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Peau
Exclusif•La prévention•Peau•Recherche•Santé générale

Trop propres, nos enfants?

De leur naissance à la fin de la petite enfance, nos enfants vivent trop souvent dans des bulles de propreté. Or, cette obsession du bébé propre nuit au développement de son système immunitaire. De même que les accouchements par césarienne ou la trop fréquente ingestion d’antibiotiques.

Les chercheursB. Brett Finlay et Marie-Claire Arrieta signent Les microbes, nos alliés, un livre à la fois informatif et pratique qui permet de mieux comprendre le fonctionnement du microbiote au quotidien. Et surtout comment le contact avec un peu de saleté rend nos enfants plus résistants aux maladies qui les menacent.

C’est aussi ce qui ressort de notre entrevue.

Mme Arrieta, nous sommes très préoccupés par la santé de nos enfants, c’est normal. Mais avons-nous atteint un point où notre souci vire à l’obsession, ce qui leur est nuisible?

Oui et non. C’est une bonne chose que nous consacrions beaucoup d’énergie et d’intérêt à la santé des enfants. C’est notre conception d’un environnement propre ou de l’utilisation de médicaments comme les antibiotiques pour le moindre petit bobo qui est nuisible.

Mais c’est parfois difficile pour les parents d’aller contre leur instinct et ce qu’ils ont toujours fait : on veut une solution un peu blindée, réduire le risque au minimum.

C’est vrai : si vos enfants sont malades, vous voulez qu’ils retrouvent la santé immédiatement, et ne pas attendre pendant des jours pour qu’ils guérissent. Mais notre propension à employer certaines méthodes qui paraissent plus efficaces peut devenir néfaste. C’est cela qu’il faut comprendre. Il faut être mieux éduqué, comme parent, pour ne pas céder à la panique et prendre les meilleures décisions à moyen et long termes.

C’est pour cela que votre livre propose plusieurs pistes à suivre dans différentes situations données?

Oui! Nous sommes des scientifiques et n’avons donc pas l’habitude d’écrire pour le public. Mais dans notre entourage, les mêmes questions revenaient sans cesse, concernant les vaccins, la propreté, certaines maladies et comment les traiter. Nous tentons d’y répondre de manière claire.

Il est beaucoup question de la nécessité d’exposer les enfants au monde qui les entoure afin de stimuler leur microbiote, qui, lui, est lié au système immunitaire. Comment cela fonctionne-t-il au juste?

Lorsque nous naissons, notre système immunitaire est très rudimentaire. C’est à la rencontre de l’environnement externe qu’il se développe, donc en entrant en contact avec différents microbes. Il s’éduque à force de s’y frotter. Ce qui a changé, c’est que pendant des millénaires, ce processus était le même. Lors de la naissance, les voies vaginales et le contact avec des matières fécales fournissaient un premier apport microbien. L’allaitement maternel, un second. Puis les enfants jouaient sur le sol, mangeaient des cailloux, de la terre. Notre mode de vie moderne les prive parfois de tout cela. Ce qui a des conséquences importantes sur leur système immunitaire pour le reste de leur vie.

La tendance à l’hyperpropreté est plutôt récente. Mais c’est devenu naturel de laver les bébés très souvent, de ne pas les laisser toucher des objets qui ont été sur le sol, et encore moins les mettre dans leur bouche… Ça ne veut pas dire de les laisser faire n’importe quoi : ils ne devraient pas être en contact avec des surfaces infectées, par exemple, ni avec des aliments où il y a de la pourriture. Mais il faut que nous soyons un peu moins obsédés par la propreté. J’ai vu des parents qui nettoyaient le plancher de la maison à l’eau de Javel tous les jours pour s’assurer que leur bébé ne serait jamais en contact avec une surface sale… C’est ce genre de comportement qui affaiblit le système immunitaire des enfants.

La science entourant le microbiote est encore très jeune. Nous en savons donc peu sur son influence sur le système immunitaire. À quoi pouvons-nous nous fier parmi toute l’information qui ressort des différentes recherches?

Aux choses dont nous sommes sûrs. Par exemple, la naissance par voie naturelle réduit le risque de maladies. L’allaitement maternel aussi. Les antibiotiques nuisent considérablement à la santé du microbiote; ça aussi on le sait, et c’est parfois la seule de ces trois choses que nous pouvons contrôler. C’est un des plus gros enjeux : ils sont consommés trop souvent et les médecins subissent une pression énorme pour les prescrire aux enfants. Là encore, être mieux éduqué sur la question, comme parent, nous permet de prendre des décisions plus éclairées.Footwear

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Exclusif•Les maladies•Peau

Soigner les coups de soleil

Les journées à la plage ou au parc défilent si vite qu’on oublie parfois d’appliquer la dose nécessaire de crème solaire. Peuvent alors survenir les coups de soleil. Ils sont douloureux, parfois carrément pénibles, mais on peut s’assurer, par quelques actions ciblées, de bien les soigner afin de réduire la douleur et le temps de guérison.

On ne le répétera jamais assez : les coups de soleil à répétition, surtout chez les enfants, multiplient les probabilités de souffrir éventuellement d’un cancer de la peau.

Mais comme personne n’est à l’abri d’un oubli ou d’un moment de négligence, mieux vaut savoir comment traiter efficacement la peau en cas de brûlure solaire. Voici donc quelques trucs qui pourraient vous venir en aide si jamais vous vous rendez compte, en rentrant à la maison, que vous, un proche ou un enfant avez la peau très rouge après une journée d’exposition.

 

  1. Buvez beaucoup d’eau. Les coups de soleil indiquent que votre corps a sans doute perdu beaucoup de liquide. La peau endommagée laisse échapper plus de fluides qu’une peau intacte et une bonne hydratation accélère sa guérison.
  2. Refroidissez la peau. Prenez un bain (sans savon) froid, mais pas glacé. La réduction de la température apaisera la douleur. L’ajout de bicarbonate de soude dans l’eau peut aider à réduire les démangeaisons. Vous pouvez aussi appliquer des compresses d’eau froide sur les parties affectées si celles-ci sont petites.
  3. En cas de douleur, un cachet d’ibuprofène peut aider à soulager l’inconfort.
  4. Appliquez un hydratant sur la peau. Vous pouvez débuter par une crème ou un gel à l’aloès, qui soulagera celle-ci. Leur effet est très apaisant. Les crèmes à base d’hydrocortisone peuvent aussi contribuer au soulagement de la douleur. Consultez votre pharmacien afin de vérifier si leur usage est approprié.
  5. Cachez la peau brûlée. Le pire que vous puissiez faire subir à un coup de soleil, c’est de l’exposer aux rayons UV. Portez des vêtements protecteurs et badigeonnez les parties touchées d’écran physique à base de zinc si vous ne pouvez éviter de vous exposer au soleil.
  6. Ne crevez pas les cloques. Elles protègent votre peau et participent à sa guérison. Si la peau pèle, c’est simplement qu’elle est endommagée et remplacée par une nouvelle couche. Protégez bien cette nouvelle peau du soleil et continuez d’appliquer de la crème hydratante.

 

Dernier conseil : en cas de fièvre persistante ou de cloques d’eau sévères, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé.

 Nike

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Actualité•Les maladies•Peau

Vitiligo, la maladie qui décolore la peau

Par Radio-Canada – Plusieurs groupes à travers le monde tentent de faire reconnaître le 25 juin comme la journée mondiale du vitiligo. Cette maladie, qui cause la dépigmentation de la peau, n’est ni dangereuse ni contagieuse, mais elle peut engendrer d’importantes souffrances psychologiques.NIKE AIR MAX

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Exclusif•La prévention•Peau

Crème solaire, cancer et infertilité

Démonisée par certains, révérée par d’autres, la crème solaire est-elle bonne ou mauvaise? Donne-t-elle le cancer de la peau ou le prévient-elle? Provoque-t-elle vraiment l’infertilité chez les hommes? Voici ce qu’on sait. Jusqu’à maintenant.

Cela fait des années que les dermatologues nous enjoignent de nous badigeonner copieusement de crème solaire. Oui, copieusement. Parce que selon eux, même les plus fidèles utilisateurs n’en mettent pas assez. Ni assez souvent.

Mais depuis peu, quelques voix dissidentes se sont fait entendre. Selon celles-ci, la crème solaire ne serait pas la panacée qu’on prétend. Elle serait même nocive.

Qu’en est-il vraiment?

La crème solaire et le cancer

Le Web étant ce qu’il est, soit bien imparfait, il regorge de rumeurs et d’interprétations erronées lorsque cela concerne les diverses études scientifiques, particulièrement celles liées à la santé. Il faut donc être extrêmement prudent avec celles-ci.

Aussi, lorsque des gourous de la santé se sont mis à citer une étude proposant que l’utilisation de crème solaire augmenterait les risques de cancer, plusieurs personnes se sont ruées sur la nouvelle. Bien qu’elle soit fausse.

En fait, il n’existe aucune preuve que la crème solaire cause le cancer. L’interprétation qui a été faite de l’étude vient de l’idée que les plus grands utilisateurs de crème sont aussi ceux qui développent le plus de mélanomes. Mais ce sont aussi ceux qui s’exposent le plus aux rayons solaires…

Bref, jusqu’à maintenant, la seule évidence scientifique, c’est que l’exposition au soleil est à la source de cancers de la peau dont le nombre augmente rapidement. Le lien entre crème et cancer, lui, reste à établir.

La crème solaire et l’infertilité

On s’inquiète de plus en plus des perturbateurs endocriniens. Il s’agit de molécules provenant d’agents étrangers qui sont absorbées par le corps humain et qui pourraient modifier son fonctionnement hormonal.

Dans le cas de la crème solaire, il n’existe encore aucune étude absolument probante quant à l’effet réel de certains des produits qu’elle contient sur le système reproductif masculin, mais une récente recherche, menée par l’Endocrine Society de Boston, affirme que 45 % des filtres UV testés auraient interféré avec le bon fonctionnement du sperme dans un environnement reproducteur.

Plusieurs de ces produits sont aussi des ingrédients actifs de nombreux produits de beauté.

Cela dit, on est encore au stade d’une étude. Et sans doute faut-il être vigilant et chercher des écrans solaires qui ne contiennent aucun de ces produits. Mais refuser d’en mettre n’est pas non plus indiqué.

Simplement parce qu’on SAIT que l’exposition solaire provoque des cancers.

Il n’y a pas non plus lieu de s’alarmer. Mais effectivement, la présence de perturbateurs endocriniens dans un produit cosmétique, quel qu’il soit, devrait porter à réflexion. Si possible, on s’en procure un autre. Ne serait-ce que par principe de précaution. Et, comme consommateur, pour encourager le marché à favoriser des produits dépourvus de substances controversées.Mens Footwear Online

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Actualité•La prévention•Peau

Allergie à l’herbe à poux : une préoccupation pour la santé publique

Par Radio-Canada – La période de floraison de l’herbe à poux est commencée. Au Québec, une personne sur dix souffre d’une allergie au pollen de cette plante. Ce taux est en constante augmentation depuis 40 ans en raison du prolongement de la saison de croissance de l’herbe à poux.

Cette situation préoccupe l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) qui estime que la plante est responsable de 75 % de toutes les allergies saisonnières.Release Calendar

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Actualité•Cancer•Peau

Hypoallergènes: gare aux imposteurs

Par Le Devoir – Tout comme l’écoblanchiment (greenwashing), la vogue des produits « hypoallergènes » est dopée par l’augmentation en flèche des allergies. Pourtant. L’étiquette « anti-allergie » brandie sur nombre de produits cosmétiques ne garantit en rien leur innocuité. Une étude italienne a même démontré que 11 % des utilisateurs testés sont allergiques… à des produits naturels.

« Le marché profite de la montée des allergies. Mais les labels hypoallergènes sont souvent faux et n’ont aucune valeur réglementaire », affirme l’allergologue Pierrick Hordé. Il souligne que des allergènes notoires se retrouvent autant dans certains produits bios que dans des crèmes, savons et autres produits censément « hypoallergènes » ou « doux pour la peau ».Highsnobiety Sneakers

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Cancer•Exclusif•La prévention•Peau

La crème des applications

Les statistiques sont accablantes : si la tendance se maintient, un Canadien sur deux devra composer avec un cancer de la peau. D’où l’insistance des dermatologues, dans leurs campagnes de sensibilisation, répétant qu’il faut protéger adéquatement la peau des rayons du soleil.

Et pour ceux que l’éventualité d’un cancer n’émeut guère, reste l’argument esthétique : avec les lits bronzants, les rayons solaires constituent la principale cause du vieillissement de la peau.

On sait donc qu’il faut mettre de la crème solaire avec un facteur de protection (FPS) d’au moins 30, toutes les deux heures. Même si on joue dans l’eau. Et qu’il faut prendre un soin particulier pour protéger les enfants, qui sont particulièrement vulnérables aux rayons UV et UVA.

Quelques applications peuvent aussi nous donner un coup de main afin de juger du niveau de dangerosité des rayons solaires, et offrir des indices s’il faut s’inquiéter ou non de changements sur sa peau. Bref, de bons outils à télécharger dans son téléphone portable tandis qu’on expose son corps aux chauds rayons estivaux.

  1. Avant d’envoyer les enfants au camp de jour, vous pouvez consulter UV Canada, qui vous envoie des notifications quotidiennes sur l’intensité des rayons nocifs, ainsi qu’une panoplie d’outils afin de mieux se protéger en plus d’émettre des alertes lors d’épisodes importants d’ultra violets. À lire tout de suite après avoir consulté les prévisions météo.
  2. Doctor Mole permet de mesurer puis de faire un suivi de l’évolution des grains de beauté. Parce s’il est normal d’en avoir entre 20 et 40 sur le corps, il faut s’inquiéter un peu quand ceux-ci changent de forme ou de dimension. Cela peut indiquer la présente d’un mélanome, premier signe d’un possible cancer de la peau. Cette appli permet de mesurer et d’avoir quelques données à présenter à son médecin si jamais on dénote une transformation inhabituelle ou l’apparition d’une nouvelle tache. Ce n’est pas parfait, et ne remplace en aucun cas un diagnostic, mais c’est un intéressant outil de sensibilisation et de prévention.
  3. En voyage à l’étranger ? Plusieurs applications sont conçues spécialement pour le pays duquel elles émanent, et offrent sensiblement les mêmes services : mesure de l’indice UV, et selon votre type de peau, une indication du degré de protection (le FPS) que vous devez employer. Aussi, certaines de ces applications vous avertiront au moment où il vous faut vous mettre à l’abri et appliquer de la crème à nouveau afin de ne pas frire au soleil. En Grande-Bretagne, vous pouvez télécharger Be Sunsafe. Au pays bas, Sun Safe. Fight Cancer donne dans le même registre. De même que SunSafety pour les États-Unis. Dans le lot, c’est cependant SunZap qui est la plus récente des applications, valable partout. Elle est aussi la plus facile d’utilisation (à condition de comprendre l’anglais).

 

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