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Santé générale
Exclusif•Santé générale

La recette des meilleures vacances

Les gens qui prennent des vacances et en profitent pour voyager sont généralement plus heureux. Sortir de chez soi, voir du pays, rencontrer de nouvelles personnes et s’extraire de ses obligations tout en partageant des expériences enrichissantes avec sa famille et ceux qu’on aime : voilà qui contribue à l’indice de bonheur personnel.

Certains détails peuvent cependant faire la différence entre des vacances de rêve et d’autres moins qu’ordinaires. Voici quelques trucs pour faire de vos escapades estivales des moments qui se rapprochent le plus possible de l’idéal.

Soyez aventureux…

Puisque vous n’êtes pas à la maison, autant en profiter pour faire des activités amusantes, en dehors de vos habitudes. Ça peut être aussi enivrant qu’un cours d’escalade, et aussi simple qu’un tournoi improvisé de volleyball sur la plage. Louez un kayak et partez à la découverte des îles aux alentours (en ayant pris soin de vous informer sur les courants et l’effet des marées), partez en randonnée d’une journée, ou de quelques heures. Inscrivez-vous à la visite guidée nocturne où l’on relate les histoires les plus glauques de la ville. Essayez des restaurants étranges et mangez des choses nouvelles. Ces expériences sont celles dont on se souvient : elles nous renvoient aux étés de notre enfance, alors que tout était découverte.

… mais gardez-vous du temps mou

Pour bien profiter de ses vacances, il faut aussi prévoir s’ennuyer un peu. Lire, flâner, discuter de tout et de rien, prendre un verre plus tôt qu’à l’habitude et le siroter en regardant le temps s’écouler. Nos vies sont régies par des horaires stricts. Les vacances, c’est se libérer de l’agenda.

Ne documentez pas tout (mais un peu quand même)

Avoir de belles photos de voyage, c’est bien. Obséder là-dessus, avoir son téléphone à la main constamment et tout partager sur Instagram, c’est se sortir de l’expérience vivante pour la documenter. Vous voulez avoir des souvenirs, pas seulement de jolies images à montrer. Ces dernières ne vous rendront pas plus heureux. Mais le sentiment que vous avez ressenti lors d’une activité pleinement vécue ou d’un moment joyeux, oui.

Négligez ce qui est secondaire

Vous avez loué la plus belle maison de bord de mer, mais vous passez la moitié de la journée à faire le ménage, les repas et la vaisselle? Mauvais plan. Laissez faire le rangement et l’état des planchers, cuisinez le moins possible (le barbecue est votre ami), imposez aux enfants de faire la vaisselle et de ramasser derrière eux. Si tout le monde contribue et que vous n’obsédez pas sur la perfection, tout ira mieux : vous parviendrez à vous reposer. C’est le but des vacances, après tout.

Attention au boulot

On peut toujours vous dire de ranger votre téléphone et l’ordi pour toute la durée des vacances : il y en a pour qui c’est impossible. Alors arrangez-vous pour ne travailler qu’à un certain moment qui ne dérangera personne d’autre et ne nuira pas à votre plaisir. Par exemple : prenez vos messages et répondez-y le matin, puis laissez le travail de côté le reste de la journée. Ce sera au moins ça de pris.

Établissez le contact

Si vous voyagez à l’étranger, profitez-en pour parler aux gens qui vivent là-bas, aux autres touristes. Tissez des liens, nouez des amitiés de voyage. Ce sont des expériences de vie enrichissantes dont on se souvient toujours par la suite.

Planifiez le retour à la réalité

Vous pouvez toujours rentrer à la maison quelques heures avant le retour au travail et profiter au maximum de votre temps de vacances. Mais il est préférable de prendre une petite journée pour absorber l’effet du retour à la routine… et à la réalité. Le choc sera moins important, et au moins, à la pile de boulot ne s’ajoutera pas celle du lavage, que vous aurez fait la veille.Air Force 1 Mid Flyknit

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Exclusif•Santé générale

Quoi faire en cas d’insolation

Le soleil cogne dur. Vous avez passé la journée dehors et vous vous sentez mal. Souffrez-vous d’une insolation?

«C’est une bonne question, croit l’urgentologue et spécialiste de la médecine sportive Pierre Messier, parce que ce n’est pas évident à déterminer.»

L’insolation n’est pas exactement une condition médicale, précise le médecin. D’où la confusion qui entoure le terme. «Et ça couvre un assez vaste spectre de symptômes qu’on peut avoir après une exposition à la chaleur et au soleil», souligne-t-il.

Le coup de chaleur

Parmi les symptômes qu’on associe à l’insolation, on note : l’épuisement, donc une impression de faiblesse qui peut varier, des étourdissements, des maux de tête, la perte de l’appétit, des nausées, le cœur qui bat plus vite que la normale.

Si on ne fait rien pour refroidir notre corps lorsque ces symptômes se présentent, alors on risque le coup de chaleur.

«Ce qui définit un coup de chaleur, c’est la confusion, explique le Dr Messier. On va arrêter de suer, mais on fait de la fièvre, en haut de 39-40 degrés. Le corps perd sa capacité à réguler sa température, et il y a alors un danger réel : celui d’avoir des problèmes rénaux, hépatiques, cardiaques. Tout le corps peut être affecté. C’est rare, mais c’est une urgence extrême.»

Bref : si vous vous rendez à ce point, c’est l’hôpital, et vite.

Quoi faire?

L’insolation n’est pas un coup de chaleur, précise le médecin. Mais c’est un peu son antichambre. Si on se sent mal ou faible, il est important de refroidir notre corps avant qu’il ne perde le contrôle de son thermostat.

Comment?

On s’étend à l’ombre ou dans une pièce climatisée, on s’hydrate (si possible avec des boissons contenant des électrolytes), on vaporise de l’eau froide sur notre visage et notre corps, on met de la glace sur nos aisselles et nos aines si ça ne passe pas, et finalement, on prend un bon bain frais.

On consulte le médecin si :

  • les symptômes persistent
  • notre jugement est altéré, on est confus, somnolent
  • on se sent très faible
  • on perd connaissance
  • la température de notre corps est élevée de manière inexpliquée

On consulte plus vite encore si :

  • on est une personne âgée
  • c’est un jeune enfant qui est touché (surtout s’il cesse de suer)
  • on souffre de maladies chroniques
  • on a pris beaucoup d’alcool
  • on souffre d’un handicap

Lebron XIV 14 Glow

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Exclusif•Santé générale

3 lectures santé pour l’été

L’été. C’est le moment idéal pour lire quelques livres, puis y réfléchir et faire le point sur sa santé. Voici donc trois bouquins qui méritent qu’on s’y attarde afin d’alimenter notre réflexion, et peut-être aussi de donner un élan à nos envies de changement pour vivre mieux.

La marche, toujours la marche

Se mettre en forme avec la marche - Les types de marche • Des programmes clés en main • La prévention des chutes • 140 exercices adaptés

Quand, en décembre dernier, nous avons demandé au médecin et auteur Alain Vadeboncoeur quelle serait sa principale recommandation en santé à titre de résolution du Nouvel An, il a été catégorique : marchez.

Comme nous l’avons aussi vu récemment avec le physiothérapeute Denis Fortier, les bienfaits de cette activité simple qui ne nécessite presque pas d’équipement ni de compétences particulières ne sont plus à démontrer.

La marche prévient les maladies chroniques, le vieillissement prématuré, les troubles cognitifs, l’obésité, et on en passe. Sans parler qu’elle aère l’esprit, et permet de méditer un peu… ou d’écouter des balados, de la musique, de discuter avec des compagnons de foulée.

L’ouvrage Se mettre en forme avec la marche reprend ces arguments convaincants et y ajoute des programmes afin d’augmenter la durée et de varier le rythme, en plus d’exercices complémentaires. Peu importe votre âge et votre niveau de forme, ce livre vous permettra de progresser et de vous sentir mieux. Et l’été, c’est le meilleur moment pour vous y mettre.

Les enfants méditent, et vous aussi

Calme et attentif comme une grenouille + CD - ELINE SNEL

Méditer. Voilà qui est loin d’être évident pour nous, adultes, qui avons bien du mal à cesser de papillonner d’une idée à l’autre, nos esprits toujours occupés à réfléchir, à planifier… et à angoisser.

Pourtant, les bienfaits de ces pauses mentales ne sont plus à démontrer. Et ce n’est pas pour rien que l’application Calm, qui offre des programmes de méditation, a été nommée app de l’année en 2017 : la demande est forte parce que nous sentons que nous avons besoin d’appuyer sur Pause.

Alors autant essayer d’initier nos enfants à la chose pendant que leurs jeunes esprits sont encore malléables. Du moins, plus que les nôtres.

Calme et attentif comme une grenouille d’Eline Snel nous avait été suggéré lors d’une entrevue plus tôt cette année. Force est d’admettre que le bouquin est bien conçu et propose des outils ludiques de concentration pour les 5 à 12 ans qui les aideront à se recentrer tous les jours de l’année. Les parents y trouveront des manières de faire, ainsi qu’un CD afin de mieux guider les enfants – et eux aussi, du coup – à travers des exercices bienfaisants pour l’esprit.

Barbecue sans viande, et délicieux!

Barbecue vegan - Marie Laforêt

On associe toujours le barbecue aux grillades viandeuses, mais il existe une multitude d’options savoureuses pour les végétariens, et même les végétaliens.

Marie Laforêt compte déjà un nombre impressionnant d’ouvrages consacrés au végétalisme, et son livre Barbecue vegan arrive juste à temps pour contenter la passion des Québécois pour le gril.

Non, il ne s’agit pas de recettes de légumes grillés. Vous y trouverez des adaptations véganes de nombreux classiques : burger aux champignons, chou-fleur buffalo, tofu teriyaki ou en tacos et ribs de tempeh sauce barbecue.

Vingt-cinq recettes vraiment agréables à faire et qui goûtent bon l’été. Pour celles et ceux qui, pour leur santé ou l’environnement, souhaitent réduire leur consommation de viande, mais sans jamais rogner sur les saveurs.Nike Shox Current 807

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Exclusif•Santé générale

Doit-on soigner la fièvre?

On entend parfois que la fièvre ne devrait pas être supprimée à l’aide de médicaments (comme l’acétaminophène ou l’ibuprofène) puisqu’elle contribue à la guérison du mal dont elle est le symptôme.

Mais qu’en est-il exactement?

«Effectivement, la fièvre est une réaction inflammatoire pour combattre une infection, expose la Dre Alexandra Bwenge. Donc, c’est un symptôme, pas une maladie.»

Il n’y a cependant pas de preuve scientifique qui montre que le maintien de la fièvre améliore la guérison ou, au contraire, la ralentisse.

«Donc, si on se sent moche, poursuit la médecin, on se soigne.»

Parmi les plus efficaces moyens de lutter contre la fièvre, on compte le repos et une hydratation constante. «C’est particulièrement vrai chez les enfants. Il faut surveiller qu’ils boivent beaucoup parce qu’ils ne sont pas équipés pour se gérer eux-mêmes lorsqu’ils sont malades, alors que les adultes le sont», souligne-t-elle.

Pour le traitement médicamenteux, on préconisera l’ibuprofène, qui fonctionne généralement mieux chez les enfants. Si son ingestion demeure sans effet après une heure, on essaie l’acétaminophène. (En cas de varicelle, on opte directement pour le second).

Allez à l’urgence :

 

  • Si c’est votre enfant de moins de 3 mois qui est fiévreux

 

  • En cas de difficultés respiratoires

 

  • Si un mal de tête ou de cou accompagne la fièvre et ne disparaît pas avec le médicament

 

  • Si vous êtes immunosupprimé, si vous souffrez d’un cancer ou de maladie chronique, si vous êtes enceinte ou si vous êtes une personne âgée

 

Qu’il s’agisse de vous ou de votre enfant, si les symptômes persistent au-delà de deux ou trois jours ou si d’autres symptômes vous inquiètent, consultez votre médecin de famille.Air Jordan XX9 Low

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Exclusif•Santé au travail•Santé générale

Réapprenez à… marcher!

Ralentissement du vieillissement, réduction spectaculaire des risques de mort prématurée, baisse tout aussi impressionnante des risques de souffrir de démence, de diabète, de maladies cardiovasculaires et d’une pléthore d’ennuis de santé chroniques : les bienfaits de la marche sont tellement nombreux qu’il faudrait un livre pour les répertorier.

Ça tombe bien : c’est exactement ce que fait Denis Fortier, physiothérapeute, dans son récent ouvrage intitulé Lève-toi et marche! Mais l’auteur accomplit plus encore avec ce livre où, en plus de démontrer les ravages de l’immobilité, il expose les bénéfices de faire bouger nos corps, et nous dit comment.

Puisque nous l’avions au bout du fil pour discuter de son ouvrage (entretien rapporté dans un article précédent), nous en avons profité pour lui demander conseil au nom de celles et ceux qui veulent se remettre en marche. Au propre comme au figuré.

Maintenant qu’on sait que la marche est si profitable, comment on s’y remet si on a pris l’habitude d’être sédentaire?

D’abord en réalisant que d’être toujours assis n’est pas normal! Ensuite, un bon truc pour commencer, c’est de compter ses pas. Parce que souvent, ça reste une donnée abstraite; on ne saisit pas très bien ce que ça veut dire de marcher 10 000 pas quotidiennement. Donc l’idée, c’est de compter ses pas (NDLR : à l’aide d’un podomètre, d’un bracelet connecté ou d’une application sur un téléphone intelligent) et d’augmenter le nombre qu’on fait par jour, mais très peu à la fois. Si vous êtes sédentaire, ça se peut que vous soyez à 4000. Alors chaque semaine, augmentez de 250 pas par jour. Donc de 1000 pas quotidiens en quatre semaines. Et ainsi de suite.

Il y a des gens pour qui l’effort musculaire n’est pas évident, parce que leur corps a perdu l’habitude. Quelle recommandation leur feriez-vous?

D’utiliser la marche relativement lente. Mais le plus souvent possible. Au travail, éviter d’être assis. Si possible se lever et marcher; être seulement debout de façon statique, c’est moins bon que marcher. Utiliser les escaliers dès que c’est possible.

Aussi, je conseillerais de faire les activités quotidiennes à pied. Il faut utiliser la marche, se la réapproprier.

Mais attention à votre motivation si vous souhaitez conserver vos bonnes habitudes. Pour mettre toutes les chances de votre côté, vous pouvez combiner votre marche à quelque chose qui vous plaît : y aller avec quelqu’un pour discuter, écouter de la musique… Vous pouvez aussi aller au gym : embarquez sur un tapis roulant et lisez le journal si c’est ça qui vous plaît ou si le temps froid vous rebute.

Et si on a des douleurs en raison de problèmes d’arthrose ou d’arthrite, et que marcher fait mal?

On a tendance à surprotéger une articulation douloureuse. Mais la marche va diminuer la douleur à la longue, et surtout ça protège le côté fonctionnel, donc on évite que les articulations doivent être opérées et remplacées par des prothèses.

Finalement, si on est capable de partir pour 15, 20 minutes, il serait bon de varier les vitesses de marche. Souvent, les personnes d’un certain âge qui sont inactives depuis longtemps ont perdu la capacité d’accélérer.

La clé pour que ça fonctionne bien, c’est d’y aller progressivement.Air Jordan Releases 2019

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Exclusif•Santé au travail•Santé générale

Le remède miracle existe!

L’expression est apparue dans la presse il y a quelques années déjà : «Sitting is the new smoking» («La position assise est la nouvelle cigarette»). Évocatrice, aussi peu subtile qu’une volée de plombs, l’affirmation a ensuite été en partie démontée par de nombreux scientifiques qui la trouvaient largement exagérée.

Mais personne ne remet ceci en cause : la sédentarité est un des principaux problèmes de santé publique. Nos corps ne sont pas conçus pour demeurer inactifs, constatent les chercheurs, les médecins et autres sommités qui disent à l’unisson qu’il faut nous lever plus souvent.

Le physiothérapeute Denis Fortier fait partie de ceux-là. Son instructif et amusant bouquin Lève-toi et marche! fait l’imparable démonstration que le principal remède à nos maux réside dans le simple fait d’activer le corps. Il répond ici à nos questions concernant les vertus de la marche, dans la première partie d’un entretien en deux temps.

 

On disait il y a quelques années «Sitting is the new smoking», puis plusieurs chercheurs ont voulu calmer un peu le jeu. Mais vous, vous dites carrément que la sédentarité est toxique.

Il faut apporter une nuance : pour moi, la similitude avec la cigarette ne réside pas seulement dans les méfaits de la position assise, et plus généralement de la sédentarité. La comparaison, c’est qu’il y a quelques décennies seulement, on ne disait pas que fumer était mauvais pour la santé, et pourtant, aujourd’hui, c’est un fait incontestable. Pour moi, c’est la même chose avec la position assise : éventuellement, ça va devenir évident que c’est nocif.

C’est vrai, par ailleurs, que c’est un peu simpliste comme analogie. Être assis n’est pas fondamentalement mauvais : au contraire, il faut s’asseoir pour récupérer. Alors que fumer une ou deux cigarettes par jour, ça n’a rien de bénéfique.

Il y a quelque chose d’assez difficile à réconcilier dans le concept de sédentarité : même si on fait du sport intense plus de 12 heures par semaine, on peut quand même être considéré comme sédentaire si on passe trop de temps assis. Pourquoi le sport ne compense-t-il pas nos heures de passivité physique?

Ce sont deux concepts complètement distincts. Les effets sur la santé de la position assise sont indépendants.

Le nombre d’heures passées assis est un indicateur de santé. Mais ça ne veut pas dire que le sport n’a aucun bénéfice. Le risque de mort prématurée, si vous êtes très sédentaire et que vous ne faites pas d’activité physique, est multiplié par huit. Il l’est par trois si vous faites de l’activité physique et que vous êtes sédentaire.

Évidemment, il y a plusieurs facteurs de risque à considérer. Mais ça donne une idée.

Pourquoi c’est si bon de marcher?

C’est bon principalement parce que ça fait contracter les muscles. Tous les muscles ensemble représentent 40 % de notre poids, consomment énormément de glucose, et il y a beaucoup de sang qui passe à travers eux. Il y a donc des bienfaits pour les muscles, mais aussi pour le système cardiovasculaire et le cerveau. (ndlr : l’auteur dresse la liste exhaustive de ces bénéfices pas du tout marginaux, et trop nombreux pour être entièrement détaillés ici, dans son livre)

Nos muscles sécrètent également des hormones qui ont des effets énormes sur la santé; ce sont des messagers chimiques qui ont un potentiel anti-inflammatoire. Donc, marcher réduit, entre autres, les risques de maladies cardiovasculaires.

Marcher, on le sait maintenant, peut aider à prévenir de très nombreuses maladies chroniques.

Donc, est-ce qu’on se trompe en disant aux gens de faire du sport? 

Il faudrait faire les deux : marcher et faire du sport.

Ce qu’il est important de retenir, c’est qu’il faut éviter les positions prolongées d’immobilité. C’est ça qui est dommageable pour la santé. Le fait de ne pas contracter nos muscles réduit la production de messagers chimiques, comme les hormones dont je parlais. L’équilibre métabolique est donc perturbé par le fait d’être assis.

Ensuite, vous vous exposez à des problèmes articulaires, parce que le liquide synovial qui agit comme un lubrifiant dans vos articulations a besoin de mouvement. Puis, vos abdos ne sont pas contractés et vous augmentez ainsi vos risques d’avoir des problèmes de dos, aussi parce que votre squelette en général n’est pas fait pour être en position assise prolongée.

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La semaine prochaine : trucs et conseils pour se déconditionner de la position assise et pourquoi les personnes âgées qui marchent vivent mieux et plus longtemps.Air Max 90 VT QS

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Exclusif•La prévention•La psychologie•Santé générale

Reprenez possession de vos week-ends

Prendre une pause du boulot est essentiel au maintien d’une bonne santé.

Mais les technologies qui devaient nous libérer du travail ont fini par nous y enchaîner. Le statut de pigiste censé émanciper de la vie de bureau a quant à lui fait de ceux qui l’ont adopté des individus souvent incapables de passer une seule journée sans répondre à leurs courriels ou de saisir l’ordinateur portable pour s’avancer un peu dans leur labeur.

Sans oublier que, entre une partie de hockey du plus jeune, les courses, le ménage, les rénos et le soccer de la plus grande, le peu de temps qu’on désigne encore comme «fin de semaine» rétrécit comme peau de chagrin, au profit des déplacements et des corvées.

Cela a une incidence sur notre santé mentale, clame la journaliste et romancière torontoise Katrina Onstad : nous sommes au bord d’une crise généralisée de surmenage! Cela, alors qu’on constate qu’il n’y a aucune corrélation entre le nombre d’heures travaillées et la réussite financière. En fait, plus on travaille au-delà d’un seuil acceptable, moins on est productif.

Son récent essai, Où est passé mon week-end?, retrace le combat mené par la classe ouvrière pour obtenir ce temps de repos, de quelle manière nous l’avons perdu, et ce que nous pouvons apprendre d’autres peuples qui comprennent mieux que nous comment décrocher. La France vient d’instituer le droit de se débrancher. De plus en plus d’entreprises et de communautés étirent les fins de semaine, proscrivent les échanges de messages professionnels le soir, etc.

Le vent tourne lentement en faveur du temps libre, mais en attendant les grands changements de culture, Onstad propose quelques idées afin de reprendre possession de son week-end et de ne plus déprimer devant Tout le monde en parle en songeant au retour au travail le lendemain, mais surtout au sentiment que les 48 dernières heures se sont écoulées trop rapidement, sans qu’on en retire grand-chose de satisfaisant.

Faites une activité qui a du sens

Jouez dehors, préparez à manger avec la famille ou des amis, admirez quelque chose de beau en allant au musée ou à la montagne, comme il vous plaira. Lisez un livre qui vous tente. Mais ne confondez pas temps libre et divertissement non plus. Ce que vous faites doit vous nourrir; pas certain que vous gaver d’épisodes de District 31 suffise à vous donner l’impression d’avoir réussi votre fin de semaine.

Débarrassez-vous de vos corvées pendant les soirs de semaine

Oui, le ménage doit être fait. Le lavage aussi. Mais le premier ne peut-il pas être accompli le jeudi, et le second le lundi? Notre principal problème avec la fin de semaine, c’est qu’elle est souvent aussi chargée de tâches que l’est la semaine. Or, il faut du temps pour flâner et ne pas être productif afin de pouvoir l’être au moment opportun : en semaine, au travail.

Entrez en contact avec des gens

Le terme connexion a été dévoyé par les entreprises technologiques, soutient l’auteure. Nos gadgets nous gardent en contact avec les autres, mais ces relations sont superficielles. Passer du temps avec quelqu’un, c’est entrer en relation, apprendre à vraiment connaître la personne, partager une activité, des points de vue, et rompre avec la solitude qui accable de plus en plus de gens. La solitude chronique est l’affaire de 35 % des plus de 45 ans. Or, il appert qu’elle est plus nocive que l’alcool, le tabac et la sédentarité.

Cessez de vous rendre toujours disponible

Le droit à la déconnexion fait lentement son chemin. En attendant que cela arrive ici, n’hésitez pas à faire savoir aux gens que vous ne lisez pas vos courriels le soir et la fin de semaine. Quitte à l’inscrire dans votre signature ou dans un message d’absence que vous activez pour le week-end. Personne ne vous en tiendra rigueur. Au contraire, vous risquez de faire des envieux qui vous copieront.

Éteignez votre téléphone

Nous avons perdu l’habitude de n’être pas «connectés». Nous sommes convaincus de ne plus pouvoir fonctionner et ne savons plus comment meubler les temps morts sans le divertissement des réseaux sociaux. Mais si les premières minutes à regarder la Zamboni faire des sparages sur la patinoire en attendant la partie du plus jeune risquent de ressembler à une agonie, à la longue, vous aimerez ces moments d’ennui. Ils permettent de réfléchir, de s’ouvrir aux rencontres et de laisser son esprit vagabonder. Et ça, c’est vraiment très bon pour la santé mentale.

Inscrivez-vous à une activité

Les gens qui font du bénévolat n’ont pas l’impression d’avoir perdu du temps, a découvert Katrina Onstad : au contraire, ils ont le sentiment d’en avoir gagné (allez lire le livre pour comprendre pourquoi). Qu’il s’agisse de donner quelques heures, de joindre une ligue de pétanque, un club de course à pied ou autre chose qui nous branche, s’inscrire à une activité permet d’entretenir une passion en ayant rendez-vous avec celle-ci. C’est du temps de qualité, passé à faire une chose qu’on aime, en dehors de l’esprit de productivité.ADIDAS

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Exclusif•La prévention•Santé générale

Préparer son rendez-vous avec le médecin

Une visite chez le médecin est un moment stressant. Parce qu’elle est rare, et qu’on veut en profiter pleinement pour poser toutes les questions pertinentes sur notre état de santé. Ou parce qu’on est rongé par l’inquiétude que provoquent des symptômes dont on craint qu’ils ne cachent quelque chose de grave.

Nous avons donc demandé à des médecins de famille et à des spécialistes de nous dire comment bien se préparer pour tirer pleinement profit d’un passage dans leur bureau.

Préparez vos questions

Les médecins parlent du syndrome de la poignée de porte : ce moment où le patient s’apprête à sortir de leur bureau lorsqu’il se souvient soudainement d’une question importante qu’il souhaitait poser.

Mais il arrive aussi que cette poignée de porte soit celle de votre voiture ou de votre domicile : et là, il est trop tard pour réclamer de l’information.

Cela n’arrivera pas si vous avez fait une liste.

Si vous vous rendez chez le médecin avec des enfants ou une personne âgée, établir d’avance vos questions est encore plus important. Cela vous obligera à réfléchir à ce que vous souhaitez partager comme information lors de ce rendez-vous, et surtout vous n’oublierez rien, malgré les distractions (d’un bambin agité pendant la rencontre, par exemple) ou le stress.

Tenez un journal de vos symptômes

Si le médecin vous demande depuis quand vous avez mal à la tête et que vous répondez «depuis une secousse», puis que, lorsqu’il vous interroge sur la fréquence du mal, vous ne trouvez qu’à dire «assez souvent», cela complique assez son travail. Mais surtout, vous vous privez d’un diagnostic plus rapide et d’un travail d’investigation plus efficace.

Les médecins sont des détectives. Plus vous leur fournissez d’indices, plus il sera facile pour eux d’identifier le coupable.

Donc, si vous souffrez de douleurs épisodiques et/ou persistantes, écrivez dans un cahier chaque fois que cela se produit, ce que vous ressentez et la durée du problème. Même chose pour documenter votre sommeil, des étourdissements, etc.

Quel est le degré de douleur ressenti, de 1 à 10? La douleur vous empêche-t-elle de vaquer à vos occupations? Voilà le genre de questions que le médecin risque de vous poser. Tenir ce journal vous permettra de mieux y répondre.

Faites la liste de vos médicaments et suppléments

Même si le Dossier santé du Québec est censé refléter la liste des médicaments que l’on prend, les médecins auxquels nous avons parlé signalent qu’elle est imparfaite et que plusieurs pharmaciens omettent de la tenir à jour.

Alors ayez en main la liste de tout ce que vous prenez. Y compris vos suppléments alimentaires et vitamines.

Déterminez vos attentes

On ne peut pas toujours tout régler lors d’une seule visite chez le médecin. Mieux vaut alors établir un ordre de priorités.

Quels sont les problèmes les plus urgents à régler? Quelles sont vos attentes précises à la suite de votre visite?

Dressez cette liste et joignez-la aux autres documents préparatoires.

Demandez un court récapitulatif avant de partir et notez au besoin

On peut se sentir bombardé d’information dans le cabinet du médecin. Ne vous gênez surtout pas pour réclamer un résumé de votre rencontre auprès de votre professionnel de la santé. Profitez-en pour prendre des notes au besoin, ou pour lui demander de vous signer un court document qui fait le tour de ses recommandations et des gestes que vous aurez à poser après votre visite.adidas NMD kaufen

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Exclusif•La prévention•Recherche•Santé générale

3 raisons d’aimer les microbes

Dans leur livre intitulé Les microbes, nos alliés, les chercheurs B. Brett Finlay et Marie-Claire Arrieta retracent la récente histoire de notre guerre contre les microbes. Une lutte profitable, puisqu’elle a permis de sauver des millions de vies. Mais ils observent aussi un contrecoup à notre obsession de la propreté et à notre désir de guérir toujours plus vite des moindres petits maux.

Notre entrevue avec Mme Arrieta constitue un bon point de départ pour comprendre ce que les auteurs ont à nous dire, mais voici quelques-unes des découvertes et informations qu’ils dévoilent dans leur ouvrage, et qui devraient vous donner envie de le lire en entier pour mieux saisir ce qui se trame dans le monde invisible des micro-organismes qui sont partout en nous et sur nous.

Trop d’antibiotiques rend les enfants malades

Les antibiotiques sont merveilleux. Ils sauvent des vies et permettent d’éviter que plusieurs maladies ne provoquent d’importantes complications qui pourraient dégénérer. Mais quantité d’études tendent désormais à lier la prise d’antibiotiques en bas âge à d’autres problèmes de santé. Ainsi, les enfants qui ont pris des antibiotiques plus de quatre fois avant l’âge de 2 ans sont 10 % plus à risque de devenir obèses. D’autres études lient ces médicaments aux allergies et à l’asthme. Les microbes sont entièrement détruits par les antibiotiques, y compris les bons, ce qui pourrait en partie expliquer ce phénomène.

Les femmes enceintes doivent chérir leurs microbes

Les bébés naissent stériles. Leur premier contact avec le monde des microbes se fera par la mère (ainsi que par l’environnement où ils naîtront, qu’il s’agisse d’une maison de naissance, du domicile ou de l’hôpital). Ces premiers contacts avec le monde sont essentiels pour le développement de l’enfant et, croit-on, détermineront bien des aspects de sa santé. Pour s’assurer de détenir de bons microbes, en quantité importante, les femmes enceintes devraient surveiller leur alimentation, mais aussi leur niveau de stress. Ce dernier pourrait être lié non seulement à des naissances plus précoces ou difficiles, mais aussi à des modifications du microbiote, soit l’ensemble des microbes de l’organisme. Un microbiote stressé serait moins profitable pour le bébé naissant.

Votre chien vous couvre de microbes… et c’est très bien

Vous croyez que le chien qui lèche les enfants les couvre les microbes? Vous avez raison. Mais c’est sans doute une bonne chose. Dans les demeures où il y a un ou des chiens, on constate que ces derniers participent à la diversité microbienne des résidents. Les toutous s’amusent dehors, en rapportent des milliers de milliers de micro-organismes qu’ils redistribuent par leur bave et leurs poils. Comme ils sont plus affectueux et joueurs que les chats, ils sont de meilleurs vecteurs de microbes. Et la diversité qu’ils apportent est bonne pour la santé.

Curieux d’en connaître plus? Nous ne saurions trop vous conseiller la lecture de cet ouvrage passionnant.

Aussi, allez lire notre entrevue avec une des auteurs.Air Jordan XXXII

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Exclusif•La prévention•Peau•Recherche•Santé générale

Trop propres, nos enfants?

De leur naissance à la fin de la petite enfance, nos enfants vivent trop souvent dans des bulles de propreté. Or, cette obsession du bébé propre nuit au développement de son système immunitaire. De même que les accouchements par césarienne ou la trop fréquente ingestion d’antibiotiques.

Les chercheursB. Brett Finlay et Marie-Claire Arrieta signent Les microbes, nos alliés, un livre à la fois informatif et pratique qui permet de mieux comprendre le fonctionnement du microbiote au quotidien. Et surtout comment le contact avec un peu de saleté rend nos enfants plus résistants aux maladies qui les menacent.

C’est aussi ce qui ressort de notre entrevue.

Mme Arrieta, nous sommes très préoccupés par la santé de nos enfants, c’est normal. Mais avons-nous atteint un point où notre souci vire à l’obsession, ce qui leur est nuisible?

Oui et non. C’est une bonne chose que nous consacrions beaucoup d’énergie et d’intérêt à la santé des enfants. C’est notre conception d’un environnement propre ou de l’utilisation de médicaments comme les antibiotiques pour le moindre petit bobo qui est nuisible.

Mais c’est parfois difficile pour les parents d’aller contre leur instinct et ce qu’ils ont toujours fait : on veut une solution un peu blindée, réduire le risque au minimum.

C’est vrai : si vos enfants sont malades, vous voulez qu’ils retrouvent la santé immédiatement, et ne pas attendre pendant des jours pour qu’ils guérissent. Mais notre propension à employer certaines méthodes qui paraissent plus efficaces peut devenir néfaste. C’est cela qu’il faut comprendre. Il faut être mieux éduqué, comme parent, pour ne pas céder à la panique et prendre les meilleures décisions à moyen et long termes.

C’est pour cela que votre livre propose plusieurs pistes à suivre dans différentes situations données?

Oui! Nous sommes des scientifiques et n’avons donc pas l’habitude d’écrire pour le public. Mais dans notre entourage, les mêmes questions revenaient sans cesse, concernant les vaccins, la propreté, certaines maladies et comment les traiter. Nous tentons d’y répondre de manière claire.

Il est beaucoup question de la nécessité d’exposer les enfants au monde qui les entoure afin de stimuler leur microbiote, qui, lui, est lié au système immunitaire. Comment cela fonctionne-t-il au juste?

Lorsque nous naissons, notre système immunitaire est très rudimentaire. C’est à la rencontre de l’environnement externe qu’il se développe, donc en entrant en contact avec différents microbes. Il s’éduque à force de s’y frotter. Ce qui a changé, c’est que pendant des millénaires, ce processus était le même. Lors de la naissance, les voies vaginales et le contact avec des matières fécales fournissaient un premier apport microbien. L’allaitement maternel, un second. Puis les enfants jouaient sur le sol, mangeaient des cailloux, de la terre. Notre mode de vie moderne les prive parfois de tout cela. Ce qui a des conséquences importantes sur leur système immunitaire pour le reste de leur vie.

La tendance à l’hyperpropreté est plutôt récente. Mais c’est devenu naturel de laver les bébés très souvent, de ne pas les laisser toucher des objets qui ont été sur le sol, et encore moins les mettre dans leur bouche… Ça ne veut pas dire de les laisser faire n’importe quoi : ils ne devraient pas être en contact avec des surfaces infectées, par exemple, ni avec des aliments où il y a de la pourriture. Mais il faut que nous soyons un peu moins obsédés par la propreté. J’ai vu des parents qui nettoyaient le plancher de la maison à l’eau de Javel tous les jours pour s’assurer que leur bébé ne serait jamais en contact avec une surface sale… C’est ce genre de comportement qui affaiblit le système immunitaire des enfants.

La science entourant le microbiote est encore très jeune. Nous en savons donc peu sur son influence sur le système immunitaire. À quoi pouvons-nous nous fier parmi toute l’information qui ressort des différentes recherches?

Aux choses dont nous sommes sûrs. Par exemple, la naissance par voie naturelle réduit le risque de maladies. L’allaitement maternel aussi. Les antibiotiques nuisent considérablement à la santé du microbiote; ça aussi on le sait, et c’est parfois la seule de ces trois choses que nous pouvons contrôler. C’est un des plus gros enjeux : ils sont consommés trop souvent et les médecins subissent une pression énorme pour les prescrire aux enfants. Là encore, être mieux éduqué sur la question, comme parent, nous permet de prendre des décisions plus éclairées.Footwear

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