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Les enfants
Exclusif•Les enfants

Quand doit-on amener son enfant à l’urgence?

Les urgences débordent. C’est un peu parce qu’il est difficile de voir un médecin de famille sans attendre une éternité. Mais c’est aussi beaucoup parce qu’au moindre bobo, surtout pour nos enfants, nous nous précipitons à l’hôpital.

Avec la médecin de famille Karine Dumont, nous passons en revue quelques maux d’enfants, parmi les plus fréquents, pour lesquels nous devrions – ou pas – aller engorger les salles d’attente des urgences.

Fièvre

«Un bambin entre 0 et 2 mois fait de la fièvre : ON SE REND À L’URGENCE.»

«En haut de 2 mois, pour un enfant vacciné, s’il fait de la fièvre, qu’on la contrôle avec du Tempra et que l’enfant urine bien, donc s’hydrate bien, on peut facilement attendre 2, 3 jours à la maison, même s’il mange peu. Mais pas de garderie, par contre. Si ça se poursuit au-delà de trois jours, ça vaut la peine de voir un médecin. Mais en clinique, PAS À L’URGENCE, à moins de détresse respiratoire (difficulté à respirer) ou de déshydratation.»

Toux

«Même sans fièvre, si cela persiste au-delà de 7 à 10 jours, ça vaut la peine de voir un médecin, mais PAS D’ALLER À L’URGENCE, à moins de difficultés respiratoires.» Direction médecin de famille ou clinique sans rendez-vous.

Gastro

Très, très important, en cas de gastro : RESTEZ À LA MAISON. «Sinon, vous allez contaminer tout le monde à l’urgence, y compris le personnel.» Il est toutefois important de s’hydrater, même en petites quantités. Ce n’est qu’en cas de déshydratation (réduction des urines) qu’on se rendra à l’urgence.

Éruptions cutanées

«C’est parfois le symptôme d’une réaction allergique. Surtout si on vient d’intégrer un nouvel aliment ou un médicament inhabituel. Mais s’il n’y a pas de difficulté respiratoire, on peut très bien aller voir son médecin de famille.» L’idée est de faire l’état des lieux et de constater l’état général de l’enfant : est-il diminué, fiévreux? Si ça persiste, on consulte. ATTENTION AUX ENFANTS QUI NE SONT PAS VACCINÉS : il peut s’agir de rougeole ou de rubéole.

Grippe

Si l’enfant fait de la fièvre plus de 3 jours, on consulte un médecin. Mais on risque fort d’être renvoyé à la maison. «Et inutile de quitter la clinique pour aller à l’hôpital dans l’espoir de se faire prescrire des antibiotiques : ça n’arrivera pas.»

Chute

«Un enfant qui tombe d’une table à langer ou qui chute avec nous dans les escaliers, c’est sûr que c’est vraiment inquiétant. Il faut surtout l’observer : s’il ne vomit pas, qu’il cesse de pleurer après un moment, qu’il mange, qu’il semble bien aller, il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Mais s’il régurgite, que son discours est incohérent, qu’il perd l’équilibre : ON VA À L’URGENCE DE L’HÔPITAL. Dans le doute, on appelle le 811 pour se rassurer. Et on peut aussi prendre rendez-vous avec un médecin pour vérifier que tout est correct.»Nike Shop

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Exclusif•La prévention•Les enfants

Enseigner la méditation aux enfants

La frénésie est contagieuse. Le stress aussi. Nos enfants sont donc plus ou moins forcés de subir le rythme haletant de journées qui, du lever au coucher, sont parfois un essoufflant ballet d’obligations dans lequel nous nous oublions. C’est ce constat qui mène de plus en plus d’adultes à pratiquer la méditation.

D’autant qu’il est désormais prouvé par la science qu’elle est bénéfique pour la santé générale. C’est aussi ce qui pousse un nombre croissant de parents à vouloir initier leurs enfants à cette pratique qui leur évite de traverser la vie sans en profiter.

Mais attention : à vouloir trop en faire, on pourrait les dégoûter. Car on n’apprend pas aux enfants à méditer comme on le fait avec les parents.

Jouer à la méditation

«Je pense qu’avant de penser à initier nos enfants à la méditation, il faut comprendre deux choses, expose la professeure de méditation et thérapeute en pleine conscience Marie-Ève Lécine. D’abord, puisque notre stress est contagieux, on aura beau faire faire de la méditation à nos enfants, ils vont quand même être tendus si nous le sommes. Ensuite, il ne faut surtout pas que ça devienne un devoir supplémentaire, une autre charge à mettre à leur agenda.»

Marie-Ève Lécine propose plutôt d’intégrer des techniques de pleine conscience au quotidien. Et d’en faire un jeu.

«Conceptuellement, la méditation, c’est la même chose pour les enfants et les adultes, mais sur la forme, c’est complètement différent. Beaucoup parce qu’il est difficile de demander aux jeunes de s’asseoir, immobiles», expose la prof qui suggère l’âge d’environ 7 ans pour débuter.

Premiers pas

«L’essentiel, c’est de leur faire prendre contact avec l’instant présent, propose-t-elle. Ça peut être intérieur, comme avec des exercices de respiration très simples et amusants. Ça comporte aussi l’observation de ses propres sentiments, de comment on se sent. On demande aux enfants de se brancher sur leurs émotions. Comment vont-ils? Ont-ils un soleil, des nuages, un orage en eux?»

«Ou alors ça peut être extérieur, poursuit-elle, en les amenant à fixer leur attention sur des choses de la nature, préférablement toutes petites, comme une fourmi qui avance dans le gazon.»

La prof adore intégrer la pleine conscience, soit l’art d’être à fond dans le moment présent, à toutes les activités qui ponctuent le quotidien. Comme manger. Ce qu’aucun enfant ne risque de refuser. Surtout s’il s’agit d’une sucrerie

«J’adore travailler avec les sens! La méditation du chocolat, c’est vraiment amusant. Mais on peut aussi jouer avec le toucher, et prendre le temps d’apprécier des textures, ou encore se concentrer sur un son. Le but, c’est de profiter de tout ce qui s’offre à nous.»

Des petits gestes

Le yoga est aussi une bonne manière de se recentrer et de prendre conscience de son corps. «On peut faire des choses très simples qui les obligent à se concentrer sur leur corps. Pas besoin de faire plusieurs répétitions ou que ça dure longtemps.»

Avec les enfants, l’accumulation de petits gestes et d’incitatifs ponctuels à changer leur point de vue pour goûter le quotidien a bien plus de chances de créer un état d’esprit qui mènera à un vrai changement de rythme de vie.

«Le cerveau des enfants est très plastique, rappelle la thérapeute. Alors s’ils apprennent à aller en profondeur dans ce qu’ils font, ça restera inscrit en eux.»

///

 

Besoin de plus de conseils précis? Marie-Ève Lécine a quelques suggestions de contenus pour initier les enfants à la méditation :

 

Le livre En route vers la sérénité, de Susan Kaiser Greenland

 

La vidéo Pour méditer comme une grenouille

 

Et le livre duquel est tirée la vidéo précédente, Calme et attentif comme une grenouille, d’Eline Snel, préfacé par la sommité en la matière Christophe André.Lebron Soldier XII 12

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Exclusif•Les enfants

Vos enfants passent-ils trop de temps devant un écran?

C’est parfois, a-t-on le sentiment, la seule manière d’obtenir un peu de répit comme parent : installer notre enfant devant l’un des nombreux écrans qui habillent le décor de notre quotidien. Téléphone portable, tablette, ordinateur, télévision…

Mais il appert que, si les émissions, jeux et autres divertissements qu’ils y consomment peuvent favoriser l’apprentissage, l’excès a des conséquences néfastes sur leur santé.

Afin de faire le point sur la question en employant de véritables études scientifiques pour appuyer ses recommandations, la Société canadienne de pédiatrie a publié un document dans lequel elle détaille les effets de ce qui n’est déjà plus une nouveauté technologique dans nos vies. Elle propose aussi quelques bonnes pratiques à adopter pour éviter les dérives.

Des écrans partout

Avant, il y avait la télé. Plusieurs parents sont demeurés scotchés devant pendant des pans entiers de leur enfance, c’est bien vrai. Mais les écrans nous suivent désormais partout. Dans l’auto. Au parc. Dans les salles d’attente. À l’épicerie.

Trop pour la santé

En 2014, on constatait que les jeunes de 2 à 5 ans passent plus de deux heures par jour devant un écran en moyenne. Selon les directives en matière de comportement sédentaire, cette activité ne devrait pas meubler plus d’une heure quotidiennement chez les enfants de cette tranche d’âge.

Les effets positifs pas totalement démontrés

Les études qui évaluent l’influence favorable sur le développement du cerveau des enfants qui regardent des écrans et interagissent avec eux sont encore trop limitées. On ne peut donc pas parler d’un contrepoint positif aux effets clairement nocifs de la passivité qu’entraîne leur usage excessif.

Le faire avec eux

Pour que les plus jeunes enfants comprennent bien ce qui se passe dans l’écran et qu’ils en tirent profit, ils doivent le regarder avec un adulte. Surtout s’il s’agit de contenu éducatif. L’appareil électronique ne devrait donc pas constituer un «parking» à marmots, mais un outil d’apprentissage qui doit être non seulement supervisé, mais dirigé par la personne responsable. Il faut poser des questions, mettre en contexte, expliquer, sinon l’information est rarement assimilée.

L’importance du contrôle parental

Ce que montrent les études, c’est que le développement psychosocial se fait bien plus efficacement chez les enfants qui interagissent avec leur entourage lors d’activités familiales et à la garderie.

Par activités, on entend les rendez-vous du quotidien, comme les repas. Aussi, les parents devraient limiter et contrôler l’utilisation des écrans pour les exclure de ces moments de temps partagé.

L’obésité

L’Observatoire des tout-petits publiait récemment une étude sur les enjeux de santé des enfants. Il appert que le surpoids des moins de 5 ans est un problème croissant auquel n’est pas étrangère l’inactivité physique qu’amène l’usage trop important d’écrans.

Seulement 15 % des jeunes Canadiens respectent les normes en matière de comportement sédentaire.

Donner l’exemple

Les parents ont aussi un problème d’écrans. Selon eMarketer, les adultes américains passent plus de 4 heures par jour à consulter leur téléphone portable. C’est en plus des tablettes, de la télé et de leur ordinateur.

Or, nos enfants nous imitent et il est bien difficile de réclamer d’eux un comportement que nous ne pouvons pas adopter nous-mêmes.

Parmi les recommandations des pédiatres, au-delà du contrôle parental sur les heures d’utilisation, de la supervision de la nature des contenus consommés et du maintien d’un temps de famille de qualité, il y a aussi l’importance de donner le bon exemple.Air Jordan

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Actualité•Alimentation/ nutrition•La prévention•Les enfants

Les fruits stimuleraient le développement cognitif des bébés

Par La Presse – Les bébés nés de mères qui ont consommé de grandes quantités de fruits pendant leur grossesse offrent une meilleure performance lors de tests cognitifs à l’âge d’un an, selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de l’Alberta.

Les scientifiques ont étudié des données colligées dans le cadre de l’étude CHILD (Canadian Healthy Infant Longitudinal Development), qui regroupe plus de 3500 enfants et leurs familles.

Ils ont constaté que les femmes qui mangeaient six ou sept portions de fruits ou de jus de fruits par jour accouchaient ensuite d’enfants qui, à l’âge d’un an, obtenaient six ou sept points de plus lors d’un test de QI – un écart que les chercheurs qualifient de «très important».

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Les enfants•Vaccination

Un 2e vaccin contre la varicelle entre 4 et 6 ans

Par Radio-Canada – À compter du 1er avril prochain, une deuxième dose du vaccin contre la varicelle sera ajoutée au calendrier québécois de vaccination gratuite pour les enfants de 4 à 6 ans. La mesure était à l’étude depuis 2011.

Québec évaluait la pertinence d’offrir une deuxième dose du vaccin aux enfants, une pratique désormais répandue ailleurs au Canada et aux États-Unis.

« Ça permet d’avoir une protection à plus long terme et d’avoir un meilleur contrôle de l’infection de façon générale », explique la Dre Danielle Auger, de la Direction de la santé publique.

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Actualité•Arthrite et arthrose•Les enfants

Souffrir de l’arthrite juvénile

Par Radio-Canada – Mars est le mois de la sensibilisation à l’arthrite juvénile, une campagne pour inciter les parents à être attentifs aux comportements suspects chez leurs enfants. Une intervention médicale rapide peut faire toute la différence et alléger bien des souffrances.

Jarad Hauck souffre de l’arthrite depuis l’âge de 11 ans. La souffrance l’empêchait de jouer aux blocs Lego et aux jeux vidéo.

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Actualité•Les enfants•Sommeil

Les adolescents en décalage horaire

Par Le Devoir – Hyperoccupés, branchés jusque dans leur lit, dévorés par leur vie sociale, aux prises avec leurs bouleversements hormonaux, les adolescents manquent cruellement de sommeil. À un point tel que cela nuit à leurs études. Et il n’est pas simple de les aider…

« Le lundi matin, c’est pire. C’est trente-deux plantes vertes qui ont gravement manqué d’eau pendant la fin de semaine ! », précise Caroline Charbonneau, qui enseigne les sciences au secondaire.Nike Zoom Flight Bonafide

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Actualité•Les enfants•Santé mentale

Trouble de déficit d’attention: même trouble, symptômes différents

Par La Presse – Quand on pense au trouble de déficit d’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), une image nous vient souvent en tête : celle du petit garçon très hyperactif, turbulent, dérangeant. Et si les filles ayant un TDAH avaient des symptômes différents, moins visibles, mais tout aussi (sinon plus) invalidants ? Le point sur la question.Nike

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La prévention•Les enfants

Nouveautés dans le guide Mieux vivre avec notre enfant

Par La Presse – L’édition 2016 du guide pratique Mieux vivre avec notre enfant de la grossesse à deux ans, remis à tous les futurs parents lors du suivi prénatal, vient de paraître. Imprimée à 113 000 exemplaires, cette édition « contient de petites modifications qu’on se permet de faire pour rester à jour », explique Chantale Audet, rédactrice en chef du guide publié par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). En voici quelques exemples.Air Zoom Pegasus 34

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Actualité•Alimentation/ nutrition•Les enfants•Recherche

Agir sur la flore intestinale, nouvelle arme contre la malnutrition infantile

Par La Presse – Agir sur la flore intestinale – ou «microbiote intestinal» – pourrait aider à lutter contre les effets durables de la malnutrition chez de jeunes enfants, suggèrent deux études publiées jeudi aux États-Unis qui viennent confirmer l’importance de la faune intestinale pour préserver la santé.

Ce microbiote, composé de 100 000 milliards de bactéries, exerce des fonctions cruciales pour notre santé, comme la dégradation des aliments ingérés pour une meilleure absorption intestinale et un métabolisme optimal. Ces milliards de bactéries, qui colonisent l’intestin dès la naissance, jouent également un rôle clé dans la maturation des défenses immunitaires.adidas

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