (pouls, rythme cardiaque, activité cérébrale et musculaire), datée, permettant de suivre le cours des différentes phases nocturnes, et de comparer avec le calendrier lunaire par la suite.

Or, il appert que le nombre de sujets ayant connus de mauvaises nuits augmente considérablement les soirs de pleine lune.

Comment ça fonctionne ?

Comme le précise Le Point, un mystère demeure : pourquoi ? Plusieurs théories existent, comme les modifications de champ électromagnétique, les changements gravitationnels, ou son influence sur une sorte de rythme biologique…

Ça reste à découvrir. Mais au moins, vous pourrez pointer une coupable du doigt, au moins deux jours par mois.

Et vous pourrez dire à votre mère qu’elle avait raison.

 

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Actualité•Alimentation/ nutrition•Exclusif

Adieu « poids santé », bonjour « poids équilibre »

Les temps des fêtes est terminé, et avec tous les beaux moments qui demeurent en tête, restent aussi d’autres souvenirs moins agréables, stockés un peu plus bas. Comme quelques kilos en trop.

Avant de paniquer, de se lancer dans un régime insensé, la nutritionniste Andréanne Martin propose de mettre nos connaissances à jour. C’est ainsi qu’on apprendra, par exemple, que le concept de poids santé est en voie de disparition.

« On ne parle plus vraiment de poids santé, explique la nutritionniste de Québec, mais de poids équilibre ». La différence ? C’est simplement que les métabolismes ne sont pas tous les mêmes, et qu’ainsi, malgré d’immenses efforts, et l’adoption d’un mode de vie exemplaire, il est possible de ne jamais atteindre sa cible de poids santé.

« Mieux vaut viser le poids équilibre, puisque c’est celui qu’on retrouvera naturellement. Si on a un bon mode de vie, de bonnes habitudes alimentaires et d’activité physique, c’est un poids qu’on retrouvera, même si on fait quelques excès pendant une fin de semaine. » De la même manière, si au prix d’efforts colossaux on parvient à descendre sous ce poids, il est fort probable que le corps nous y ramène. « Souvent, explique Madame Martin, le corps va stimuler l’appétit pour y revenir. Et c’est pire encore si on fait souvent des régimes, ce qui fait augmenter le poids équilibre. Car à force d’être privé, le corps adopte le réflexe de stocker plus de gras pour se protéger des pertes massives. »

Adieu poids santé, adieu aussi IMC

On s’est longtemps aussi fié à l’indice de masse corporelle (IMC), afin de déterminer si une personne est en bonne santé ou pas. C’est à dire si la quantité de gras qu’elle stocke dans son corps peut induire différentes maladies.

« On utilise plutôt de tour de taille, désormais », annonce la professionnelle. « Avec le temps, on s’est rendu compte que l’IMC pouvait être trompeur, et, par exemple, qu’il pouvait surestimer la quantité de gras chez une personne en pleine forme, et la sous-estimer chez une autre personne qui ne fait pas de sport », expose-t-elle.

Nous voici donc revenus au bon vieux tour de taille.

Pourquoi doit-on le mesurer ? Pour les mêmes motifs qui nous poussaient à calculer l’IMC : prévenir les maladies liées au surplus de poids. Chez les femmes, donc, on voudra maintenir un tour de taille entre 80 et 88 cm, inclusivement. Chez les hommes, la marge s’étend de 94 à 102.

Mais qu’arrive-t-il si on dépasse un peu ?

« Tous les nutritionnistes ne s’entendent pas là dessus, avoue Madame Martin. Certains diront que l’on peut être en santé quand même. Mais je fais partie de ceux qui croient qu’il faut essayer de réduire au maximum les facteurs de risque entourant les maladies cardio-vasculaires, le diabète de type deux et les troubles métaboliques qui sont tous liés au surplus de poids. »

Le suivi

L’experte insiste cependant que, pour plusieurs, il est préférable d’aller cherche de l’aide afin d’obtenir ces résultats en maintenant une alimentation équilibrée, qui ne nuira pas non plus à sa santé. « Et puis il faut trouver ensemble les moyens d’y parvenir en respectant l’horaire, les besoins, les capacités de chacun. »

Enfin, il faut éviter les régimes contreproductifs. Il arrive qu’ils nous paraissent plein de bon sens. C’est ce que la publicité veut nous faire croire. Mais avec le temps, on finit par se rendre compte de leur absurdité.

 

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Actualité•Exclusif•Vaccination

Le point sur le vaccin contre la grippe

Les autorités américaines du Center for Disease Control (CDC) annonçaient plus tôt en décembre que le vaccin contre la grippe qui a été administré cette année ne sera pas aussi performant que celui des années précédentes.

Est-ce à dire qu’il sera inutile pour autant ? C’est un pas que nous ne franchirions pas.

Un vaccin moins efficace : pourquoi ?

En fait, les vaccins administrés l’automne étant conçus au printemps précédent, les experts doivent en quelque sorte prédire quelle souche sera au rendez-vous. C’est ainsi : il faut plusieurs mois pour produire ledit vaccin. Et tout le monde peut se tromper.

Or, cette année, la souche a muté, et le vaccin qui, à sa pleine efficacité, aurait atteint 60% de protection, vacillerait plutôt autour des 30%. (Mais bon, les chiffres varient beaucoup selon à qui on parle)

C’est quand même du monde protégé. Mais ce n’est pas tout : il semble que d’être vacciné réduise passablement les symptômes de la grippe actuelle (H3N2), particulièrement virulente, et en très haute activité ces jours-ci. Si bien que de nombreux hôpitaux et CHSLD ont du fermer leurs portes aux visiteurs pour éviter la propagation.

La grippe qui tue pour vrai et le mythe du vaccin qui rend malade

Enfin, pour ceux qui refuseraient de se faire vacciner parce que, dans le passé, ils ont attrapé une vilaine grippe après avoir été inoculé, le Dr Alain Vadeboncoeur a cette analogie amusante dans son blogue de L’Actualité : c’est un peu comme d’avoir un accident de voiture en sortant du garage. Ça arrive.

Une malheureuse coïncidence ne devrait donc pas vous décourager de vous faire vacciner. SURTOUT si vous êtes, ou avez des contacts avec, des personnes âgées, de jeunes enfants ou des malades chroniques.

Parce que ce sont ces gens que la grippe tue. De 4000 à 8000 personnes chaque année au Canada.

Quant aux complications et autres conséquences extrêmement néfastes liées à la vaccination, elles sont extrêmement rares, la plupart relevant du mythe, mais surtout, elles ont beaucoup moins de chance du tuer une personne à risque que la grippe.

Enfin, si vous avez la grippe, il n’est pas nécessaire d’aller à l’urgence pour autant. À moins de faire partie des groupes à risque mentionnés ci-haut. Et puis on vous suggère, autant que possible, d’éviter les fêtes de famille si vous êtes malades. Histoire de restreindre la propagation.

 

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Exclusif•Santé cardiaque•Sport et activité physique

Le yoga contre les maladies cardiovasculaires

On connaît depuis longtemps les effets bénéfiques de la pratique régulière du yoga sur le tonus musculaire, la santé des articulations, mais aussi sur le stress, qu’il permet d’atténuer.

Certaines études tendaient aussi vers l’idée que les bienfaits du yoga s’apparentent à ceux d’activités sportives comme la course à pied ou le vélo.

Eh bien, il semble que ces chercheurs ne se soient pas trompés.

La plus importante étude sur le yoga et la santé

Dans ce qui est rapporté comme l’étude la plus aboutie sur le sujet à ce jour, l’European Journal of Preventive Cardiology transcrit les données d’une recherche menée conjointement par des analystes de Harvard et de Rotterdam, démontrant l’amélioration de nombreux paramètres cardiovasculaires chez ceux qui pratiquent le yoga.

On parle l’IMC (indice de masse corporelle), de la pression artérielle, du cholestérol et du rythme cardiaque.

Bien que les résultats soient malgré tout limités en raison de la faible envergure de qui est (total de 2768 participants), ils ont poussé les chercheurs à voir plus loin, et à émettre certaines théories quant à la nature des bienfaits de cette pratique. Comme la possibilité que le yoga module les systèmes nerveux sympathique et parasympathique du corps.

Les mêmes chercheurs recommandent donc une étude encore plus poussée, qui permette cette fois de déterminer la fréquence nécessaire afin de maximiser les bienfaits du yoga.

 

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Alzheimer•Exclusif•Santé mentale•Sport et activité physique

Exercice physique et Alzheimer

Ce n’est une nouveauté pour personne : l’exercice aide à prévenir une panoplie de maladies cardio-vasculaires, en plus de maintenir la bonne santé des articulations et de tenir le diabète à distance.

Mais plus les études s’accumulent, et plus les chercheurs semblent vouloir s’entendre pour dire que l’activité du corps et celle du cerveau semblent aussi aller de paire.

Activité physique et Alzheimer

Dans un récent article du Scientific American, on faisait état de plusieurs études dont les résultats convergent vers des conclusions semblables : en matière d’Alzheimer et de démence, l’hérédité peut être contrainte, voire carrément contournée par la pratique régulière d’un activité, au moins deux fois par semaine, dès la moitié de sa vie.

Donc, on pourrait être porteur de gênes qui augmentent nos chances de 50% de souffrir d’une forme de démence, dont l’Alzheimer, mais déjouer les pronostics par le maintien d’activités mentales et physiques tout au long de sa vie.

Il y a bien quelques études moins enthousiastes que d’autres, mais tous les chercheurs s’entendent pour dire que l’exercice est un outil de prévention pour le cerveau comme pour le reste du corps.

Le diagnostic en bas âge

De passage à l’émission Medium Large, animée par Catherine Perrin, la Dre Sylvie Belleville a d’ailleurs mentionné ces récentes découvertes en matière de prévention.

Lors de son entrevue, elle a aussi longuement discuté de l’importance de réaliser des diagnostics le plus tôt possible, afin que les chercheurs puissent trouver les causes de cette maladie, et l’enrayer, ou sinon la freiner.

En 2012, la maladie touchait déjà 747 000 Canadiens.

 

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Actualité•Alimentation/ nutrition•Exclusif•Obésité et surpoids•Santé générale

Les boissons diètes: c’est non

Chaque semaine, le magazine Time demande à cinq experts de se prononcer à propos d’un aliment, la question étant toujours la même : devrais-je le manger ?

À l’unanimité, les chercheurs sondés par la vénérable publication ont récemment exprimé leur opinion en défaveur des boissons gazeuses sans sucre, mais elles ont aussi fait état d’une série d’études qui devrait décourager quiconque d’en boire à l’avenir, leurs conclusions étant dévastatrices.

Les boissons diètes font engraisser

Une étude menée par la chercheuse Sarah Bleich a démontré, un peu plus tôt cette année, que les adultes qui consomment régulièrement des boissons sans sucre ingèrent plus de calories en mangeant que ceux qui n’en boivent pas.

La théorie de la chercheuse est que le cerveau, déréglé par le faux sucre des édulcorants (comme l’asparthame), ne répondrait plus bien aux signaux de satiété. Et donc, il pousserait le corps à manger plus qu’il n’en a besoin.

En 2009, toujours selon Time, une autre étude avait déjà démontré que la consommation régulière de boissons sans sucre augmentait aussi de 67% les risques de souffrir de diabète de type 2.

D’autres problèmes de santé

Outre le fait que l’absence de sucre semble avoir l’effet inverse de celui qu’on souhaite, des chercheurs plus alarmistes prétendent que même la consommation d’une seule canette de boisson diète nuit à la santé, et confond le métabolisme.

D’autres recherches ont montré que des souris soumises à la consommation d’édulcorants voient leur faune intestinale à ce point modifiée qu’elles développent de l’intolérance au glucose et de la résistance à l’insuline.

Certains croient même que les boissons gazeuses en général seraient responsable de la dégénérescence de certains os.

 

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Alimentation/ nutrition•Exclusif•Obésité et surpoids

Pas de kilos en cadeau

Les Fêtes, c’est le plaisir de se réunir, le plus souvent autour d’une table, et le plaisir de partager d’excellents repas et boissons.

Pour que ce moment privilégié ne soit pas lesté par la mauvaise conscience et que le bonheur de manger soit entier, quelques conseils s’imposent afin d’éviter les excès que l’on porte ensuite sur soi pendant les semaines à venir.

Andréanne Martin est nutritionniste-diététiste chez Nutrisimple et co-auteure de Dessert santé pour dents sucrées. Elle propose cinq trucs pour bien manger, mais pas trop.

1) Il faut essayer de conserver une bonne routine de repas, malgré tout. Donc manger trois repas par jour et des collations si nécessaire, parce que si on saute des repas, notre organisme passe en mode « réserve » et on brûle moins les calories qu’on mange. Et puis ça évite d’arriver complètement affamé au repas, et de s’empiffrer. Ça ne veut pas dire de manger même si on n’a pas faim, mais attendre un peu, et au moins manger une collation.

2) Dans le temps des fêtes, ça bouge, alors on en profite. Presque tout le monde mange plus que ses besoins pendant le temps des fêtes. Si on ne veut pas être en mode privation tout au long, alors mieux vaut faire du sport, prendre des marches, patiner, danser. Donc on ingère plus de calories, mais on en dépense aussi.

3) En ce qui concerne la composition de nos assiettes, commençons par remplir une bonne partie de nos assiettes avec des légumes. Les légumes, ce sont nos fibres, elles vont nous remplir, nous donner le sentiment d’être plein. Ensuite, on mise sur les protéines (viande, substituts, produits laitiers). Elles vont nous permettre de maintenir une énergie plus constante pendant la journée, et d’éviter les fringales. On prend donc un peu plus de dinde, des légumes, mais pas trop de pain et de purée de pommes de terre.

4) On n’a pas toujours le contrôle sur ce qui aboutit dans nos assiettes, alors le meilleur outil de gestion qu’on possède, c’est encore notre appétit. Quand on n’a plus faim, on arrête de manger. On évite de se gaver, pour respecter notre signal de satiété, on mange lentement. Si on sait qu’il va y avoir du dessert, on se garde de la place pour que le signal de satiété arrive à la fin du repas.

5) Gérons l’alcool. Le vin, la bière, c’est du sucre. Beaucoup de sucre. Alors choisissons selon ce qu’on aime, et si on est amateur de vin, par exemple, passons notre tour à l’apéro et ayons du plaisir à boire le vin qu’on aime. Pour accompagner tout le monde, on peut se faire un cocktail sans alcool, à base d’eau gazeuse, jus de canneberge, canneberges congelées, des feuilles de menthe, et on fait partie de la fête quand même.

 

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