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Cancer
Cancer•Exclusif•La prévention

Se méfier du cancer du pancréas

Parmi les cancers les plus foudroyants, celui du pancréas est particulièrement impitoyable chez ceux qui reçoivent un diagnostic tardif. Heureusement, la recherche avance.

Au 12e rang pour l’incidence, le cancer du pancréas trône tristement au 4e en ce qui a trait à la mortalité. C’est dire que s’il n’est pas le plus courant, il compte parmi les plus redoutables. Et donc, il doit être redouté.

Il est cependant trop souvent diagnostiqué tardivement, ce qui n’aide en rien les chances de survie des personnes qui en sont affectées.

La recherche, le dépistage et les facteurs de risque

Le pancréas est une glande qui fait partie du système digestif, mais aussi du système endocrinien, lié à la production d’hormones essentielles au bon fonctionnement de l’organisme.

Ce cancer affecte surtout les gens de plus de 65 ans, l’âge moyen des personnes qui en souffrent étant de 71 ans.

Alors que le dépistage du cancer de la prostate est plutôt controversé, celui du pancréas est essentiel, car cette maladie évolue à grande vitesse et devient rapidement difficile à traiter.

En 2015, 4 800 Canadiens ont reçu un diagnostic de cancer du pancréas, et la même année, 4 600 Canadiens en sont morts. Ce qui pousse évidemment les chercheurs à trouver les sources de cette maladie.

C’est le cas des chercheurs de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont et de l’Université de Montréal qui, en février dernier, publiaient les résultats fascinants de leur étude. Celle-ci porte sur une molécule (miR-137) et son rôle dans les mutations des cellules qui deviennent cancéreuses.

On sait désormais que la présence ou le recul de cette molécule modifie le développement du cancer, et on commence à trouver certaines solutions pour le ralentir, mais pas encore au point d’avoir développé une stratégie claire et une médicamentation.

Évidemment, comme le cancer apparaît généralement tard dans la vie des personnes touchées, on peut mettre toutes les chances de son côté. Car il y a bien des facteurs de risque reconnus (comme le tabagisme, l’obésité, le diabète et certaines conditions génétiques) et supposés (alcool, hépatite, pesticides, sédentarité).

Détecter les signes précurseurs : pas facile

Enfin, la vitesse de détection est primordiale. Dépisté tôt, ce cancer peut être traité avec certaines chances de survie. Mais dès qu’il s’est développé, il devient extrêmement difficile à soigner.

Malheureusement, les symptômes apparaissent parfois quand le cancer a commencé à s’étendre ailleurs dans l’organisme.

La Société canadienne du cancer mentionne quels états peuvent être porteurs de mauvaises nouvelles. Et ils sont nombreux. Mais dans l’ensemble, il s’agit de symptômes pour lesquels on devrait toujours consulter, puisqu’ils sont des indicateurs d’un problème de santé.

Aussi, si le processus diagnostique peut paraître long, il ne faut surtout pas paniquer. La longue liste des symptômes annonciateurs de ce cancer correspond à plusieurs troubles de santé bien moins graves. Pour du soutien psychologique et des réponses à vos questions, n’hésitez pas à contacter la Société canadienne du cancer.Adidas Crazy 1 ADV

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Cancer•Exclusif•La prévention•Les maladies•Tabagisme

Tabac, mutations et cancer du poumon

On sait depuis longtemps que le tabac est la principale cause de cancer du poumon. Des chercheurs viennent de publier les résultats d’une étude qui montre que la fumée de cigarette provoque jusqu’à plus d’une centaine de mutations des cellules de l’appareil respiratoire. Et ailleurs dans le corps.

En France, novembre est le Mois sans tabac. Ici, c’est le mois qui est consacré à la prévention du cancer du poumon. Le premier étant la principale cause du second, il est toujours nécessaire de faire des liens et de rappeler la dangerosité de la fumée de cigarette.

En France, où 34 % de la population fume, on regarde le Québec comme un modèle. Le recul est important ici : on ne compte plus que 19 % d’adeptes du tabac chez nous. En moins de huit ans, le tabagisme aurait reculé de 5 % ici, ce qui est énorme.

Comment y est-on arrivé? Par les différentes campagnes de sensibilisation, bien sûr. Mais aussi en s’assurant d’un prix élevé qui dissuade les plus jeunes. En Australie, où le paquet vaut son pesant d’or (près de 25 $ CA), le taux d’utilisateurs a diminué à 16 %.

Mais mieux comprendre comment la fumée attaque nos cellules pour les modifier et les détruire est aussi un assez bon incitatif pour écraser définitivement.

Ce qu’on sait, désormais, c’est que la fumée affecte énormément la génétique.

Le tabac provoque la mutation des cellules

Le tabagisme constitue encore la première cause de cancer du poumon, disions-nous.

Pour l’expliquer, le magazine Science détaille, dans son édition du vendredi 4 novembre, les résultats d’une étude qui démontre que fumer un paquet par jour entraîne l’apparition de 150 mutations par an dans chaque cellule des poumons. Un phénomène qui ne se cantonne pas qu’aux bronches et aux poumons, car sont aussi touchés, de la même manière, le larynx, le pharynx, la vessie, le foie et l’ensemble de la cavité buccale.

Ces altérations génétiques, provoquées par les nombreux produits chimiques dans la fumée de tabac, finissent par endommager les cellules, ce qui les rend plus propices à se transformer en cellules cancéreuses.

On ignore toutefois ce qui, par la suite, détermine leur passage ou non à l’état de cellules cancéreuses ou pourquoi ces dernières deviennent malignes ou pas.

Mais nous comprenons mieux comment la fumée de cigarette affecte les cellules du corps humain et les transforme.

Car le tabac laisse des signatures mutationnelles, expliquent les scientifiques, ce qui permet d’associer leurs changements avec l’usage de la cigarette.

Cela permettra éventuellement d’analyser l’ADN des tumeurs, et peut-être de mieux les combattre ou de les prévenir, croient les chercheurs.

Pas la seule cause, mais la pire cause

Les chercheurs soulignent toutefois que des mutations se produisent dans nos cellules, avec ou sans usage du tabac, et qu’il existe d’autres facteurs de risque liés au cancer du poumon. Reste que ce qu’ils observent ici est un cas de mutation très inquiétant.

Leur étude permet donc de prouver, dans un premier temps, que le tabac a un effet très nocif, puis que celui-ci se manifeste peu importe la quantité de fumée inhalée. Bref, fumer menace la santé, point barre.

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Cancer•Exclusif•La prévention

Cancer de la prostate: dépister ou pas?

Le dépistage du cancer de la prostate est dans la mire des spécialistes de la santé. Certains le jugent inutile; parmi ceux-là, des organismes d’un indiscutable sérieux. D’autres estiment qu’il est nécessaire, parce que le risque en vaut la chandelle. Qui écouter?

Le cancer de la prostate est un cas ennuyeux. S’il est le deuxième cancer le plus fréquent chez les hommes, après celui du poumon, il est loin de représenter un taux de dangerosité analogue.

Reste que, chaque année, des milliers d’hommes en meurent.

On peut cependant très bien être porteur de cellules cancéreuses à la prostate pendant de nombreuses années sans jamais développer la maladie, si bien que le dépistage systématique de ce cancer est de plus en plus controversé. Car la détection amène des traitements qui, s’ils s’avèrent inutiles, n’auront servi qu’à nuire à la qualité de vie des patients. Pensez incontinence et impuissance.

Il s’agit là d’un sujet épineux qui mérite d’être étudié calmement. Les avis divergent. Et les exceptions ont beau confirmer la règle, personne ne veut être cet homme qui aurait pu être sauvé par le dépistage, mais s’est abstenu.

Alors que faire?

À quoi sert le dépistage?

Il faut bien comprendre que le dépistage d’un cancer n’a pas pour objectif principal de détecter la maladie avant l’apparition des symptômes. Il s’agit là de la première partie du processus. Sa finalité est d’améliorer l’efficacité du traitement et les chances de survie d’une personne.

Or, il appert que le dépistage du cancer de la prostate n’est pas très efficace à cet égard. Et si on a parfois l’impression qu’il est toujours préférable de savoir qu’on est porteur d’une maladie au potentiel létal, il se peut qu’on se trompe.

Car le surdiagnostic d’un cancer mène à des traitements, parfois inutiles, qui nuisent considérablement à la qualité de vie, sans toutefois améliorer les chances de survie.

Cela signifie-t-il que le dépistage est inefficace?

Non. Ce serait plutôt le contraire. Même s’il existe une autre controverse, celle-là autour de la nécessité du toucher rectal (l’une des deux techniques, avec la prise de sang), le dépistage est efficace. Et dans le doute, des biopsies et d’autres tests avancés permettent de confirmer ou d’infirmer le diagnostic.

L’ennui, c’est que, sur un large échantillon de la population, les chances de survie d’un groupe dépisté et d’un autre qui ne l’est pas sont identiques. Dans son blogue de L’actualité, le Dr Alain Vadeboncoeur l’explique clairement.

Lui-même n’a pas subi les tests de dépistage. Et c’est d’ailleurs la recommandation d’organismes américains et canadiens en la matière.

Les avantages du dépistage

À l’inverse, plusieurs médecins sont toujours en faveur du dépistage ou affichent une position moins catégorique. Le Collège des médecins, lui, propose un dépistage tous les deux ans chez les hommes de 55 à 70 ans.

Car il est vrai que si le dépistage, de manière générale, n’améliore pas l’espérance de vie moyenne d’un groupe d’individus, le fait de mettre au jour un cancer agressif le plus tôt possible améliore les chances de survie d’une personne atteinte.

Il faut donc discuter des avantages et des inconvénients du dépistage avec son médecin. Par exemple, il est possible que l’on détecte des lésions cancéreuses qui ne se développeront jamais. La détection pourrait être suivie de traitements, puis d’une ablation de la prostate, engendrant des problèmes urinaires et érectiles. Tout cela pour un cancer qu’on aurait pu avoir sans jamais qu’il se manifeste.

Il s’agit donc d’une gestion du risque dont il faut absolument discuter. Et le choix ne sera pas des plus faciles à faire.Nike Hypervenom Phantom II FG Low

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Actualité•Cancer•Les maladies

La vogue de l’immunothérapie contre le cancer se confirme

Par Libération – A Chicago se tient ces jours-ci la grande messe mondiale sur le cancer, avec plus de 30 000 chercheurs réunis. On progresse, mais à quel coût ?

Depuis vendredi et jusqu’à ce mardi, c’est le grand rassemblement pharmacologique du cancer à Chicago. L’Asco (American Society of Clinical Oncology) est un rendez-vous obligé, car il s’agit du plus grand congrès international consacré au cancer. C’est lui qui donne le ton. Dans un monumental édifice, situé sur les bords du lac Michigan, plus de 30 000 participants du monde entier débattent de 5 000 études.

L’Asco, c’est le triomphe de la médecine biologique. Puissante, moderne et en marche. A chaque édition, on présente de nouvelles molécules, dessinant de nouveaux espoirs. Et cela suit un tempo précis. Au début des années 2000, il y a eu la mode des thérapies ciblées, se traduisant par le lancement de la magnifique expression de médecines personnalisées (comme si le reste de la médecine était impersonnel). Et c’est maintenant l’engouement autour de l’immunothérapie et on la décline sur tous les tons. Des modes thérapeutiques qui sont tout sauf anecdotiques, car les progrès sont là, souvent réels et parfois spectaculaires.Air Jordan IV 4 Retro Denim

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Actualité•Cancer•La prévention•Les maladies

Ce qu’il faut savoir sur la crème solaire

Par Radio-Canada – Si les crèmes solaires ne remplissent pas toutes leurs promesses, leur utilisation aussi n’est pas toujours optimale. Le dermatologue Joël Claveau affirme que l’on devrait appliquer quatre fois plus de crème solaire et s’assurer d’un FPS élevé, toujours au-delà d’une protection 30.

Questionné sur les résultats d’une étude américaine qui révèle que plusieurs écrans solaires ne protègent pas la peau adéquatement, le Dr Joël Claveau n’est pas surpris.

« Pour ce qui est des écrans solaires au Canada, on a vraiment toute une gamme d’ingrédients qui sont meilleurs qu’aux États-Unis. C’est bien connu que les écrans solaires canadiens et européens sont meilleurs que les produits américains », avance-t-il.

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Cancer

Bougez pour sauver votre vie!

Par Le Journal de Québec – Une importante recherche menée récemment révèle de nouveaux mécanismes expliquant l’impact extraordinaire de l’exercice sur la réduction du cancer. L’adrénaline produite lors d’un effort physique favorise l’élimination des cellules cancéreuses par le système immunitaire, ce qui pourrait expliquer le puissant effet anticancéreux de l’activité physique régulière.Kids Footwear Online

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Alimentation/ nutrition•Cancer•Santé générale

Être proactif pour prévenir le cancer

Par Le Journal de Québec – Dix ans après la sortie du best-seller, Les aliments contre le cancer, les chercheurs Richard Béliveau et Denis Gingras font le bilan des résultats de nombreuses nouvelles études publiées sur les aliments, le vin rouge, les antioxydants, les vitamines et les propriétés anticancéreuses des végétaux dans une nouvelle édition de ce livre qui a révolutionné les habitudes alimentaires de milliers de gens.Air Presto Flyknit Ultra

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Actualité•Cancer•La prévention•Recherche

Les multiples visages du cancer du pancréas

Par Le Journal de Québec – Une importante étude montre que le redoutable cancer du pancréas est en réalité quatre maladies distinctes, possédant chacune des troubles génétiques différents. Il s’agit d’une découverte majeure, qui ouvre la voie à une amélioration du traitement de ce cancer trop souvent mortel.

Le cancer du pancréas est la ­quatrième cause de mortalité par cancer dans les sociétés industrialisées et pourrait même devenir la deuxième en importance d’ici 2030.

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Actualité•Cancer•La prévention•Santé de la peau

Mise en garde contre le bronzage en vue des bals de finissants

Par Radio-Canada – La Société canadienne du cancer profite de l’approche de la période des bals de finissants pour mettre en garde les jeunes contre les dangers des ultraviolets sur la peau.

L’exposition au soleil demeure encore populaire chez plusieurs jeunes qui recherchent un teint hâlé, déplore Anne-Frédérique Maranda, de la Société canadienne du cancer.

« On veut vraiment toucher les jeunes. Surtout en secondaire 4, 5, les filles s’exposent dans les salons de bronzage. On veut vraiment essayer d’éviter ça, surtout quand c’est le temps des bals de finissants », mentionne Mme Maranda.Kids Footwear Online

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Actualité•Alimentation/ nutrition•Cancer

Le brocoli, protecteur du foie

Par Le Journal de Québec – Plusieurs études ont clairement établi que les légumes crucifères – et le brocoli en particulier – sont parmi les végétaux les plus importants pour la prévention du cancer. Des résultats récents indiquent que ce légume empêche aussi l’accumulation de gras au niveau du foie, un autre important facteur de risque de cancer.Nike KD

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