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Santé sexuelle
Exclusif•Santé sexuelle•Techno

Santé sexuelle : la bonne information

À une époque où le Web recèle une montagne d’information, il est parfois difficile de faire le tri entre les données valables et ce qui devrait être ignoré. C’est particulièrement vrai en matière de santé et de sexualité, domaines où les légendes urbaines foisonnent.

La Société des obstétriciens et gynécologues du Canada tente de répondre à ce problème à sa manière. « C’est dans la mission de la Société d’informer la population », expose sa porte-parole, Christine Butt. Depuis quelques années, l’organisme produit donc des sites et des applications très bien conçus qui s’adressent au public, afin qu’il puisse être mieux équipé au moment de prendre des décisions concernant sa vie sexuelle.

Sélectionné parmi les 10 meilleurs sites de santé au Canada en 2014, masexualite.ca contient énormément d’information utile. « Une information qui a des bases scientifiques, et qui est cautionnée par le milieu médical », précise Mme Butt.

« En matière de santé sexuelle, poursuit-elle, il est essentiel de faire de la prévention, car nous allons rarement chez le médecin avant que les problèmes se présentent; trop souvent, nous y allons quand il est trop tard. Nos sites et nos applications servent à fournir l’information utile alors qu’il est encore temps. »

Information+ludification

Plusieurs applications et fonctions de masexualite.ca s’appuient sur la ludification afin de faire passer le message. « Comme nous nous adressons à une clientèle assez jeune, nous utilisons son langage », résume la porte-parole. On trouve donc ici des jeux liés à certaines connaissances de base concernant la sexualité (l’anatomie, par exemple). De même qu’on peut s’informer sur différentes formes de contraception, les ITSS, la prévention des grossesses, le VPH, etc.

Attention cependant : il ne s’agit pas d’un site qui vient remplacer un cours sur la sexualité, puisque ce dernier devrait, comme nous le disait la sexologue Jocelyne Robert, aller au-delà de la simple plomberie. Mais comme les autres productions de la Société des gynécologues et obstétriciens du Canada, il remplit son rôle social en employant le langage des technologies contemporaines afin de diffuser une information de qualité à une population qui, si on en juge par l’augmentation des ITSS, a plus que jamais besoin qu’on lui donne l’heure juste.

« C’est un outil dont peuvent se servir les parents, les professeurs. Nous essayons de le garder à jour le plus possible, autant sur le fond que dans la forme. Un site comme masexualite.ca est appelé à changer au fil du temps pour s’adapter. »

Pour paraphraser le slogan d’un site de la Société à propos du VPH, qu’on vient justement de rénover pour le mettre au goût du jour et rendre l’expérience de l’utilisateur plus conviviale : l’important, c’est de passer le message, pas le virus.Adidas Shoes

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Actualité•Les médicaments•Santé sexuelle

Les dessous troublants du «Viagra féminin»

Par Le Devoir – La FDA vient d’approuver la commercialisation du « Viagra pour femmes ». L’arrivée de la pilule du désir sexuel féminin soulève beaucoup de questions. La panne de désir est-elle une réelle maladie ou une invention des pharmaceutiques ? La petite histoire derrière la pilule rose.

Il aura fallu trois tentatives pour donner le feu vert à la flibansérine, que le laboratoire américain Sprout commercialisera aux États-Unis à partir du 17 octobre sous le nom d’Addyi pour le « traitement du trouble du désir sexuel hypoactif généralisé chez la femme avant la ménopause ».Air Jordan Spizike 3.5

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Exclusif•Santé sexuelle

Éducation sexuelle : un impératif de société

Tandis qu’est lancé, pour une période de deux ans, un projet pilote pour ramener l’éducation sexuelle dans les écoles du Québec, la nouvelle réédition de la série d’ouvrages Ma sexualité de la sexologue Jocelyne Robert, 30 ans après sa première parution, expose la nécessaire transmission d’une information objective, factuelle et de qualité en la matière.

Entretien avec l’auteure à propos des impératifs entourant l’enseignement de cet universel domaine de l’intime.

Jocelyne Robert, pourquoi est-il nécessaire de ramener l’éducation sexuelle à l’école?

Sans minimiser le travail des parents, parce qu’il ne s’en fait pas d’autre que celle, implicite, qui est livrée par les médias, Internet, la porno. C’est nécessaire parce qu’il n’y a plus rien qui vient rivaliser avec le message ambiant sur la sexualité dans l’univers des enfants et des adolescents. C’est un lieu qui a été laissé vacant, et le besoin est énorme.

On le sait, il y a une nette augmentation des ITSS depuis 10 ans, donc depuis la disparition de l’éducation à la sexualité. Surtout chez les jeunes. Il y a un retour de la pensée magique : la nécessité de se protéger n’est plus présente dans les messages à propos de la sexualité – même si la sexualité, c’est loin de se résumer à ça.

C’est important de ramener la notion de plaisir dans la responsabilité. La dernière année, avec la déferlante des agressions non dénoncées, a bien démontré l’importance de l’éducation sexuelle afin de couvrir des notions comme le consentement.

Ensemble, toutes ces choses forment une sorte de clameur qui illustre le besoin d’un retour de l’éducation à la sexualité.

Plusieurs parents considèrent que ce sont eux qui devraient prodiguer cet enseignement, pas l’école. Qu’est-ce que ça change d’avoir une personne extérieure à la famille pour le faire?

Il ne faut pas voir ça autrement que comme un complément à ce que la famille peut faire. Il n’est pas question de remplacer, d’évacuer. Au contraire, l’école devrait être un soutien, et la famille devrait s’informer de ce qui se fait à l’école et compléter à la maison, de manière plus personnalisée, l’accompagnement de l’enfant.

Mais l’école, elle, est un lieu objectif, alors que la famille ne l’est pas. On n’est jamais objectif face à ce qui arrive à ses enfants, il y a toujours une charge émotive, affective, qui vient colorer le message. Ce n’est pas mauvais. Mais parfois ça peut nuire, et on peut être moins bon dans notre transmission d’information sur la sexualité si on est chamboulé affectivement.

Enfin, l’école a un regard très large sur l’éducation à la sexualité. Le parent, lui, va témoigner de valeurs sexuelles par ce qu’il est. Il va transmettre des valeurs sur l’amour, l’engagement. Mais l’éducation sexuelle, c’est aussi une éducation aux rapports non sexistes, à l’homosexualité, c’est une manière de développer la fierté d’être un garçon, une fille, d’expliquer la notion de consentement, évoquée plus tôt. C’est très large, et surtout, ça va au-delà de l’anatomie.

Quels sont les grands axes de ce que devrait couvrir l’éducation à la sexualité?

D’abord, livrer une information juste, limpide, et scientifique. Certains parents s’inquiètent qu’on y parle d’homosexualité. Sauf que c’est un fait. Ça existe. C’est une information scientifique, objective. Ils ne devraient pas s’inquiéter : l’école n’est pas là pour promouvoir, mais pour informer.

Ensuite, il y a la transmission de valeurs. Comment peut-on faire cela sans heurter les sensibilités des différentes minorités religieuses et culturelles? En transmettant des valeurs humanistes. C’est-à-dire ce qui prime dans nos sociétés : l’égalité, le consentement, le respect.

L’objectif de ce cours, c’est d’être fier de ce qu’on est, d’être capable de s’assumer, de respecter et de se faire respecter. Ce n’est pas de savoir ce que sont les ITSS; ça, c’est un moyen. Si je suis bien informé, au bout du compte, je serai mieux dans ma peau.

Mais si on parle d’ITSS, il faut aussi dire qu’il existe un coût social à l’ignorance en matière de sexualité.

Absolument! Il y a un coût humain, personnel : on se fera beaucoup plus blesser si on est ignorant, et on risque de se retrouver dans des situations bouleversantes, parfois même dramatiques. On ne devrait pas évacuer cette question du coût social non plus, parce qu’elle fait partie du problème. Des grossesses non désirées, des ITSS, des gens «fuckés» par des événements troublants : c’est le système de santé, entre autres, qui absorbe le coût de cette ignorance.

Vous le mentionnez souvent : il y a plusieurs aspects de la sexualité qui sont encore difficiles à aborder. Comme le plaisir. Vos livres d’éducation à la sexualité sont de nouveau réédités cet automne. Ça aussi, ça démontre qu’il y a un besoin d’éducation, non?

Sans doute. C’est un précédent au Québec : jamais une collection n’a été rééditée régulièrement pendant 30 ans. Le fond demeure le même, car le développement psychosexuel des enfants, selon l’âge, n’a pas changé. Mais on a révisé le contenu : on évoque des choses qui n’existaient pas autrefois, comme tout ce qui a trait aux technologies contemporaines. Et aujourd’hui, à 9 ans, presque tous les enfants ont été en contact avec la porno. Il faut donc expliquer ce que c’est, proposer des solutions de rechange, développer leur sens critique. Il faut qu’ils sachent que ce qu’ils voient n’est pas vrai, que c’est un marché.Nike

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Actualité•Médicaments•Santé sexuelle•Sexualité

Le «Viagra» féminin bientôt en vente

Par Le Devoir – Le premier « Viagra » féminin, destiné aux patientes non ménopausées souffrant d’une libido défaillante, va faire son entrée sur le marché après le feu vert donné mardi par l’Agence américaine des médicaments au comprimé Addyi de la firme Sprout Pharmaceuticals.

La Food and Drug Administration (FDA), qui a rejeté à deux reprises ce médicament en 2010 et 2013, a finalement suivi les recommandations en juin dernier d’un comité consultatif d’experts en faveur de sa commercialisation par 18 voix contre 6.Kids Clothes

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Actualité•Les enfants•Les maladies•Santé sexuelle•Vaccination

Vacciner les garçons malgré les coûts

Par Le Devoir – Malgré son coût élevé, l’Institut national de la santé publique du Québec recommande d’étendre la vaccination universelle contre le virus du papillome humain (VPH) à tous les jeunes garçons de 4e année du primaire, pour mieux protéger éventuellement les jeunes hommes gais de cette infection transmise sexuellement très courante.adidas

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Actualité•Médicaments•Recherche•Santé sexuelle

VIH : la pilule préventive ne favorise pas les comportements à risque

Par La Presse – Que se passe-t-il si on donne à des gens très à risque de contracter le VIH une pilule qui les immunise contre le virus? La réponse : pas ce que plusieurs craignent. Les consommateurs ne délaissent pas massivement le condom et n’ont pas de relations sexuelles avec un plus grand nombre de partenaires.

C’est ce que révèle une étude menée par la Clinique médicale l’Actuel sur le Truvada, un médicament controversé qui permet d’empêcher la transmission du VIH.

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L’approche qui pourrait tout changer

Par Le Devoir – Les toutes récentes recherches prouvant le bénéfice d’un traitement aux antirétroviraux dès le diagnostic ont jeté un pavé dans la mare, à la 8e Conférence internationale de la Société internationale sur le sida, à Vancouver. À la lumière de ces nouvelles données, médecins et experts devront revoir leur approche thérapeutique, alors que gouvernements et organismes annoncent déjà la révision de leurs lignes directrices.Nike Fashion

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Sexe : comment la musique nous excite

Par Psychologies – Une voix lascive, des notes puissantes… Certaines mélodies font monter en nous de délicieux désirs érotiques. Voici comment s’opère l’alchimie entre le plaisir et le son, deux « voisins psychiques » dans notre cerveau.

Le grand frisson. Si la musique et le sexe ont un premier point commun, c’est évidemment la vague qui parcourt l’échine. Love to Love, chante Donna Summer pendant dix-sept minutes… Et c’est, selon les hit-parades estivaux, la pâmoison assurée. Comment expliquer ce déferlement de plaisir, si proche de l’orgasme, que procure l’écoute de certains morceaux ?Air Jordan XXXI 31 Shoes

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Des pilules contraceptives périmées vendues dans des pharmacies Shoppers Drug Mart

Par Radio-Canada – L’entreprise Shoppers Drug Mart ont communiqué avec une centaine de clientes de l’Ouest à qui des pilules contraceptives périmées ont été vendues par erreur.

Les pilules de la marque Alesse 21 ont été vendues dans des pharmacies de l’Alberta, de la Colombie-Britannique, de la Saskatchewan et du Manitoba du 16 mars au 1er avril. Plusieurs des produits ont une date de péremption en septembre 2014.

Le porte-parole de Shoppers Drug Mart Ashesh Desai s’est excusé auprès des personnes touchées.

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