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Technologie
Exclusif•La prévention•Techno•Technologie

4 trucs pour prendre congé de son téléphone

Nous regardons nos téléphones intelligents 47 fois par jour en moyenne. 82, chez les 18 à 24 ans. Comme l’écrivait si bien un journaliste du New York Times : nous entretenons une relation intime avec ces objets de communication. Nous les trimbalons partout, dormons avec eux, les consultons à tout bout de champ. Chez plusieurs, le premier et le dernier geste du jour consistent à y faire glisser les doigts et le regard.

Pour toute fusionnelle qu’elle soit, cette relation est malsaine. Selon Moment, une application qui analyse l’usage que nous faisons de nos téléphones et compte 5 millions d’utilisateurs, c’est un total de 4 heures par jour, en moyenne, que nous passons rivés à nos appareils.

Et cela nuit considérablement aux rapports humains. Les vrais. Avec des gens en chair et en os. Plusieurs études révèlent en effet que les gens s’estiment régulièrement mis de côté par leurs amis et amoureux, au profit d’une machine. Non seulement cela : nos habitudes électroniques compromettent notre forme physique, notre état mental général, nous font perdre du temps et réduisent les heures consacrées à des loisirs.

Alors, avant que nos téléphones intelligents n’asservissent entièrement notre attention, voici quelques trucs pour apprendre à nous en passer. Au moins de temps en temps.

Techno contre techno

Il existe plusieurs applications qui nous aident à mieux gérer notre temps d’écran. Certaines, comme Moment (citée plus haut), permettent de prendre la mesure de vos minutes passées en ligne. Cela pourrait bien vous mener à revoir vos habitudes et à mettre les trucs qui suivent à l’essai. Si vous souffrez de la phobie de ne pouvoir répondre à un texto, l’application d’Apple qui les bloque lorsque vous conduisez est modifiable et permet d’envoyer des messages d’«absence » à divers moments, selon vos désirs. Enfin, si vous avez le réflexe de passer en revue vos réseaux sociaux de manière maladive toutes les cinq minutes, les applis comme Freedom et Flipd permettent de les bloquer pendant certaines périodes préétablies.

Séparez-vous pour quelques instants

Anxieux à la simple idée d’avoir oublié votre téléphone sur la table de l’entrée alors que vous ne vous rendez qu’à l’épicerie et serez de retour dans 15 minutes? Vous êtes peut-être mûr pour un petit sevrage volontaire. Faites exprès de laisser votre appareil à la maison si vous allez au cinéma ou que vous faites une promenade. Réapprenez à votre cerveau à s’ennuyer et à laisser vos idées dériver librement : votre santé mentale vous en remerciera! Et pour l’épicerie, faites une liste sur un bout de papier et oubliez votre bidule chez vous.

Utilisez des rappels physiques

Vous prenez machinalement votre téléphone et l’ouvrez sans raison? On appelle cela de la navigation zombie. Avant de vous sentir aussi fringant que les morts-vivants de The Walking Dead, essayez de tromper vos réflexes en plaçant un obstacle entre votre téléphone et vous. Mettez-le dans un sac à sandwich, entourez-le d’un élastique, posez-y un post-it : n’importe quoi qui vous empêchera de le consulter de manière compulsive, afin de meubler le moindre temps mort.

Commencez par le plus simple

Retirer toutes les applis de médias sociaux de votre téléphone ne risque pas de vous prémunir contre sa surutilisation bien longtemps : vous y reviendrez. Mais si vous en désactivez les notifications qui vous préviennent de chaque «J’aime», chaque commentaire, chaque message, vous réduisez les stimuli qui mènent à l’usage abusif. Vous pouvez aussi vous donner des règles simples, pas trop contraignantes : pas de téléphone ni de tablette au lit, par exemple (placez-les hors de portée si vous les utilisez comme réveille-matin). Enfin, mettez des activités à l’horaire qui vous forcent à mieux gérer votre temps : vous en aurez moins pour errer sans but dans le monde virtuel. Si vous êtes en couple, entraidez-vous à atteindre ces objectifs. Comme pour cesser de fumer, dites à votre entourage en quoi consistent vos résolutions. Vous sentir observé vous aidera à ne pas flancher.Kids Running Shoes

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Exclusif•La prévention•Santé générale•Techno•Technologie

La sécurité en santé connectée

En octobre, une vaste attaque de pirates informatiques a paralysé plusieurs des plus importantes entreprises d’Internet. Pour arriver à leurs fins, les renégats du Web se sont servis de vos objets de santé connectés. Par milliers.

 L’Internet des objets. L’expression désigne l’ensemble des gadgets reliés à Internet et dont le nombre explose depuis quelques années. Qu’on pense à des caméras de surveillance sans fil, des enregistreurs numériques fournis par les câblodistributeurs, des imprimantes, des cafetières, des frigos… mais aussi une tonne de nouveautés en santé connectée. Pèse-personnes, bracelets, thermomètres, capteurs de fréquences cardiaques et moniteurs pour bébés…

En octobre dernier, lorsque les pirates se sont attaqués aux serveurs Dyn afin de paralyser l’accès à des milliers de sites Internet (dont celui du New York Times, Airbnb, Twitter, PayPal, Etsy, et bien d’autres encore), ils ont employé un maliciel incrusté dans ces objets connectés, devenus des bornes de relais, afin de mener l’attaque.

Vos objets piratés

Il existe une multitude de moyens d’infecter un ordinateur ou un objet connecté avec un maliciel (aussi connu sous le nom de malware); ce programme invisible permet à celui qui l’installe de prendre le contrôle de l’ordinateur ou de l’objet et d’en faire un zombie à ajouter à son armée.

De l’extérieur, rien n’y paraît. Une page un peu louche ouverte par mégarde permet à un maliciel comme Mirai d’entrer dans votre ordi et de se frayer un chemin dans votre réseau WiFi, jusque dans vos objets connectés, entièrement à votre insu. Ceux-ci deviennent alors des cellules dormantes, prêtes à l’attaque, sans que vous le sachiez.

Et l’air de rien, cela menace l’équilibre du Web, de l’économie. Peut-être même de l’ordre mondial. Parce que les pirates pourraient s’en servir pour lancer des attaques contre des banques, la Bourse, de grandes entreprises, et même des gouvernements.

Récemment, c’est tout le Libéria qui a été mis à genoux par Mirai.

Que peut-on faire pour se protéger?

L’attaque informatique comme Dyn consistait à inonder les serveurs de demandes de données au même moment, à l’aide de centaines de milliers d’ordinateurs et d’objets connectés. Ces serveurs opèrent comme des relais entre les adresses Internet (en mots) et les adresses IP (un numéro qui est attribué aux sites et qui constitue leur véritable adresse dans la Toile); ils ont cédé sous la pression, rendant les sites visés indisponibles. À moins d’en connaître l’adresse IP.

Sans l’Internet des objets, des attaques d’une pareille ampleur seraient impossibles, puisqu’elles nécessitent plusieurs sources de demandes simultanées.

Le principal ennui avec la sécurité des objets connectés, c’est que ces derniers émanent le plus souvent de start-ups qui n’ont pas les moyens d’améliorer leur sécurité et ne subissent aucune pression incitative (des gouvernements, par exemple) pour le faire.

De la même manière, les usagers négligent l’emploi systématique d’antivirus et font preuve d’imprudence lorsqu’ils naviguent sur Internet, ouvrant des pages douteuses qui sont potentiellement porteuses de maliciels.

Donc, en attendant que les pouvoirs publics insistent pour rendre l’Internet des objets plus étanche, la responsabilité de la sécurité du Web incombe aux utilisateurs.

Cela peut d’ailleurs commencer en exigeant des objets plus sécuritaires et en refusant d’acheter ceux qui prêtent le flanc aux pirates. Autre précaution : se munir d’un bon antivirus qui détecte les maliciels.Nike

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Exclusif•La prévention•Techno•Technologie

Avancées et périls de la santé numérique

Du 14 au 20 novembre, c’est la Semaine de la santé numérique. Occasion de faire le point sur une tendance nécessaire, tant pour l’accessibilité que la gestion des soins.

Le papier n’a peut-être pas dit son dernier mot en littérature, mais il paraît de plus en plus caduc dans nos bureaux. Particulièrement pour tout ce qui touche à la transmission de données.

Avec des médecins qui œuvrent en clinique, à l’hôpital, sur la route, et des patients qui butinent d’un centre de soins à l’autre, et d’un secteur à l’autre à l’intérieur d’un même établissement, la numérisation des dossiers médicaux et de l’ensemble de la gestion de la santé aurait dû être complétée depuis longtemps.

Or, la santé au Québec étant ce qu’elle est (publique, et donc à la fois propulsée et lestée par la bureaucratie comme par la politique), nous accusons un certain retard.

L’accès aux soins

Mais tout n’est pas noir pour autant, assure Xavier Boilard, président d’Omnimed. «Le premier pas est fait. L’objectif général est de remplacer le papier. Les gens comprennent et sont de plus en plus intéressés. Et maintenant, on embarque dans l’étape où la technologie doit permettre un meilleur accès aux soins.»

Sa compagnie produit d’ailleurs des logiciels de dossiers de patients et de prise de rendez-vous depuis un moment déjà. Elle équipe plusieurs cliniques à travers le Québec. Il comprend donc très bien la nature des enjeux des dossiers de la santé publique.

Et malgré les complications, les accrochages et les coûts exorbitants entourant de grands projets comme le Dossier santé Québec (DSQ), il constate que les choses se placent.

«Ça avance, affirme-t-il. Après avoir intégré la pharmacie et les laboratoires, on est en train d’y arrimer la radiologie. Et au lieu de documents en PDF numérisés, on transmet de plus en plus de données numériques à la base.»

Rien n’est jamais simple, cependant, et les dossiers médicaux complets (DME pour «dossier médical électronique») de même que les dossiers d’établissement constituent de vastes projets qui comportent deux importants défis.

Le premier : que les systèmes soient compatibles. «Qu’ils se parlent», comme le dit M. Boilard.

Le second : avoir sous la main une bonne équipe pour les mises à jour. «Je vois d’un bon œil que le gouvernement ait choisi la solution du partagiciel avec Cristal-Net. C’est un bon système. Son défi, toutefois, sera de conserver une équipe de programmeurs qui saura faire évoluer le code source et l’adapter, maintenir le système et innover.»

Les défis de l’avenir

Outre les grands enjeux du système de santé, auxquels s’ajoutent la sécurité des données et leur confidentialité, Xavier Boilard constate que deux courants principaux émergent en santé numérique, et exposent de nouvelles lignes de faille.

«D’un côté, il y a des compagnies qui innovent et veulent lancer des produits très rapidement. De l’autre, il y a un contre-courant qui veut mater cette innovation pour qu’elle se conforme à des standards de qualité afin d’offrir des produits sécuritaires, dont les résultats sont valides», explique-t-il.

La validité est effectivement un enjeu de taille : un cardiofréquencemètre maison dont la cueillette de données n’est pas stable n’aide en rien le traitement du patient. Au contraire, cela nuit.

«Il faut se demander ce qui est vraiment pertinent», aussi, croit le patron d’Omnimed, qui tisse des liens avec d’autres entreprises en santé, comme PetalMD, afin d’offrir aux cliniques des solutions plus complètes. «Comment gérer toutes ces données? Comment les sécuriser? Comment les employer afin qu’elles soient utiles?» Au-delà de l’enthousiasme, croit-il, comme plusieurs, la santé numérique doit avancer en se posant ces essentielles questions qui lui permettront d’éviter de graves faux pas.Men’s Tops

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Actualité•La prévention•Recherche•Technologie

Des chercheurs canadiens identifient le premier gène associé à la sclérose en plaques

Par Radio-Canada – Le premier gène associé à la sclérose en plaques a été trouvé par des chercheurs canadiens et permet d’expliquer ce qui était jusqu’à présent inexplicable : pourquoi, dans certaines familles, des membres sont-ils plus susceptibles d’être atteints par la maladie que d’autres?

Une équipe de l’Université de la Colombie-Britannique est à l’origine de cette découverte importante, qui a été récemment publiée dans la revue Neuron.

Les chercheurs savaient qu’il existait une composante héréditaire pour cette maladie neurodégénérative. Ils l’ont enfin prouvé avec cette découverte.

Pour y arriver, les chercheurs ont étudié des échantillons sanguins provenant de 2000 familles canadiennes. La mutation a été trouvée plus précisément chez deux familles dont les deux tiers des personnes atteintes ont développé une forme progressive de la maladie.

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La création d’embryons pour la recherche, une pratique délicate

Le Devoir – Les Pays-Bas viennent d’autoriser la production d’embryons à des fins de recherche scientifique pour résoudre les problèmes d’infertilité, les échecs de la reproduction médicalement assistée ou prévenir les maladies héréditaires. Sans être un précédent, cette position marginale détonne par rapport à celle de pays industrialisés qui sont beaucoup moins permissifs.

 

Au Canada, en France et en Australie, les scientifiques ne sont autorisés à mener des recherches sur des embryons humains que si ceux-ci ont été créés par fécondation in vitro (FIV) pour la procréation assistée, et à la condition qu’ils ne fassent plus l’objet d’un projet parental ou que les parents aient donné leur consentement. Ces pays ont pour la plupart ratifié la convention internationale d’Oviedo sur les droits de l’homme et la biomédecine qui interdit la constitution d’embryons à des fins de recherche.

 

Quelques pays, notamment l’Allemagne et l’Italie, sont toutefois encore plus restrictifs que le Canada et ses semblables, et bannissent toute utilisation d’embryons à des fins autres que procréatives.Jordan sneakers

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Des objets connectés pour la santé à la maison

Tendance forte dans le monde des technos, les objets connectés investissent le monde de la santé pour mieux rapprocher médecins et patients.

 

 

 

Le stéthoscope Core, d’Eko

Bien qu’il ait été conçu à l’intention des professionnels de la santé, le Core permet aux personnes qui souffrent de problèmes cardiaques de tenir un journal de leur état.

Fixé à un stéthoscope analogique – ou traditionnel, si vous préférez –, l’appareil transmet les données recueillies à un téléphone intelligent.

Core ne fournit pas de diagnostic, mais stocke, à l’aide d’une application, les données enregistrées grâce au stéthoscope, soit l’enregistrement sonore des battements cardiaques captés ainsi qu’un diagramme visuel qui permet au médecin d’interpréter les résultats obtenus, qui peuvent ensuite lui être transmis par courriel.

Clinicloud

L’idée derrière Clinicloud, c’est d’éviter les visites inutiles chez le médecin, de faire le suivi d’enfants malades à la maison, mais surtout de donner aux parents une idée du véritable niveau d’inquiétude qu’ils devraient avoir lorsque leurs petits paraissent souffrants.

Ces objets connectés sont à la fine pointe de la technologie. Principalement le thermomètre qui, en utilisant l’infrarouge, permet d’obtenir la température d’un sujet sans le moindre contact avec celui-ci. L’information est ensuite relayée à une application mobile qui permet, à l’aide de paramètres de base, de mesurer la gravité de la situation.

Le stéthoscope – entièrement numérique, celui-là – fourni avec cet ensemble médical familial d’avant-garde fonctionne selon les mêmes principes. Toutes les données sont stockées dans un serveur infonuagique (cloud).

L’application va plus loin en proposant une série de gestes permettant d’effectuer un examen maison; elle en analysera les données par la suite.

Enfin, les utilisateurs peuvent réclamer un rendez-vous virtuel (et visuel) avec un médecin s’ils le souhaitent, sans avoir à sortir de l’environnement Clinicloud, mais à la condition, pour le moment, d’habiter aux États-Unis.Nike news

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