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Techno
Exclusif•Santé générale•Techno

Nouveautés en technologies santé

Apple Watch, lanceuse d’alerte

Selon AppleInsider, le géant informatique de Cupertino aurait déposé une demande de brevet concernant une nouvelle fonctionnalité de sa désormais célèbre montre : un lanceur d’alerte en cas d’urgence.

Si l’Apple Watch, comme plusieurs produits du genre, permet de surveiller avec précision les fluctuations de données biométriques, cette nouvelle fonction permettrait de détecter une irrégularité majeure et d’appeler du secours. À noter que les changements subits qui «inquiéteraient» l’appareil pourraient aussi se situer à l’extérieur du corps. Pensons à un choc brutal, à une chute, etc.

Il existerait deux niveaux d’alerte. La première préviendrait les proches. La seconde pourrait passer un appel au 911.

On ignore si la compagnie compte réellement aller de l’avant avec cette nouveauté. Rien ne l’indique. Mais elle vient de prendre une sérieuse option sur celle-ci en déposant sa demande de brevet.

La télémédecine et l’intelligence artificielle

La compagnie britannique Babylon, qui se spécialise dans la télémédecine, a récemment récolté une quantité importante de fonds afin de faire évoluer son application qui permet d’effectuer une consultation virtuelle avec un véritable médecin.

Avec ses 25 millions de dollars américains tout neufs en poche, la compagnie souhaite développer le volet intelligence artificielle de son application afin que celle-ci puisse aider le patient à mieux analyser ses symptômes et effectuer un premier triage avant de réclamer une rencontre avec un médecin.

Theranos et l’importance de la transparence

Les compagnies de technologies qui souhaitent offrir des services aux patients sans qu’un professionnel de la santé soit impliqué dans le processus doivent faire preuve d’un niveau de prudence extrême.

C’est ce qu’aurait négligé la compagnie Theranos, qui souhaite proposer des diagnostics sanguins aux individus, sans le concours d’un médecin. Le Wall Street Journal a en effet révélé de nombreuses failles dans les analyses de la compagnie, qui s’attire les foudres des autorités entre autres parce qu’elle garde jalousement le secret du fonctionnement de sa technologie.

Dans un long et éclairant article du Business Insider, des membres de la communauté scientifique, mais aussi du milieu des start-ups en santé, insistent : il est primordial d’être absolument transparent dans ce genre d’entreprise. Sinon, impossible d’obtenir l’assentiment des professionnels de la santé, encore moins des autorités en place (comme la FDA aux États-Unis, dans le cas qui nous occupe), puis du public, qui souhaite être rassuré quant à la qualité du diagnostic qu’il obtiendra.Air Max 95 Flyknit

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Exclusif•Santé mentale•Techno

La santé mentale par le virtuel 

De plus en plus d’observateurs voient dans la réalité virtuelle une solution de remplacement aux traitements médicamenteux afin de soigner les maladies mentales les moins sévères. Mais encore faudra-t-il s’assurer de son efficacité.

La santé mentale est un problème sociétal important. En plus de son coût humain, elle exerce une pression importante sur le système de santé.

La plupart d’entre nous souffrent de stress et d’anxiété à divers degrés. En 2014, le Canada était le troisième pays du monde (après l’Islande et l’Australie) où l’on consommait le plus d’antidépresseurs. En 10 ans, le nombre de jeunes Canadiens de 18 ans et moins qui en consomment a augmenté de 65 %.

Soigner autrement

De plus en plus de médecins et de spécialistes de la santé mentale sonnent l’alarme, prévenant qu’on a peut-être sur les bras une véritable épidémie de maladie mentale. Et surtout : que les médicaments ne régleront pas tout. D’autant plus que les thérapies cognitivo-comportementales semblent très bien fonctionner.

Dans ce registre, la réalité virtuelle pourrait représenter une avancée de taille. Devenue très abordable, cette technologie immersive donnera sans doute naissance à une multitude d’applications psychologiques dont pourront se servir les thérapeutes.

Ils l’utilisent déjà pour soigner la phobie de l’avion. De même que le stress post-traumatique chez les militaires.

Le gouvernement canadien a d’ailleurs fait l’acquisition d’un logiciel d’avant-garde en la matière. Bravemind est un système interactif et immersif qui permet aux soldats souffrant de stress post-traumatique de replonger dans le théâtre des opérations et d’y affronter leurs démons. Le système est particulièrement efficace lorsqu’il est doublé d’une thérapie traditionnelle, surtout chez les sujets les plus récalcitrants.

Prévention en RV

Déjà, des applications en tous genres apparaissent sur le marché. Celles qui relèvent du traitement psychologique devront évidemment être analysées par les autorités compétentes afin d’assurer qu’elles sont sécuritaires et profitables – on ne soigne pas une phobie sociale comme on cesse de fumer à l’aide d’une application. Mais pour réduire les ennuis du quotidien, comme le stress, une panoplie de produits s’offre déjà aux détenteurs d’un système de réalité virtuelle maison.

La clé pour réduire les coûts de santé et impliquer les patients dans leur guérison réside-t-elle dans la création de logiciels efficaces et autonomes en réalité virtuelle? C’est encore difficile à dire.

Mais il est certain que certaines applications préventives sont d’une grande aide. Ne serait-ce que pour réduire le stress, lui-même considéré comme une importante cause de nombreux problèmes de santé. On pense par exemple à Guided Meditation VR, qui permet de se détendre totalement en se coupant du monde pour évoluer dans un univers apaisant.

Que les thérapeutes le veuillent ou non, le monde de la santé mentale fait son entrée dans un nouvel univers. Une réalité qui n’est pas du tout virtuelle, puisque l’industrie des technos l’a bel et bien investie. Et ce n’est qu’un début.Nike Sneakers

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Exclusif•Santé cardiaque•Techno

Objets connectés et santé cardiaque : pas tous égaux

La volonté de nombreux patients de s’impliquer directement dans le suivi de leur état de santé propulse un marché technologique en ébullition. En matière de santé cardiaque, il faut toutefois choisir des objets connectés homologués, et surtout ne pas troquer l’avis d’un professionnel contre un gadget.

 L’enthousiasme concernant les objets connectés en santé est tout à fait justifié. Utilisés convenablement, ils sont des instruments qui incitent à la prise en charge des individus souhaitant améliorer ou maintenir leur état de santé.

Ainsi, plusieurs récits encourageants sont transmis en ligne, et peuvent laisser croire que n’importe quel bracelet électronique permet de mesurer adéquatement les fonctions vitales et d’en faire une analyse efficace. Qu’on pense, par exemple, à cet homme qui s’est diagnostiqué un problème cardiaque avec une Apple Watch. Son état a été confirmé par son médecin, qui lui a posé ensuite un stimulateur cardiaque (pacemaker).

Nous avons là, sous les yeux, une idée de l’avenir de la santé en marche : de simples citoyens qui, au moyen d’outils de pointe et armés d’un intérêt accru pour la médecine, peuvent effectuer des diagnostics complexes. Selon une étude suisse, d’ici 2020, ces objets d’un futur au temps présent pourraient sauver des millions de vies.

Mais évitons un emballement hâtif qui pourrait poser problème.

Pas tous égaux

Une autre récente étude suisse révèle qu’une minorité d’objets connectés sont en mesure d’effectuer une analyse valable de la condition cardiaque. Et que plusieurs ne peuvent pas détecter un problème fuyant, comme l’arythmie.

Il existe toutefois une poignée d’applications qui sont homologuées et qui jouent leur rôle en ne mettant pas en péril la sécurité des utilisateurs.

Nouvel exemple du genre, Rejiva, sociofinancé entre octobre 2014 et janvier 2015, possède un moniteur cardiaque homologué par la pointilleuse FDA américaine. Mais l’objet ne s’arrête pas à la simple captation du rythme cardiaque, il mesure aussi les fluctuations de ces pulsations. Cette variabilité est désormais considérée comme un important indice de divers problèmes de santé.

Outre le service de coach, le logiciel d’analyse de la condition physique recèle plusieurs mesures de calcul de l’âge biologique et autres éléments qui en font l’un des objets connectés en santé les plus intéressants sur le marché. Son homologation ajoute évidemment à son pouvoir d’attraction. De même que son prix, accessible, à 250 $.

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Actualité•Les maladies•Techno

Un robot pour retrouver le bien-être de marcher

Par Radio-Canada – Les robots commencent à prendre une place importante dans l’arsenal de thérapies qu’utilise maintenant la médecine pour soigner certaines maladies qui limitent les mouvements du corps. Bien qu’encore peu accessible, la robothérapie permet d’améliorer sensiblement la condition des personnes atteintes de ce type d’affections.

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Santé mentale•Techno

La réalité virtuelle pour traiter la dépression

Par Le Journal de Québec – Chez certains patients, l’immersion dans le monde virtuel permettrait d’atténuer les symptômes de la dépression. Afin de tester cette idée, des équipes des University College à Londres et ICREA-University de Barcelone ont équipé 15 patients âgés de 23 à 61 ans de casques de réalité virtuelle.

Les participants ont observé les gestes d’un personnage virtuel à leur image. Voir bouger leur avatar leur a permis de faire corps avec lui.

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Santé générale•Techno

Opéré au cerveau éveillé… et muni de lunettes 3D

Par Le Devoir – Pour la première fois, un patient a été muni de lunettes 3D pendant qu’il était opéré éveillé d’une tumeur cancéreuse au cerveau afin d’épargner les connexions susceptibles d’altérer son champ visuel, a annoncé l’équipe du CHU d’Angers, dans l’ouest de la France.

« La chirurgie éveillée se pratique depuis les années 2000, mais ce qui est tout à fait inédit, ce sont les lunettes 3D qui ont plongé le patient dans une réalité virtuelle permettant de tester des fonctions beaucoup plus complexes, comme le champ visuel, la prise de décision dans une situation inattendue » ou encore l’exploration visuelle de l’espace, a-t-on expliqué mardi à l’AFP au centre hospitalier.Nike Magista Obra FG

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Exclusif•La prévention•Techno

Bracelets connectés : dans l’actualité des assurances, dans le futur de la médecine

Les médecins pourraient bientôt prescrire des bracelets connectés afin de suivre leurs patients. Le futur de la médecine à distance arrive à grands pas.

Tandis que l’introduction de programmes d’assurance incluant le port de bracelets connectés fait la manchette, les questions éthiques fusent. Ce qui est parfaitement légitime, d’autant que ces questions sont aussi au cœur de nombreuses préoccupations concernant la collision entre notre utilisation du Web et les principes de vie privée.

Cela n’arrête certainement pas le marché des bracelets, qui se prépare à faire quelques bonds en avant en ne se contentant plus seulement de prendre notre pouls et de faire le compte des pas marchés.

Le prochain objectif, c’est de faire le lien entre le patient et le médecin, grâce à des technologies avancées qui permettent de suivre un patient cardiaque en temps réel, de mesurer le taux de sucre d’un diabétique, et on en passe.

Présentation de deux projets qui, dans les traces d’Apple (et son ResearchKit), tentent d’amener cette technologie au prochain niveau.

Sano

Dix millions de dollars américains. C’est le financement qu’a obtenu Sano, l’an dernier, pour développer son nouveau bracelet qui devrait révolutionner notre rapport au sucre.

En effet, le produit, qui doit être commercialisé cette année, serait en mesure de tenir le compte du taux de sucre dans le sang en temps réel. Pour les patients qui doivent surveiller leur alimentation et qui peinent parfois à bien comprendre la nature de ce qu’ils ingèrent, mais plus encore de ce que les aliments produisent dans l’organisme, il pourrait s’agir d’une véritable révélation.

Pour les médecins aussi, puisqu’ils pourraient désormais faire le suivi des variations du taux de sucre de leurs patients, sans que ceux-ci aient à se soumettre aux ponctions d’un glucomètre qui nécessite une goutte de sang afin de donner le compte.

Comment ça fonctionne? On l’ignore encore. Tout ce qu’on sait, pour le moment, c’est que le capteur de silicone que développe Sano serait en mesure d’analyser plusieurs compositions chimiques, donc probablement la transpiration.

D’autres détails plus tard en 2016, tandis que la start-up de San Francisco viendra jouer sur le terrain des Fitbit, Jawbone, Garmin et Apple.

Google, encore

Un des principaux problèmes auxquels font face les médecins et les chercheurs, c’est le manque de fiabilité des patients et des sujets de recherche.

Google a donc développé un bracelet, au sein de son entité de recherche Google X, afin de transmettre des données en temps réel aux chercheurs.

Contrairement à Sano, qui vise un marché d’utilisateurs, Google souhaiterait plutôt que son bracelet devienne le premier objet connecté à être prescrit par les médecins ou employé lors d’essais cliniques.

On parle donc ici de capter et de transmettre une myriade d’informations en temps réel aux médecins. Et selon Google, l’objectif est de dépasser tout ce qui se fait en la matière en ce moment, en offrant une fiabilité de données inégalée à ce jour.sneakers

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Exclusif•Sport et activité physique•Techno

Les limites des bracelets connectés

Les bracelets connectés peuvent receler une myriade de vertus. Mais ils peuvent aussi encourager de très mauvais comportements. 

Les utilisateurs comme les fabricants d’objets connectés ou d’applications nagent dans les données. Heures de sommeil, pas marchés, battements cardiaques, verres d’eau éclusés, déplacements captés par GPS : les compagnies stockent nos données, parfois sans trop savoir qu’en faire.

Les chercheurs ne sont pas plus éclairés sur la question, d’ailleurs. Ni les médecins, comme nous l’apprenait un article de Forbes.

Mauvais, les bracelets connectés?

Cela ne signifie pas nécessairement que les bracelets de ce type sont inutiles. Mais ils ont leurs limites. Et celles-ci se trouvent parfois dans la tête de leurs utilisateurs.

«Il y a deux types de personnes qui utilisent les bracelets connectés, expose Natacha Gagné, kinésiologue, qui a sous sa tutelle une brassée d’athlètes. Les premiers s’en servent pour la motivation. Ça permet de faire le compte de ses activités, et c’est une bonne façon de maintenir ou d’augmenter son niveau d’activité physique. L’autre catégorie les utilise pour la performance. Donc, pour améliorer la vitesse, la force, etc.»

L’ennui, c’est que sans encadrement, les personnalités plus compétitives ne peuvent interpréter convenablement les données que génèrent leurs activités. Comme leur niveau de fatigue. «Ceux-là vont toujours vouloir en faire plus, c’est là qu’ils se blessent», constate Natacha Gagné.

Le plaisir y est-il?

Compter ses calories, c’est bien beau. Se donner des défis aussi. Mais les habitudes saines peuvent aussi devenir carrément nuisibles.

Natacha Gagné raconte l’histoire d’une patiente qui s’entraînait pour une course de 5 km. «Après son défi, elle n’a jamais cessé de courir son 5 km, tous les jours, au même régime. Aujourd’hui, elle souffre de périostites chroniques.»

Tout en sachant qu’elle prêche pour sa paroisse, la professionnelle de la santé insiste sur l’importance de consulter un professionnel. «Même lorsque les applications proposent des programmes, ils sont généraux, et s’ils fonctionnent pour la majorité des gens, ça ne veut pas dire qu’ils sont bons pour vous. Les gens devraient aussi consulter pour savoir s’ils font les choses correctement, s’ils bougent bien et s’ils ne sont pas en train de se blesser sans le savoir.»

Au final, insiste-t-elle, il ne faut surtout pas oublier la notion de plaisir. D’où l’importance non pas uniquement de monitorer ses déplacements, mais aussi de trouver une activité qui nous plaît, et qu’on a envie de faire souvent. Il y a plus de motivation là que dans un bracelet, en somme.

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À lire : Présent et futur des bracelets connectésJordan Hydro 6 Sandals

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Exclusif•Sport et activité physique•Techno

Présent et futur des bracelets connectés

Pourquoi les bracelets connectés connaissent-ils une aussi grande popularité? Nous avons demandé à des utilisateurs de nous parler de l’usage qu’ils en font.

On a pu se rendre compte, lors du dernier Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas, que les fabricants de bracelets connectés se concentrent de plus en plus sur les fonctions ayant trait à la condition physique.

Qu’il s’agisse d’effectuer un pairage avec un pèse-personne ou simplement d’offrir de nouvelles fonctions (comme un GPS, un capteur de fréquences cardiaques, ou des commodités généralement réservées aux montres intelligentes), l’Internet des objets s’intéresse de plus en plus à la mise en forme, obsession d’une société qui se découvre des habitudes nocives dans la sédentarité et l’alimentation bâclée.

En lien avec un autre article sur les limites de ces gadgets, nous avons demandé à des utilisateurs de nous expliquer l’usage qu’ils en font. Manière de comprendre la popularité de ces objets.

Témoignages

Fabien : «Nous sommes plusieurs à en avoir acheté au bureau. Nous faisons des concours de pas marchés chaque semaine. Je ne regarde pas souvent toutes les données, par contre, et je ne l’utilise certainement pas à son plein potentiel.»

Karim : «J’ai une montre et un pèse-personne connectés. J’avais acheté la montre pour mon sommeil. Ça m’a permis de réaliser que les nuits où je dormais mal, c’était souvent à cause de certains aliments, ou lorsque je mangeais à certains moments plus que d’autres. Mon pèse-personne, lui, est connecté à l’application MyFitnessPal. Ça me permet de suivre ma progression, d’éviter que l’entraînement me fasse prendre trop de masse.»

Craig : «À l’été 2014, j’avais pour objectif de perdre 20 livres. J’ai donc acheté un bracelet et un pèse-personne. Et j’ai utilisé toute la technologie qui va avec : j’enregistrais mes activités, j’entrais les données de tout ce que je mangeais… À la mi-août, j’avais perdu 25 livres. En fait, ça m’a surtout permis de réaliser que ce que je mangeais, et que je croyais santé, était très, très calorique.»

Marie-Sophie : «Je m’en sers pour compter mes pas, car je travaille à la maison, ce qui me rend assez sédentaire. Même si je m’entraîne presque tous les jours, la marche reste importante pour gérer ma masse adipeuse, et le bracelet m’aide à me rappeler de me lever, de ne pas rester scotchée devant l’écran. Idéalement, je fais 10 000 pas par jour. Ce n’est pas énorme. Ça représente environ 50 minutes de déplacements par jour, que je fais à pied.»

D’autres utilités à l’étude

Tout cela est très éclairant et montre bien que l’intérêt des consommateurs pour ce genre d’objets est loin de s’éteindre. D’où l’enthousiasme du marché à produire toujours plus de nouvelles incarnations de ces engins.

Mais d’autres marchés pointent le bout du nez. Non pas celui de la prévention, mais du traitement des maladies. Certains professionnels de la santé commencent ainsi à s’intéresser aux bracelets connectés pour des raisons bien précises.

Par exemple, une étude est actuellement mise en branle afin de munir des patients cancéreux de bracelets Fitbit afin de mesurer leur niveau d’activité physique. Pourquoi? Simplement parce qu’ils répondent mieux aux traitements de chimiothérapie lorsqu’ils sont en bonne forme physique, et qu’il semble que leurs réponses aux questionnaires soient parfois faussées par une autoanalyse erronée.

De plus, croit-on, les bracelets pourraient permettre de détecter un sommeil déficient, un haut niveau de fatigue et aussi de stress.

Les objets connectés font leur entrée à l’hôpital. Et ça ne fait que commencer.

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À lire : Les limites des bracelets connectésAir Presto Flyknit Ultra

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Drogues et Toxicomanie•Exclusif•Techno

Arrête de boire

Pour réduire sa consommation d’alcool, il est préférable de tenir un journal et d’obtenir quelques conseils judicieux. Certaines applications ont été spécialement conçues pour cela.

Le Défi 28 jours a pour objectif d’amasser des fonds pour la Maison Jean Lapointe, qui vient en aide aux personnes dépendantes aux drogues ou à l’alcool. Mais elle n’est pas inutile pour ceux qui ont une consommation contrôlée.

L’occasion est belle de faire son bilan de consommation. Quitte à l’ajuster un peu, au besoin.

Plusieurs applications sur le marché peuvent vous donner un coup de main en ce sens. Ne serait-ce que pour faire l’inventaire de ce que vous ingérez. Mais plus encore, pour prendre conscience des conséquences d’une consommation qui, sans être abusive, peut s’avérer nocive.

Stop, ou encore?

Des chercheurs de l’Université de Genève ont mis au point Stop-alcool, un coach virtuel qui vous relance afin de s’assurer d’un décompte précis des verres d’alcool avalés. Cette aide vous permet ensuite d’établir votre profil de buveur, vous propose des astuces afin de réduire le rythme et en profite pour vous faire jouer en vous soumettant à un jeu-questionnaire sur l’alcool qui vous apprendra sans doute quelques faits méconnus.

Plus important encore : l’appli vous pose des questions qui vous permettent de réfléchir au rôle que joue l’alcool dans votre vie.

En temps réel

Avec AlcoDroid (pour plateforme Android uniquement, vous l’aurez deviné), il est possible de suivre son taux d’alcoolémie au cours d’une soirée en inscrivant ses verres au fur et à mesure. Un raccourci vers ses boissons préférées permet d’accélérer le processus pour le rendre facilement accessible.

On peut ensuite analyser sa consommation, et aussi se fixer des objectifs à suivre.

Pour la sécurité

Dans le même ordre d’idées, mais avec l’objectif de prévenir la conduite avec les facultés affaiblies, Éduc’alcool propose aussi une application appelée Le Calculateur d’alcoolémie. Celle-ci fonctionne cependant différemment, et permet de prévoir à l’avance ce qu’on pourra boire au cours de la soirée afin de se maintenir sous le seuil toléré.

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À lire : 28 jours sans alcoolAccessories

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