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Les maladies
Exclusif•La prévention•Obésité et surpoids•Sport et activité physique

Trois conseils à appliquer pour avoir la forme

Quel est le minimum d’exercice requis pour obtenir des gains sur la santé? Que faut-il manger pour être en meilleure condition physique et comment éviter la malbouffe? De récentes études et quelques conseils de base ne nuisent jamais pour se remettre en forme. En voici trois, simples et efficaces, à suivre sans peur de trop se tromper.

Chaque petit pas compte

On ne le répétera jamais assez : pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires et la mort prématurée, il est primordial de bouger. Pas de courir le marathon, mais seulement de faire de l’exercice modéré, 30 minutes par jour, 5 jours par semaine. Or, les plus récentes recherches laissent entendre que si vous marchez 6 fois pendant 5 minutes tous les jours, cela suffit pour atteindre cet objectif. En bref, vos petits déplacements s’accumulent et produisent le même effet qu’une longue marche de 30 minutes.

Raison de plus pour s’y mettre, et multiplier les occasions de se déplacer à pied, même si c’est pour aller à quelques maisons de chez soi.

Allez à l’épicerie, à la pharmacie ou chez des amis en laissant la voiture à votre domicile. Si la boîte de la poste est au coin de la rue, n’attendez plus de passer devant alors que vous êtes au volant : faites-en une mini-sortie. Ou lorsque vous faites des courses, stationnez l’auto plus loin afin de faire quelques pas supplémentaires. Vous mettrez ainsi les chances de votre bord pour vivre plus longtemps, et surtout en meilleure santé.

Pour perdre du poids, cuisinez

Compter maladivement chaque calorie ingérée n’est pas une manière viable de perdre du poids. D’autant que ce calcul ne tient pas compte de la qualité des aliments consommés. Or, celle-ci change considérablement notre impression de satiété et la rapidité à laquelle la faim se fait à nouveau ressentir.

Il ne faut pas non plus faire de fixation sur les macronutriments (les glucides, les lipides et les protéines), et plutôt varier notre alimentation en mettant l’accent sur les végétaux. Mais il faut surtout cuisiner, le plus possible avec des aliments frais. Cessez d’acheter des plats préparés et limitez les aliments transformés. Vous réduirez du même coup votre apport en sucre, en sel, et améliorerez vos apports en fibres, en protéines, en glucides, ainsi que pour la plupart des vitamines et minéraux.

En gros : si vous suivez ces conseils, vous risquez de n’avoir plus besoin de compter, et vous serez rassasié.

Autre suggestion pour éloigner la tentation : fuyez les allées du centre à l’épicerie. C’est là que vous serez exposé aux biscuits, craquelins et soupes faits en usine, qui contiennent des doses élevées d’éléments à proscrire, ou à réduire au minimum.

Le sport et les bananes

Les adeptes de sports d’endurance – ils sont de plus en plus nombreux – ont des besoins supplémentaires en nutrition. Ils doivent nourrir et réparer les muscles qu’ils mettent à l’épreuve et qui sont soumis à une certaine inflammation.

Une toute récente étude américaine a comparé chez eux l’effet des boissons sportives et des bananes.

Les mêmes chercheurs avaient déjà démontré que les sportifs qui font des efforts de 75 minutes et plus obtenaient de meilleurs résultats et récupéraient plus vite s’ils consommaient des glucides pendant et après l’effort.

Cette fois, non seulement ont-ils fait des essais comparant l’exercice avec et sans apport de sucre, mais ils ont aussi mis dos à dos l’usage de bananes et celui de boissons sportives.

Un nouveau point marqué pour les apôtres de la vraie nourriture : les bananes contiennent des éléments qui, en plus des glucides, accélèrent la réduction de l’inflammation musculaire. Les chercheurs ignorent encore comment, mais devinent qu’il s’agit de l’effet combiné des glucides à une autre substance présente dans ce fruit.

Seul hic : les bananes causent chez certains sportifs une sensation de ballonnement. Mieux vaut donc en faire l’essai à l’entraînement, avant de les adopter lors d’une épreuve sportive. Ou alors en restreindre l’usage pour la phase de récupération.Air Max Shox 2018

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Exclusif•La prévention•Peau•Recherche•Santé générale

Trop propres, nos enfants?

De leur naissance à la fin de la petite enfance, nos enfants vivent trop souvent dans des bulles de propreté. Or, cette obsession du bébé propre nuit au développement de son système immunitaire. De même que les accouchements par césarienne ou la trop fréquente ingestion d’antibiotiques.

Les chercheursB. Brett Finlay et Marie-Claire Arrieta signent Les microbes, nos alliés, un livre à la fois informatif et pratique qui permet de mieux comprendre le fonctionnement du microbiote au quotidien. Et surtout comment le contact avec un peu de saleté rend nos enfants plus résistants aux maladies qui les menacent.

C’est aussi ce qui ressort de notre entrevue.

Mme Arrieta, nous sommes très préoccupés par la santé de nos enfants, c’est normal. Mais avons-nous atteint un point où notre souci vire à l’obsession, ce qui leur est nuisible?

Oui et non. C’est une bonne chose que nous consacrions beaucoup d’énergie et d’intérêt à la santé des enfants. C’est notre conception d’un environnement propre ou de l’utilisation de médicaments comme les antibiotiques pour le moindre petit bobo qui est nuisible.

Mais c’est parfois difficile pour les parents d’aller contre leur instinct et ce qu’ils ont toujours fait : on veut une solution un peu blindée, réduire le risque au minimum.

C’est vrai : si vos enfants sont malades, vous voulez qu’ils retrouvent la santé immédiatement, et ne pas attendre pendant des jours pour qu’ils guérissent. Mais notre propension à employer certaines méthodes qui paraissent plus efficaces peut devenir néfaste. C’est cela qu’il faut comprendre. Il faut être mieux éduqué, comme parent, pour ne pas céder à la panique et prendre les meilleures décisions à moyen et long termes.

C’est pour cela que votre livre propose plusieurs pistes à suivre dans différentes situations données?

Oui! Nous sommes des scientifiques et n’avons donc pas l’habitude d’écrire pour le public. Mais dans notre entourage, les mêmes questions revenaient sans cesse, concernant les vaccins, la propreté, certaines maladies et comment les traiter. Nous tentons d’y répondre de manière claire.

Il est beaucoup question de la nécessité d’exposer les enfants au monde qui les entoure afin de stimuler leur microbiote, qui, lui, est lié au système immunitaire. Comment cela fonctionne-t-il au juste?

Lorsque nous naissons, notre système immunitaire est très rudimentaire. C’est à la rencontre de l’environnement externe qu’il se développe, donc en entrant en contact avec différents microbes. Il s’éduque à force de s’y frotter. Ce qui a changé, c’est que pendant des millénaires, ce processus était le même. Lors de la naissance, les voies vaginales et le contact avec des matières fécales fournissaient un premier apport microbien. L’allaitement maternel, un second. Puis les enfants jouaient sur le sol, mangeaient des cailloux, de la terre. Notre mode de vie moderne les prive parfois de tout cela. Ce qui a des conséquences importantes sur leur système immunitaire pour le reste de leur vie.

La tendance à l’hyperpropreté est plutôt récente. Mais c’est devenu naturel de laver les bébés très souvent, de ne pas les laisser toucher des objets qui ont été sur le sol, et encore moins les mettre dans leur bouche… Ça ne veut pas dire de les laisser faire n’importe quoi : ils ne devraient pas être en contact avec des surfaces infectées, par exemple, ni avec des aliments où il y a de la pourriture. Mais il faut que nous soyons un peu moins obsédés par la propreté. J’ai vu des parents qui nettoyaient le plancher de la maison à l’eau de Javel tous les jours pour s’assurer que leur bébé ne serait jamais en contact avec une surface sale… C’est ce genre de comportement qui affaiblit le système immunitaire des enfants.

La science entourant le microbiote est encore très jeune. Nous en savons donc peu sur son influence sur le système immunitaire. À quoi pouvons-nous nous fier parmi toute l’information qui ressort des différentes recherches?

Aux choses dont nous sommes sûrs. Par exemple, la naissance par voie naturelle réduit le risque de maladies. L’allaitement maternel aussi. Les antibiotiques nuisent considérablement à la santé du microbiote; ça aussi on le sait, et c’est parfois la seule de ces trois choses que nous pouvons contrôler. C’est un des plus gros enjeux : ils sont consommés trop souvent et les médecins subissent une pression énorme pour les prescrire aux enfants. Là encore, être mieux éduqué sur la question, comme parent, nous permet de prendre des décisions plus éclairées.Footwear

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Exclusif•La prévention•Les maladies•Santé cardiaque•Santé générale

Soigner son coeur pour vivre mieux

Le cœur. Moteur de la vie. Puisqu’il fonctionne par automatisme, nous oublions à quel point ce muscle qui pompe le sang dans notre corps est important, précieux, mais aussi fragile. Nous proposons ici une série basée sur un entretien de fond avec le cardiologue Martin Juneau, qui a fait de la prévention son cheval de bataille.

On dit du cœur que c’est un muscle involontaire. Ce n’est pas entièrement vrai.

En réalité, si on y met l’effort, on peut inspirer le cœur, et l’amener à mieux fonctionner pendant plus longtemps. C’est le combat que mène le docteur Martin Juneau depuis le début de sa carrière : convaincre ses patients de modifier leurs habitudes de vie afin de non pas seulement allonger leurs jours, mais aussi les rendre meilleurs.

Vivre plus longtemps, et en santé

Dans son récent ouvrage (Un cœur pour la vie, éditions Trécarré), aussi bien documenté que vulgarisé, ce cardiologue spécialiste de la prévention se désole que, si l’espérance de vie augmente depuis des années, l’espérance de vie en santé, elle, ne bouge pas.

Cela signifie que, si la médecine parvient à garder les gens en vie plus longtemps, ceux-ci doivent cependant passer ces dernières années d’existence dans un état plus ou moins misérable, aux prises avec des maladies chroniques qui les empêchent de profiter pleinement des jours supplémentaires qui leur sont accordés.

Si bien que les gens qui débarquent dans le cabinet du Dr Juneau manifestent souvent un certain fatalisme. «Les gens me disent souvent : “Faut bien mourir de quelque chose”, et ils espèrent succomber à un infarctus qui les tuera sur-le-champ», expose-t-il depuis son bureau, à l’Institut de cardiologie de Montréal. «L’ennui, poursuit-il, c’est qu’on ne meurt pas nécessairement d’un premier infarctus. Et si on ne fait rien, on en aura un deuxième, puis un autre. On développe alors de l’insuffisance cardiaque, on peine à respirer au moindre effort.»

«Si vous faites de l’activité physique et que vous mangez mieux et maintenez un poids santé, vous allez avoir une bien plus belle fin de vie», insiste-t-il.

La lente victoire d’un granola

Autrefois, les confrères de Martin Juneau le considéraient avec un mélange d’amusement et de scepticisme. «On respectait mon expertise, mon parcours, mais plusieurs me prenaient pour une sorte de granola.»

C’était en 1986. Juneau revenait de sa formation à Stanford, en Californie, où ses congénères faisaient tous de l’exercice et étaient largement végétariens. «Ici, on était 30 ans en retard», se souvient-il.

Le retard n’est pas encore tout à fait rattrapé, fait-il remarquer. C’est pourquoi il destine son livre autant aux médecins qu’aux individus, afin de permettre aux premiers de profiter d’années d’expérience en matière de vulgarisation et d’évangélisation quant aux bénéfices multiples de l’amélioration des habitudes de vie.

«Depuis quatre ou cinq ans, j’ai une bien meilleure réception de la part des médecins, qui sont contents qu’on leur parle enfin un peu de plus de prévention plutôt que de toujours appuyer sur les méthodes curatives.»

Par là, il entend le monde de la pharmacologie, qui domine le discours médical.

La facilité de prendre une pilule plutôt que de changer ses habitudes de vie a d’ailleurs contaminé la méthode médicale. «On me dit tout le temps que les patients ne veulent rien savoir, qu’ils ne veulent pas changer de mode de vie. Mais si les médecins ne sont pas convaincus eux non plus des bienfaits de ces modifications apportées au quotidien des individus, évidemment qu’on ne peut pas convaincre les patients.»

En rassemblant une poignée d’études concluantes, de cas éclairants et d’explications limpides, le livre de Martin Juneau fait œuvre utile à plusieurs niveaux. À commencer par celui duquel part l’information primordiale sur la santé : le bureau du médecin.

Mais, constate le cardiologue, les gens croient plus encore aux vertus des changements de style de vie que le monde médical. «La population est en avance sur la médecine», dit-il. Si bien que cette paresse qu’on prête aux individus, c’est peut-être surtout celle d’un système qui préfère la facilité aux solutions qui réclament des explications et de l’encadrement.

La semaine prochaine : Ce que vous mangez peut vous sauver la vieZoom Lebron XV 15 Low

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Cancer•Exclusif•La prévention

Se méfier du cancer du pancréas

Parmi les cancers les plus foudroyants, celui du pancréas est particulièrement impitoyable chez ceux qui reçoivent un diagnostic tardif. Heureusement, la recherche avance.

Au 12e rang pour l’incidence, le cancer du pancréas trône tristement au 4e en ce qui a trait à la mortalité. C’est dire que s’il n’est pas le plus courant, il compte parmi les plus redoutables. Et donc, il doit être redouté.

Il est cependant trop souvent diagnostiqué tardivement, ce qui n’aide en rien les chances de survie des personnes qui en sont affectées.

La recherche, le dépistage et les facteurs de risque

Le pancréas est une glande qui fait partie du système digestif, mais aussi du système endocrinien, lié à la production d’hormones essentielles au bon fonctionnement de l’organisme.

Ce cancer affecte surtout les gens de plus de 65 ans, l’âge moyen des personnes qui en souffrent étant de 71 ans.

Alors que le dépistage du cancer de la prostate est plutôt controversé, celui du pancréas est essentiel, car cette maladie évolue à grande vitesse et devient rapidement difficile à traiter.

En 2015, 4 800 Canadiens ont reçu un diagnostic de cancer du pancréas, et la même année, 4 600 Canadiens en sont morts. Ce qui pousse évidemment les chercheurs à trouver les sources de cette maladie.

C’est le cas des chercheurs de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont et de l’Université de Montréal qui, en février dernier, publiaient les résultats fascinants de leur étude. Celle-ci porte sur une molécule (miR-137) et son rôle dans les mutations des cellules qui deviennent cancéreuses.

On sait désormais que la présence ou le recul de cette molécule modifie le développement du cancer, et on commence à trouver certaines solutions pour le ralentir, mais pas encore au point d’avoir développé une stratégie claire et une médicamentation.

Évidemment, comme le cancer apparaît généralement tard dans la vie des personnes touchées, on peut mettre toutes les chances de son côté. Car il y a bien des facteurs de risque reconnus (comme le tabagisme, l’obésité, le diabète et certaines conditions génétiques) et supposés (alcool, hépatite, pesticides, sédentarité).

Détecter les signes précurseurs : pas facile

Enfin, la vitesse de détection est primordiale. Dépisté tôt, ce cancer peut être traité avec certaines chances de survie. Mais dès qu’il s’est développé, il devient extrêmement difficile à soigner.

Malheureusement, les symptômes apparaissent parfois quand le cancer a commencé à s’étendre ailleurs dans l’organisme.

La Société canadienne du cancer mentionne quels états peuvent être porteurs de mauvaises nouvelles. Et ils sont nombreux. Mais dans l’ensemble, il s’agit de symptômes pour lesquels on devrait toujours consulter, puisqu’ils sont des indicateurs d’un problème de santé.

Aussi, si le processus diagnostique peut paraître long, il ne faut surtout pas paniquer. La longue liste des symptômes annonciateurs de ce cancer correspond à plusieurs troubles de santé bien moins graves. Pour du soutien psychologique et des réponses à vos questions, n’hésitez pas à contacter la Société canadienne du cancer.Adidas Crazy 1 ADV

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Alimentation/ nutrition•Exclusif•La prévention•Les maladies•Maladies gastro-intestinales•Recherche

Le microbiome : une révolution

Nous repartageons avec vous certains de nos meilleurs textes parus au cours de l’année. Cette semaine: les mystères du microbiome. Ou comment les bactéries dans nos intestins affectent notre santé générale.

Autrefois désigné comme la flore intestinale, ce qu’on appelle désormais le microbiome humain serait lié à une multitude de problèmes de santé. Mais attention, beaucoup de charlatans s’emploient déjà à vendre des solutions miracles alors que la recherche ne fait que commencer.

La récente découverte de ce qu’on appelle le microbiome pourrait bien révolutionner la médecine. Déjà, plusieurs chercheurs espèrent y trouver la solution à de nombreuses maladies comme le cancer, les maladies inflammatoires, et même certaines maladies mentales.

Mais qu’est-ce exactement que le microbiome?

Il s’agit de l’ensemble des micro-organismes (microbiotes) qui vivent dans un organisme donné. En gros, c’est l’écosystème dans lequel prolifèrent des centaines de milliers de bactéries essentielles à notre bien-être.

Ces micro-organismes sont présents à plusieurs endroits dans le corps, et sur le corps aussi. Mais c’est principalement la zone gastro-intestinale qui intéresse les chercheurs. Car il se pourrait bien que ce qu’on désignait autrefois comme la flore intestinale ne se limite pas à la digestion et exerce une influence bien plus grande qu’on le croyait sur le reste de notre organisme.

Un champ de bataille microscopique

La découverte du microbiome remonte à seulement une dizaine d’années. Mais déjà, de nombreux scientifiques sont convaincus que ce qui se trame dans notre corps, de manière invisible, pourrait bien être responsable du diabète, de l’obésité et même de troubles de l’humeur.

Depuis 2007, des chercheurs s’emploient à séquencer le génome de tous les micro-organismes qui vivent en nous. Et apparemment, la présence de certains, de même que le rapport de force dans l’interaction entre différents petits microbes, pourrait expliquer plusieurs problèmes de santé liés à la génétique. La recherche sur l’obésité qu’a menée Jeffrey Gordon, professeur à l’Université de Washington à Saint-Louis, au Missouri, tend à démontrer que le microbiote y est directement lié.

Certaines infections, comme le C. difficile, trouvent désormais des traitements dans des méthodes aussi étranges que la bactériothérapie fécale, qui n’est finalement qu’une greffe de selles provenant d’un donneur dont la flore est en bonne santé.

Quant à la santé générale du microbiome, elle pourrait avoir un effet sur la santé mentale.

Nourrir les petites bestioles

On est loin d’avoir fait le tour de la question. Mais plusieurs auteurs, qui sont aussi des scientifiques sérieux, affirment qu’une alimentation variée, qui privilégie la consommation de fruits, légumes, légumineuses et aliments fermentés, permet d’assainir le microbiome.

Biochimiste, Marianne Desautels-Marissal vient de publier Mille milliards d’amies, un ouvrage (aux Éditions Cardinal) qui vulgarise et démystifie cet univers, prenant le soin de ne pas verser dans l’ésotérisme que cultivent d’autres auteurs moins chevronnés.

Attention aux charlatans qui empruntent à la science pour mieux vous vendre des lavements du colon afin d’y faire «le grand ménage» ou publient des ouvrages pseudo-savants.

Pour le moment, on suit les avancées de la science, et on mange le mieux possible, en évitant les aliments transformés. Les mêmes recommandations qu’à l’habitude, quoi. Sauf qu’on devine désormais un peu mieux pourquoi cela fonctionne si bien sur tant d’aspects de la santé : c’est grâce aux petites bêtes bien nourries!Nike Jordan Super Fly 4

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Exclusif•Les maladies•Maladies gastro-intestinales

Sensibilisation à la maladie de Crohn

Incurable et extrêmement incapacitante, la maladie de Crohn fait partie de la famille des MICI : les maladies inflammatoires chroniques intestinales. Explications sur la nature, les symptômes et les moyens d’apaisement de ce mystérieux problème de santé.

Douleurs abdominales intenses, perte d’appétit, anémie, saignements dans les selles : la maladie de Crohn est aussi hostile qu’imprévisible. Elle s’attaque au corps par périodes, sans avertir, puis elle peut disparaître pendant des mois et se manifester à nouveau.

Or, s’il existe des manières d’en apaiser les symptômes, elle est incurable, et chronique.

Certains facteurs permettent cependant de diminuer les effets de la maladie. Voire de retarder son apparation.

Les origines

On ignore la source exacte de la maladie de Crohn. Pour le moment, les chercheurs s’entendent pour dire que cette inflammation de l’appareil digestif qui peut en affecter n’importe quelle partie, de la bouche à l’anus, est en partie génétique.

C’est-à-dire que la présence de certains gènes précis est nécessaire au développement de la maladie, qui apparaît généralement entre 13 et 30 ans, autant chez les hommes que les femmes, et de manière variable selon l’origine ethnique et la région habitée.

Par exemple, au Canada, les habitants de la Nouvelle-Écosse sont particulièrement touchés par la maladie de Crohn, tandis que les Afro-Américains le sont nettement moins que la moyenne nord-américaine.

Comme la colite ulcéreuse, qui lui ressemble beaucoup, il s’agirait d’une maladie auto-immune. On croit donc que la réaction inflammatoire est une réponse du système immunitaire à une bactérie présente dans l’appareil digestif.

Ainsi, c’est le microbiome qui serait en cause. Ou si vous préférez : la présence ou l’absence de certaines bactéries dans la flore intestinale. Mais ce qu’on constate, c’est que c’est le mode de vie occidental qui provoque la maladie. Les populations qui ne sont pas affectées par la maladie, ou très peu, ont tendance à la développer lorsqu’elles viennent vivre ici. La pollution, l’alimentation et d’autres facteurs pourraient être en cause.

Ce qu’on sait, c’est que le mode de vie, encore une fois, accélère le développement de la maladie. Ainsi, les fumeurs ont deux fois plus de risques d’avoir la maladie de Crohn. Le manque d’exercice physique et une mauvaise alimentation pourraient aussi être en cause.

Les traitements

Si la maladie de Crohn est chronique, on peut en apaiser les symptômes. D’abord en cessant de fumer, si on s’adonne à cette pratique. L’adoption d’un régime alimentaire précis peut aussi aider.

Ensuite, plusieurs traitements médicamenteux peuvent être envisagés, dont la prise d’anti-inflammatoires, d’immunosuppresseurs, d’antispasmodiques et d’antibiotiques.

Mais de plus en plus, les chercheurs lorgnent du côté des biothérapies, comme l’ingestion d’anticorps qui combattent des molécules qui seraient en cause dans le processus d’inflammation du système digestif.

Comme la science se penche avec de plus en plus d’attention sur le fonctionnement de cet appareil organique, les gens qui souffrent de la maladie de Crohn peuvent espérer que des solutions plus efficaces voient le jour au cours des prochaines années.

Pour en savoir plus :

Crohn et colite Canada

 

Un reportage de l’émission Une pilule, une petite granule sur le sujet

 

Un document du CHUM sur les liens entre tabagisme et Crohn

 

Fondation canadienne pour la santé digestiveAir Jordan

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Exclusif•Les maladies

Fibromyalgie : hantés par la douleur

 

Il a fallu du temps pour que la fibromyalgie soit reconnue comme une véritable pathologie. Tour d’horizon d’une maladie à l’identité fuyante qui fait mal. Très mal.

Pour certains, la douleur est intolérable. Pour d’autres, elle est diffuse, mais revient sans cesse harceler le corps. Des articulations, des muscles et des tendons émane une pénible sensation qui irradie autour. On dirait des brûlures. Elles se manifestent en alternance, généralement aux mêmes endroits chaque fois. Et elles s’accompagnent souvent de fatigue, de troubles du sommeil et d’épisodes dépressifs.

Pas étonnant : ceux qui présentent ces symptômes – qui sont ceux de la fibromyalgie – se sentent souvent prisonniers de leur corps. Un corps devenu son propre bourreau.

D’où ça vient?

On ignore la cause précise de la maladie. On croit cependant qu’il s’agit d’un trouble du système nerveux central. Cela opérerait comme si les récepteurs nerveux étaient court-circuités, et qu’ils transmettaient des informations erronées, provoquant une sensation douloureuse, sans qu’il existe de cause externe pour l’expliquer. La sensation, sans le stimulus.

Est-ce dans la tête?

On a longtemps cru que les personnes atteintes de fibromyalgie étaient en fait en proie à un trouble psychiatrique. Il existe cependant un consensus scientifique concernant l’existence bien réelle de la maladie. Celle-ci est l’objet de nombreuses recherches afin de trouver un marqueur biologique fiable qui permette de l’identifier clairement.

Peut-on en faire un diagnostic?

Comme on le disait, il n’existe pas de marqueurs biologiques précis liés à la fibromyalgie. Cela signifie qu’il faut y aller par élimination pour statuer sur un cas. Car les symptômes décrits plus haut correspondent à ceux d’autres maladies. Certaines peuvent d’ailleurs être concomitantes, c’est-à-dire qu’on peut souffrir d’autre chose qui ressemble à la fibromyalgie, ou qui évolue en parallèle. Le processus de diagnostic peut donc être long et pénible.

Par ailleurs, il existe plusieurs points de pression précis, récurrents, qui peuvent accélérer le dénouement. On les compte au nombre de 18. Si 11 d’entre eux sont douloureux, on peut déjà commencer à explorer très sérieusement la piste de la fibromyalgie.

Qui est atteint?

Majoritairement, ce sont des femmes qui sont touchées. Principalement entre 40 et 65 ans. Mais dans une minorité de cas, les patients peuvent être de l’autre sexe, et plus jeunes. Certaines personnes en souffrent dès l’adolescence.

Ça se soigne?

Il s’agit d’une maladie chronique : on n’en guérit pas. On peut cependant atténuer la douleur.

Certains pratiquent la sophrologie, un mélange de relaxation et de méditation qui permet d’apprendre à composer avec la douleur.

La prise d’antalgiques est aussi fréquente, parfois nécessaire. Mais ce qui semble fonctionner le mieux est l’activité physique. Comme pour les maladies arthritiques, conserver les muscles, les tendons et les articulations actifs semble atténuer la douleur. Les personnes atteintes doivent donc trouver des activités qui leur plaisent et les poursuivre de manière régulière afin de réduire les effets de ce mal qui les hante.Nike Air Max Plus TN

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Cancer•Exclusif•La prévention•Les maladies•Tabagisme

Tabac, mutations et cancer du poumon

On sait depuis longtemps que le tabac est la principale cause de cancer du poumon. Des chercheurs viennent de publier les résultats d’une étude qui montre que la fumée de cigarette provoque jusqu’à plus d’une centaine de mutations des cellules de l’appareil respiratoire. Et ailleurs dans le corps.

En France, novembre est le Mois sans tabac. Ici, c’est le mois qui est consacré à la prévention du cancer du poumon. Le premier étant la principale cause du second, il est toujours nécessaire de faire des liens et de rappeler la dangerosité de la fumée de cigarette.

En France, où 34 % de la population fume, on regarde le Québec comme un modèle. Le recul est important ici : on ne compte plus que 19 % d’adeptes du tabac chez nous. En moins de huit ans, le tabagisme aurait reculé de 5 % ici, ce qui est énorme.

Comment y est-on arrivé? Par les différentes campagnes de sensibilisation, bien sûr. Mais aussi en s’assurant d’un prix élevé qui dissuade les plus jeunes. En Australie, où le paquet vaut son pesant d’or (près de 25 $ CA), le taux d’utilisateurs a diminué à 16 %.

Mais mieux comprendre comment la fumée attaque nos cellules pour les modifier et les détruire est aussi un assez bon incitatif pour écraser définitivement.

Ce qu’on sait, désormais, c’est que la fumée affecte énormément la génétique.

Le tabac provoque la mutation des cellules

Le tabagisme constitue encore la première cause de cancer du poumon, disions-nous.

Pour l’expliquer, le magazine Science détaille, dans son édition du vendredi 4 novembre, les résultats d’une étude qui démontre que fumer un paquet par jour entraîne l’apparition de 150 mutations par an dans chaque cellule des poumons. Un phénomène qui ne se cantonne pas qu’aux bronches et aux poumons, car sont aussi touchés, de la même manière, le larynx, le pharynx, la vessie, le foie et l’ensemble de la cavité buccale.

Ces altérations génétiques, provoquées par les nombreux produits chimiques dans la fumée de tabac, finissent par endommager les cellules, ce qui les rend plus propices à se transformer en cellules cancéreuses.

On ignore toutefois ce qui, par la suite, détermine leur passage ou non à l’état de cellules cancéreuses ou pourquoi ces dernières deviennent malignes ou pas.

Mais nous comprenons mieux comment la fumée de cigarette affecte les cellules du corps humain et les transforme.

Car le tabac laisse des signatures mutationnelles, expliquent les scientifiques, ce qui permet d’associer leurs changements avec l’usage de la cigarette.

Cela permettra éventuellement d’analyser l’ADN des tumeurs, et peut-être de mieux les combattre ou de les prévenir, croient les chercheurs.

Pas la seule cause, mais la pire cause

Les chercheurs soulignent toutefois que des mutations se produisent dans nos cellules, avec ou sans usage du tabac, et qu’il existe d’autres facteurs de risque liés au cancer du poumon. Reste que ce qu’ils observent ici est un cas de mutation très inquiétant.

Leur étude permet donc de prouver, dans un premier temps, que le tabac a un effet très nocif, puis que celui-ci se manifeste peu importe la quantité de fumée inhalée. Bref, fumer menace la santé, point barre.

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Cancer•Exclusif•La prévention

Cancer de la prostate: dépister ou pas?

Le dépistage du cancer de la prostate est dans la mire des spécialistes de la santé. Certains le jugent inutile; parmi ceux-là, des organismes d’un indiscutable sérieux. D’autres estiment qu’il est nécessaire, parce que le risque en vaut la chandelle. Qui écouter?

Le cancer de la prostate est un cas ennuyeux. S’il est le deuxième cancer le plus fréquent chez les hommes, après celui du poumon, il est loin de représenter un taux de dangerosité analogue.

Reste que, chaque année, des milliers d’hommes en meurent.

On peut cependant très bien être porteur de cellules cancéreuses à la prostate pendant de nombreuses années sans jamais développer la maladie, si bien que le dépistage systématique de ce cancer est de plus en plus controversé. Car la détection amène des traitements qui, s’ils s’avèrent inutiles, n’auront servi qu’à nuire à la qualité de vie des patients. Pensez incontinence et impuissance.

Il s’agit là d’un sujet épineux qui mérite d’être étudié calmement. Les avis divergent. Et les exceptions ont beau confirmer la règle, personne ne veut être cet homme qui aurait pu être sauvé par le dépistage, mais s’est abstenu.

Alors que faire?

À quoi sert le dépistage?

Il faut bien comprendre que le dépistage d’un cancer n’a pas pour objectif principal de détecter la maladie avant l’apparition des symptômes. Il s’agit là de la première partie du processus. Sa finalité est d’améliorer l’efficacité du traitement et les chances de survie d’une personne.

Or, il appert que le dépistage du cancer de la prostate n’est pas très efficace à cet égard. Et si on a parfois l’impression qu’il est toujours préférable de savoir qu’on est porteur d’une maladie au potentiel létal, il se peut qu’on se trompe.

Car le surdiagnostic d’un cancer mène à des traitements, parfois inutiles, qui nuisent considérablement à la qualité de vie, sans toutefois améliorer les chances de survie.

Cela signifie-t-il que le dépistage est inefficace?

Non. Ce serait plutôt le contraire. Même s’il existe une autre controverse, celle-là autour de la nécessité du toucher rectal (l’une des deux techniques, avec la prise de sang), le dépistage est efficace. Et dans le doute, des biopsies et d’autres tests avancés permettent de confirmer ou d’infirmer le diagnostic.

L’ennui, c’est que, sur un large échantillon de la population, les chances de survie d’un groupe dépisté et d’un autre qui ne l’est pas sont identiques. Dans son blogue de L’actualité, le Dr Alain Vadeboncoeur l’explique clairement.

Lui-même n’a pas subi les tests de dépistage. Et c’est d’ailleurs la recommandation d’organismes américains et canadiens en la matière.

Les avantages du dépistage

À l’inverse, plusieurs médecins sont toujours en faveur du dépistage ou affichent une position moins catégorique. Le Collège des médecins, lui, propose un dépistage tous les deux ans chez les hommes de 55 à 70 ans.

Car il est vrai que si le dépistage, de manière générale, n’améliore pas l’espérance de vie moyenne d’un groupe d’individus, le fait de mettre au jour un cancer agressif le plus tôt possible améliore les chances de survie d’une personne atteinte.

Il faut donc discuter des avantages et des inconvénients du dépistage avec son médecin. Par exemple, il est possible que l’on détecte des lésions cancéreuses qui ne se développeront jamais. La détection pourrait être suivie de traitements, puis d’une ablation de la prostate, engendrant des problèmes urinaires et érectiles. Tout cela pour un cancer qu’on aurait pu avoir sans jamais qu’il se manifeste.

Il s’agit donc d’une gestion du risque dont il faut absolument discuter. Et le choix ne sera pas des plus faciles à faire.Nike Hypervenom Phantom II FG Low

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Alimentation/ nutrition•Exclusif•La prévention•Les maladies•Obésité et surpoids

Dormir pour maigrir

Le poids et le nombre d’heures de sommeil semblent directement liés. Certains chercheurs croient même que l’épidémie d’obésité qui sévit en Occident serait due, en bonne partie, à l’amenuisement du dodo dans nos sociétés.

 Vous voulez perdre du poids? La première chose à faire est simple et ne demande pas de grand sacrifice : allez vous coucher de bonne heure.

Si d’aucuns avaient déjà remarqué que l’appétit croît au lendemain d’une très mauvaise nuit, la science démontre que quelques jours de dérèglement du sommeil suffisent à dérouter les hormones responsables de l’appétit et de la satiété. Le premier est alors stimulé tandis que la seconde… dort au gaz.

Gestion des priorités

C’est la gestion de notre temps qui serait en cause, de manière générale, dans la crise d’obésité qui afflige le monde moderne.

Heures indues de transits inactifs entre le bureau et la maison, activité physique raréfiée, heures de passivité devant des écrans (les effets de la lumière bleue) et temps insuffisant consacré à la préparation de repas équilibrés s’ajoutent au dossier du sommeil.

Ce dernier est aussi affecté par les nombreuses situations anxiogènes qui viennent troubler notre esprit.

D’où l’importance de bouger. Et pourquoi pas, aussi, d’ajouter des pratiques de «déstress» à son quotidien. Comme le yoga ou la méditation pleine conscience. Cette dernière ne nécessite que quelques minutes, et il a été démontré qu’il s’agit d’une pratique bénéfique pour la santé mentale et physique.

Car, comme le montrent les problèmes découlant du manque de sommeil, les deux sont intimement liées.

Le sommeil trompe la génétique

Une flopée d’études tendent dans le même sens, ajoutant au déséquilibre hormonal une série d’autres observations. Un exemple : un individu privé d’un sommeil suffisant aura tendance à choisir des aliments qui sont moins bons pour la santé au moment de s’alimenter.

Selon l’American Heart Association, quelqu’un qu’on prive du tiers de ses heures d’assoupissement consommera en moyenne 500 calories de trop par jour.

Dans l’une des nombreuses études colligées par une revue effectuée à l’Université Laval en 2012, sur une centaine de personnes qui s’étaient soumises à un régime, toutes celles qui dormaient le mieux avaient perdu plus de poids que celles qui comptabilisaient un nombre d’heures d’éveil trop important.

Mais plus intéressant encore : il semble que le sommeil arrive à berner la génétique. Ainsi, une personne qui aurait une tendance héréditaire à prendre facilement du poids parviendrait à tromper sa tare génétique en dormant un peu plus.

Toutes les raisons sont donc bonnes pour se coucher tôt.SNEAKERS

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